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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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18 mai 2009

Un volcan sous-marin est entré en éruption au large de la côte de l’archipel de Tonga

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Un volcan sous-marin est entré en éruption au large de la côte de l’archipel de Tonga, émettant de larges nuages de fumée, de vapeur et de cendres  dans le ciel au-dessus de l’océan Pacifique Sud, le 18 mars 2009. Le phénomène s’est produit à environ 10 kilomètres de la côte sud-ouest au large de l’île principale de Tongatapu – une région regroupant une trentaine de volcans sous-marins. Les habitants rapportent qu’une colonne de vapeur et de cendres est apparue lundi matin (16 mars 2009), après une série de tremblements de terre qui ont été fortement ressentie dans la capitale, Nuku’alofa.

NASA images by Jeff Schmaltz, MODIS Rapid Response Team. Caption by Michon Scott.

Cette image de l’activité volcanique a été capturée par le satellite Aqua de la NASA le 18 mars 2009. Sur cette image, le secteur situé autour de l’éruption apparaît en bleu-vert, couleur résultant probablement des dépôts à la surface de la mer. La partie apparaissant en blanc, au centre de ce secteur peut résulter de la vapeur sortie du volcan.

Au Nord-Ouest du site de l’éruption, un ensemble de pierre ponce, roche poreuse, qui flotte sur la mer. Un cas similaire s’était produit dans le même archipel en août 2006.

Tonga est un archipel de 170 îles environ, situé à mi-chemin entre l’Australie et Tahiti, dans la partie du Pacifique surnommée “anneau de feu” ; ce dernier forme un arc de zones volcaniques et sismiques qui s’étend du Chili en Amérique du Sud en passant par l’Alaska et du Vanuatu à Tonga.

L’anneau de feufg

Par ailleurs, un séisme d’une magnitude de 7.9 a frappé la région des îles Tonga, jeudi 19 mars à 18h17 UTC. L’Institut national de géophysique américain (USGS) a placé l’épicentre de ce tremblement de terre à 210 kilomètres de Nukualofa, capitale des îles Tonga, et 480 km des îles Ndoi dans les Fidji à une profondeur de 10 km.

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3 mai 2009

L'OMS redoute une pandémie de grippe porcine

Depuis son siège de Genève l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a, dans l'après-midi du samedi 25 avril,  prévenu que le nouveau virus grippal à l'origine d'un début d'épidémie au Mexique et aux Etats-Unis  est clairement doté d'un «potentiel pandémique».

L'OMS appelle tous les pays à augmenter leur niveau de veille épidémiologique. L'ensemble des autorités sanitaires internationales étaient déjà depuis quelques jours en alerte après la découverte d'une bouffée épidémique due à un nouveau virus grippal d'origine animale responsable ces derniers jours d'une soixantaine de morts au Mexique. Fait inquiétant: la plupart des victimes étaient en bonne santé et âgées de 25 à 45 ans. Plus d'un millier de personnes souffrant de pneumonie sont en observation dans le pays. Huit cas bénins de la maladie viennent également d'être identifiée au Texas et en Californie. Principale question soulevée assiste-t-on ici au début d'une nouvelle pandémie grippale hautement pathogène ?

En France le ministère de la santé a, samedi 25 avril, annoncé la mise en place d'une «conférence de presse quotidienne» sur ce sujet. La première se tiendra le dimanche 26 avril à 15 heures sous de  Roselyne Bachelot. Un «centre de crise» a d'ores et déjà été mis en place par les autorités françaises pour émettre notamment des recommandations à destination des Français résidant au Mexique ainsi que des conseils aux voyageurs.

« Ces mesures ont été mises en place parce que l''on sait très bien que les déplacements aériens ou maritimes sont nombreux. Il n'est pas exclu qu'une personne malade, donc potentiellement contagieuse, puisse entrer en France ou en Europe» a expliqué Didier Houssin, responsable de la Direction générale de la  santé. Les mesures de surveillance et de vigilance sont «destinées à identifier le  plus tôt possible l'apparition d'un cas sur le terriroire national.  Il faut s'attendre dans les jours qui viennent à ce qu'on ait des suspicions de cas avec des personnes en provenance du Mexique.» Le professeur Houssin a d'autre part précisé que l''Institut national de veille sanitaire avait  activé son dispositif de veille pour le cas où une suspicion de cas serait observé rapidement, l'authentifier et prendre les mesures nécessaires.

