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Archives
eugenisme
30 août 2013

Les vaccins contre la grippe et les risques de cancer

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Les vaccins contre la grippe et les risques de cancer

par le Dr. Sherri J Tenpenny
Rapport de l’ISIS, traduction de Jacques Hallard

Beaucoup d’inquiétudes ont été générées à propos des nouveaux vaccins du virus H1N1 de la grippe ‘porcine’ A, qui ont été mis sur le marché.

Les essais cliniques ont été de faible durée - moins de trois semaines - et il y a aussi la possibilité d’ajouter, à la dernière minute, une toxine supplémentaire avec des adjuvants dits oil-in-water, afin de diluer et d’augmenter l’approvisionnement en vaccins (voir [1]

 Mais ce ne sont pas les seules préoccupations.

Le nouveau procédé de fabrication de vaccins contre la grippe, appelée technologies des cultures cellulaires, est peu connu et il a le potentiel d’avoir des conséquences graves à long terme.

 La fabrication du vaccin antigrippal annuel, saisonnier et « habituel »

Chaque année, entre Janvier et Mars, un panel consultatif de la FDA sélectionne les trois souches de grippe qui sont supposées être en circulation durant la saison à venir.

En admettant que le processus est une « supposition éclairée », le Centre sanitaire CDC transmet le matériel de base du virus sélectionné à la FDA pour approbation, et il est ensuite distribué aux fabricants pour la production de vaccins.

 Le vaccin annuel et saisonnier contient trois souches virales :

Deux virus de type A et un virus d’influenza de type B. La plupart du temps, deux des virus sont les mêmes virus que ceux qui avaient été inclus dans le plan de l’année précédente.

 Le troisième virus est typiquement une nouvelle souche en circulation.

C’est la raison avancée pour remettre cela chaque année. La nouvelle souche est modifiée au laboratoire par un processus appelé réassortiment, afin de s’assurer qu’il peut facilement se développer dans des œufs.

Une fois la modification terminée, tous les trois virus passent par les étapes de fabrication délicate pour ce qui se passe dans le flacon.

La lourdeur du processus de production du vaccin de la grippe, utilise jusqu’à 500.000 œufs de poule fertilisés par jour pendant une durée maximale de huit mois.

Des centaines de millions d’œufs fécondés deviennent des "mini-incubateurs" pour le virus mis en culture.

Lorsque les embryons de poulet sont âgés de 11 jours, la membrane amniotique (le blanc d’œuf) est injectée manuellement avec une goutte contenant la solution virale.

Plusieurs jours plus tard, la suspension virale gluante est centrifugée pour enlever si possible le sang de poulet et beaucoup de tissus.

Des protéines d’oeuf résiduelles restent dans la solution vaccinale finale et c’est la raison pour laquelle il est déconseillé d’administrer le vaccin antigrippal aux personnes qui ont une allergie aux œufs.

 Le processus complet, de la sélection du virus à la récolte virale, peut prendre jusqu’à neuf mois [2].

Devant le potentiel d’une pandémie et l’annonce de la Directrice générale de l’OMS, Margaret Chan, qui demanda jusqu’à 4,9 milliard de doses de vaccins contre la grippe pour vacciner le monde [3], les longs délais de réalisation et le processus de production très exigent en main d’œuvre, font que l’on ne peut pas satisfaire la demande pour des quantités massives de vaccin contre la grippe pandémique.

 L’entrée de la technologie des cultures de lignées cellulaires

Les technologies de cultures cellulaires, qui utilisent des cellules et des tissus animaux que l’on trouve dans les vaccins, ont été élaborées et déployées depuis les années 1950.

Les exemples incluent : la lymphe de veau pour les vaccins contre la variole, les cellules de singes verts africains (cellules AGMK) pour les vaccins contre la polio et les cellules du cerveau de souris pour le vaccin contre l’encéphalite japonaise.

Dans les années 1960, des cellules de tissus de fœtus humains avortés, appelées cellules MRC-5 et WI-38, ont été élaborées et sont encore utilisées pour la fabrication de vaccins contre la varicelle, la rubéole et l’hépatite A.

Depuis le début des années 2000, des dizaines de tissus humains et animaux ont été étudiés pour leur utilisation dans des vaccins viraux, en particulier pour la production de vaccins antigrippaux.

Les lots de vaccins peuvent être produits en moins de six semaines au lieu d’une seule récupération par an avec des œufs, améliorant ainsi énormément la production.