Outre-Atlantique une série d'initiatives ont depuis peu été prises par les autorités sanitaires mexicaines pour réduire les mouvements de population et donc les risques de transmission inter-humaine de l'infection. Vendredi 24 avril, l'armée mexicaine a commencé à distribuer gratuitement des masques individuels de protection. Toutes les écoles, les lycées et et les universités publiques et privées ont été fermés dans la capitale (où vivent 20 millions de personnes) ainsi que dans l'Etat de Mexico. Il en va de même pour les  théâtres et les musées.

Les autorités de la capitale mexicaine ont  demandé à la population d'éviter de prendre les transports en commun, de ne pas s'embrasser ou plus se serrer la main pour se saluer. Autre symptôme éclairant de l'inquiétude des autorités: les deux rencontres de football de Première division prévues dimanche 26 avril à Mexico seront bien disputées, mais à huis clos. Le président mexicain Felipe Calderon et le maire de Mexico, Marcelo Ebrard, ont suspendu toutes leurs activités initialement prévues pour se consacrer à l'organisation de la lutte préventive. L'aéroport de la capitale demeure en activité et aucune décision de mise en quarantaine ou de fermeture des frontières n'a été prise.

Aux Etats-Unis le président Barack Obama est tenu informé de l'évolution de la  situation et la Maison-Blanche a déclaré prendre l'alerte très au sérieux. Des « centres opérationnels d'urgence » ont été mis en  place. Au Canada, la ministre de la santé  a appelé la population à la plus grande vigilance. D'autre part six pays latino-américains a priori non touchés  (Costa Rica, Nicaragua, Brésil, Pérou,  Chili et Colombie) ont décrété un état d'alerte sanitaire ou annoncé des mesures préventives.

A Genève au siège de l'OMS, où l'on se dit « très inquiet », on a activé  un centre d'opération chargé de récolter et de centraliser toutes les informations virologiques et épidémiologiques. La directrice générale de l'OMS, Margaret Chan, rentrée dans la nuit du 24 au 25 avril de Washington à Genève a participé dans l'après-midi du samedi 25 avril à une téléconférence en liaison avec  la commission d'urgence du Règlement sanitaire international (RSI). La commission d'urgence pourrait très bientôt formuler des recommandations, concernant  un relèvement de l'alerte vis à vis d'un risque de pandémie -pouvant conduire à des décisons de fermeture des frontières et de réduction des mouvements de transports aériens. 

Le 24 avril une certaine confusion demeurait encore quant au type de virus responsable de ce début d'épidémie. Selon l'OMS les premiers cas mortels observés au Mexique seraient dus à une infection par le virus grippal de type A/H1N1 connu pour être responsable d'une forme de grippe porcine. Mais Dave Daigle, porte-parole des Centres américains pour le contrôle et la surveillance des maladies (CDC) a déclaré que le nouvel agent pathogène était constitué de plusieurs souches. Il serait ainsi selon lui le produit d'une série de mutations et de réassortiments génétiques et composé d'éléments provenant de virus d'origine à la fois aviaire, porcine et humaine, une situation semble-t-il jamais vue jusqu'à présent. L'information a été confirmée dans la matinée du 25 avril. Selon les responsables du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies  «il y a un risque, même réduit, d'apparitions de virus au potentiel pandémique.» La plupart des  centres de référence de virologie agréés par l'OMS travaillent actuellement à décrypter la composition génétique et moléculaire de ce nouveau virus afin d'en identifier l'origine et de tenter d'en évaluer le caractère pathogène.

Le 25 avril une certaine confusion règnait aussi quant aux mesures pouvant être prises en terme de vaccination ou de prescription médicamenteuses.  Selon Armando Ahued, responsable sanitaire de la municipalité de Mexico un «antivirus spécifique» serait disponible et le pays disposerait d'un million de doses du médicament. Il s'agit du Tamiflu (ou oeltamivir) de la multinationale pharmaceutique Roche. Les autorités sanitaires mexicaines ont annoncé le 24 avril que le recours au médicament était préférable à une campagne de vaccination antigrippale de masse. Elles avaient pourtant annoncé une campagne de vaccination quelques heures plus tôt avant que l'OMS ne laisse entendre que les vaccins antigrippaux actuellement disponibles n'étaient pas efficaces contre la nouvelle souche virale émergente.