Bien que plusieurs des nouvelles lignées de cellules soient encore considérées comme expérimentales, les techniques de culture de lignées cellulaires ont attiré tous les grands acteurs dans le secteur de la production des vaccins et dans les industries des biotechnologies.

Avant 2007, les lignées cellulaires ont été peu utilisées pour les vaccins contre la grippe, principalement pour des raisons logistiques : Les vaccins contre la grippe fabriqués à partir de cellules, au lieu des œufs, exigeaient une transformation complète des équipements et des installations de production existantes.

Aucun des fabricants n’était prêt à investir des centaines de millions de dollars et d’attendre les cinq à sept années nécessaires pour construire des usines pour fabriquer les nouveaux vaccins.

Mais lorsque la menace de la pandémie de grippe aviaire a été agitée médiatiquement en 2006, le gouvernement a ouvert ses coffres et il a déversé des milliards de dollars dans les poches des entreprises pharmaceutiques, leur donnant ainsi les capitaux pour construire de nouvelles installations de production de vaccins contre la grippe.

 En 2012, la première usine de cultures cellulaires a été achevée en Caroline du Nord, aux États-Unis.

Le géant des produits vaccinants Novartis aura alors la capacité de produire chaque année 150 millions de vaccins contre la grippe, ce qui en fera la plus grosse usine au monde pour la production commerciale de vaccins contre la grippe et de l’adjuvant MF-59.

 Les cultures cellulaires sont la prochaine frontière de la production de vaccins

 Plusieurs lignées cellulaires sont actuellement au stade des recherches scientifiques.

Le vaccin antigrippal Optaflu de Novartis a été approuvé par l’Union Européenne et il a été produit en utilisant une lignée de cellules appelées Madin-Darby (MDCK), des cellules extraites des reins d’un épagneul cocker femelle.

Le Géant néerlandais Solvay Pharmaceuticals, a travaillé avec des cellules MDCK depuis le début des années 1990.

Une autre entreprise indépendante, Protein Sciences Corporation, a travaillé sur un vaccin contre la grippe, breveté et fabriqué à partir d’oeufs d’insectes. T

Cette stratégie vaccinale, connue commercialement sous la dénomination ‘FluBlok’, consiste à isoler une concentration purifiée de l’antigène (H) à la surface d’un virus de la grippe et à insérer l’antigène dans un second virus appelé un baculovirus.

Le baculovirus contenant (H) est alors inséré dans des cellules d’insectes en culture.

Plusieurs essais cliniques, portant sur ce vaccin créé à partir d’insectes, ont montré que les antigènes induisent une forte réponse d’anticorps chez les êtres humains [4].

 Sans doute, le vaccin contenait-il des débris de l’ADN des insectes.

Cette technologie est actuellement testée en Europe et n’a pas encore été autorisée pour son utilisation aux États-Unis.

Un troisième type de lignée cellulaire, appelées cellules PER.C6, est dérivé de cellules de la rétine des tissus de fœtus avortés.

Les cellules fœtales sont transformées en les infectant avec un adénovirus, ce qui les transforme en cellules « immortalisées » et qui présente la propriété et la capacité de se reproduire à l’infini.

 Par leur nature même, ces cellules sont néoplasiques (générant une cancérisation) ; les chercheurs se réfèrent à leur propos à des cellules "oncogènes".

 Si les tumeurs se forment lorsque les cellules sont injectées dans les animaux de laboratoire, les lignées cellulaires sont plus qu’oncogéniques : elles sont tumorigènes.

 Une vive préoccupation quant à l’ensemble du sujet :

« C’est que les cellules vivantes PER.C6 sont capables de causer des tumeurs lorsqu’elles sont transplantées dans la peau de souris. »

La FDA exige une méthode de filtration pouvant être utilisée pendant la production d’un vaccin et qui est conçue pour éliminer toutes les cellules avant que le produit ne soit conditionné.

Plusieurs études ont été menées pour s’assurer, à l’intention des développeurs de vaccins, que les cellules PER.C6 ne causent pas de cancer et qu’elles ne contiennent pas de tumeurs parasites libérant des virus [5], mais le risque demeure que les cellules puissent contaminer finalement les produits vaccinaux.

Il existe un risque réel de présence d’ADN de la rétine à l’état résiduel et de fragments viraux errants, à partir des tissus des animaux, et d’entrée possible dans le vaccin antigrippal.