Jean-Yves Nau

2 mai 2009

limage subliminale et illusion d'optique le cerveau nous trompent

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fixez cette image et observé ce qui est fixe bouger voilà votre réalité notre esprit se trompe  peut être somme nous sujet a un univers en hologrammes crée  par des impulsion électromagnétique que notre cerveau recode en image et nous créant ainsi notre réalité et notre monde que voyons nous réelement . Est-ce réellement nos sens qui ne sont pas bien ajustés à notre monde physique tridimensionnel ? Ou serait-ce en réalité autre chose ? Bien sûr, il est plus aisé pour l'Ego de déclarer que nos sens sont maladroits et/ou mal entraînés et que nous voguons à tâtons dans le monde physique, mais à y regarder de plus près, à bien analyser la situation, nous devons en conclure tout autrement : notre cerveau ne suit pas la danse. Nos yeux ne nous envoient pas d'informations qui stipulent que « la ligne n'est pas droite » ou que « les cercles tournent », ils nous envoient l'image telle quelle est, immobile et bien droite. Nos oreilles ne nous transmettent pas « Sept bicycles à espace » alors qu'en réalité notre interlocuteur a dit : « C'est ici que ça se passe ». C'est notre organe pensif qui interprète, à tort, l'information. Quelque chose se passe de travers au niveau de nos neurones pour ainsi dire, car c'est au niveau du traitement de l'information qu'il y a défaillance et non au niveau de l'information elle-même. L'illusion, la Mâyâ ne réside donc pas à l'extérieur de nous, dans le mauvais fonctionnement de nos capteurs physiques, mais bien à l'intérieur de nous, dans le décodage de l'information reçue. C'est notre interprétation de la réalité qui est fausse. Et Dieu, s'il existe vraiment, sait combien il est facile de nous tromper à ce niveau. Exemplifions encore un peu plus.

  • Un jeu classique, que tous les enfants s'amusent à se faire mutuellement, est le fameux « tes bras passent au travers du sol ». Étendu au sol à plat ventre, les bras droits au-dessus de la tête, face contre terre, la première personne se ferme les yeux et se laisse prendre les mains par la seconde. Celle-ci lève les bras de la première à environ un demi-mètre du sol, maintient cette position une trentaine de secondes et commence à les redescendre tranquillement. La personne couchée par terre, une fois son visage au sol, croit qu'incessamment ses bras et ses mains vont aussi toucher le plancher alors qu'en réalité ils sont encore à plus d'une dizaine de centimètres de celui-ci. La seconde continuant de descendre très tranquillement, la première a la sérieuse impression que ses bras et ses mains passent au travers du sol. Si vous ne l'avez jamais fait, tentez-le, ça vaut le coup.


  • Un autre exemple intéressant : Selon une étude de L'Uvinertisé de Cmabrigde, l'odrre des ltteers dnas un mot n'a pas d'ipmrotncae, la suele coshe ipmrotnate est que la pmeirère et la drenìre soeint à la bnnoe pclae. Le rsete puet êrte dnas un dsérorde ttoal et vuos puoevz tujorus lrie snas porlbème. C'est prace que le creaveu hmauin ne lit pas chuaqe ltetre elle-mmêe, mias le mot cmome un tuot. La peruve !


  • Nous parlons d'illusion, mais que dire du contrôle ? Ferait-il lui aussi partie de l'illusion ? Restez assis, levez votre pied droit du plancher et faites-lui faire des cercles dans le sens des aiguilles d'une montre. Pendant que vous faites des cercles avec votre pied droit, dessinez le chiffre 6 dans les airs avec votre main droite. Votre pied changera de direction. Si ce n'est pas le cas, tentez de le faire avec le côté gauche. Un contrôle illusoire ? allez pour le fun une autre image
30 avril 2009

antenne relais tout savoir sur leurs dangers

ONDES - Le gouvernement veut rassurer, les associations comptent taper du poing sur la table...

Le très attendu «Grenelle des ondes» s'ouvre ce jeudi à Paris, dans un contexte brouillé. Face à la volonté du gouvernement de tranquilliser les Français sur la question des antennes-relais, les associations et quelques élus voient dans les tables rondes de la téléphonie mobile l'occasion de taper du poing.

On vous ment, on vous irradie: le message des anti-ondes est reçu 5 sur 5 par des riverains, inquiets pour leur santé, qui n'hésitent plus à attaquer les opérateurs. L'Etat se veut rassurant. Selon ses agences, le téléphone portable contribue peu au brouillard électromagnétique dans lequel nous baignons depuis cinquante ans (télévision, radio, etc.). - VOIR COMMENTAIRE EN BAS DE PAGE -

Habitudes vs. inquiétudes

Qui croire? D'un côté comme de l'autre, on met en doute la fiabilité des experts et des études. Les usagers ont déjà pris parti: selon un sondage BVA, 80 % des Français sont favorables à une meilleure réglementation des antennes. Dans le même temps, nombreux sont les mordus du portable (plus de 90 % de la population équipée) qui veulent pouvoir échanger des SMS en haut des pistes ou regarder les résultats de Ligue 1 dans le TGV. Ce qui nécessite l'implantation de nouvelles antennes, plus puissantes.

Obligation est même faite aux opérateurs de couvrir 99 % du territoire: 2 000 émetteurs sont donc installés chaque année (49.000 au total). D'où l'embarras des maires, qui doivent donner leur accord pour les implantations sur les bâtiments publics. A moins que la justice ne tranche une fois pour toutes, après trois décisions historiques. En février dernier, la cour d'appel de Versailles a, par exemple, contraint Bouygues Telecom à démonter une antenne dans le Rhône. Raison invoquée : l'«incertitude» concernant un éventuel impact sur la santé des riverains.

Abaissement des seuils d'exposition

Une incertitude instillée par le ministère de la Santé qui se contente de renvoyer aux recommandations de l'Organisation mondiale de la santé, en deçà de certaines normes européennes. Les utilisateurs français doivent-ils «griller» dans l'indifférence? se demandent les associations. Parmi elles, Priartem et Agir pour l'environnement demandent l'application du principe de précaution, avec davantage d'information à l'achat des cellulaires, ainsi que l'abaissement des seuils d'exposition autorisé de 41 à 0,6 V/m.

Une idée reprise dans une proposition de loi au Sénat, qui veut multiplier les antennes plus petites, émettrices d'ondes moins fortes et donc potentiellement moins nocives. Ce qui signifierait de lourds investissements pour les opérateurs. Un débat compliqué en perspective pour ce Grenelle, qui se prolongera le 6 mai, avec un focus sur les antennes-relais, le 14 mai, avec une demi-journée sur les portables et se terminera le 15 mai.

Maud Noyon

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Le parcours du combattant d'un électrosensible à Paris

A l'entrée du métro, vous sortez votre ticket. Lui enfile sa casquette de protection. André Bonnin, musicien de 41 ans, se dit électrosensible. Avec sa chemise métallisée comme armure, il prend l'escalier du métro comme d'autres descendraient en enfer, un enfer pavé de mauvaises vibrations. Mais il tient à mesurer la dangerosité des ondes là où on ne les soupçonne pas. Du bout de sa sonde, il capte sur le quai de la station un champ électromagnétique qui va jusqu'à 4,2 V/m. De la pure hérésie pour lui qui milite, avec l'association Robin des toits, pour que le niveau soit abaissé à 0,6V/m. « Une directive européenne sur la compatibilité électronique prévoit un seuil de 3 V/m pour ne pas perturber les pacemakers, les prothèses, etc. Ça peut être dangereux de s'aventurer dans le métro pour les personnes qui en portent », soupire le militant.

De retour à l'air libre, dans une atmosphère « polluée » mais supportable, il raconte son épopée. C'est à l'installation d'une énième antenne sur son toit, en 2007, qu'il commence à se sentir mal. Perte complète du sommeil, troubles de la concentration, sentiment d'oppression, André passe un hiver « dégueulasse ». « Les mêmes symptômes » recommencent quand le wi-fi est installé, ce qui lui met la puce à l'oreille. Il blinde alors ses fenêtres avec du tissu métallique et réduit ses déplacements. « Je préfère rester à Paris et résister plutôt que partir à la campagne. » La seule solution, selon lui consiste plus à abaisser les seuils d'exposition qu'à protéger individuellement les électrosensibles. André doute cependant que le Grenelle change quelque chose. « J'ai été auditionné pour préparer ces tables rondes, raconte-t-il. Je suis parti avant la fin : ils sont convaincus que les ondes ne sont pas nocives et ils ne veulent rien changer. »

M. N.
www.greenlightcenter.fr

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