Les petits fragments d’ADN sont classés comme "infectieux" ou "oncogènes" par les chercheurs qui craignent que de l’ADN parasite ne soit incorporé dans l’ADN de l’organisme receveur.

Les règlements de la FDA insistent sur « l’importance de minimiser le risque de cancérogenèse chez les receveurs de vaccins ».

Mais les fabricants ont reçu pour instruction de veiller à ce que le vaccin final contienne moins d’un million de cellules animales résiduelles et moins de 10 ng d’ADN errants par vaccin [6].

Est-ce que les lots de vaccins sont testés pour vérifier sa pureté, conformément à ces exigences ? Non ! Les lots sélectionnés sur le lieu de production sont envoyés à la FDA, et la FDA enregistre la déclaration des fabricants de vaccins, indiquant que ces normes ont été respectées.

 Les risques des cellules tumorigènes sont connus

Depuis 1998, la FDA et ses subdivisions, les Centers for Biological Evaluation and Research (CBER), ont été amenés à élaborer des règlements pour permettre l’utilisation de lignées cellulaires à la fois oncogéniques et tumorigènes, dans la production de vaccins.

La FDA est pleinement consciente que les nouvelles lignées cellulaires, en particulier les cellules PER.C6, comportent des risques substantiels, y compris le risque d’un danger mortel par des virus ‘adventices’ (parasites) qui peuvent se retrouver dans les vaccins.

Par exemple, la FDA reconnaît, qu’au début, le virus SV 40 (virus simien 40 provenant de cellules de rein de singe) était présent dans les vaccins contre la polio et avec ses risques [7] : « L’expérience du début des années 1960, de la contamination par le SV40 des vaccins contre le poliovirus et l’adénovirus et la question continuellement posée sur le fait de savoir si le SV40 pourrait être responsable de certains néoplasmes humains [cancers], souligne l’importance de veiller à bien garder les vaccins viraux exempts d’agents ‘adventices’.

"Cela est particulièrement important quand il y a un potentiel théorique de contamination d’un vaccin avec les virus qui pourraient être associés à une néoplasie [cancer]. Il est difficile de savoir si les substrats cellulaires présentent un risque plus élevé ou plus faible [de contamination] que pour d’autres types de cellules. Cependant, si leur croissance en culture de tissus n’est pas bien contrôlée, il peut y avoir d’autres occasions de contamination ... "

 Mais il y a pire.

La même note de la FDA continue en disant [7] :


« En plus de la possibilité de contamination des substrats cellulaires par des virus ‘adventices’ ... l’utilisation de cellules humaines immortalisées et néoplasiques, pour développer des vaccins, soulève des préoccupations d’ordre théorique en ce qui concerne une contamination possible par les agents d’ EST / ESB ».

L‘EST est l’encéphalopathie spongiforme transmissible, une maladie qui inclut un groupe de maladies dégénératives rares du cerveau, caractérisées par des trous minuscules dans les tissus du cerveau, ce qui donne une apparence "spongieuse" lorsqu’on les examine sous un microscope.

Lorsque cette condition se produit chez la vache, elle est appelée encéphalopathie spongiforme bovine, ou ESB, communément appelée "maladie de la vache folle." Dans une étude publiée en 2004, des chercheurs ont constaté que toute lignée cellulaire pourrait soutenir la propagation des agents de l’EST [8].

De toute évidence, les centres sanitaires CBER sont conscients et inquiets à propos du potentiel cancérigène des cellules animales dans les vaccins, car ils imposent aux fabricants de prendre « toutes les mesures de précaution possibles » pour éliminer les cellules suspectes dans les produits vaccinaux qui en résultent.

La FDA admet également des préoccupations au sujet de la possibilité de provoquer des cancers à partir de tous les types de lignées cellulaires.

 La question qui reste posée est la suivante :

En sachant les risques potentiels de l’utilisation de lignées cellulaires pour créer des vaccins, pourquoi les technologies des lignées cellulaires sont-elles autorisées ?

  • Le Dr Sherri J. Tenpenny est Docteur en Médecine Ostéopathique (DO), formé aux États-Unis.
  • Visitez son site http://drtenpenny.com/default.aspx
  • On peut aussi lire d’autres articles sur les vaccins contre la ‘grippe porcine’ [A H1N1] : Fast-tracked Swine Flu Vaccine under Fire Live Attenuated Swine Influenza Vaccine for Children Safety in Question Swine Flu Pandemic - To Vaccinate or Not to Vaccinate ? Swine Flu Virus Created from Pig Vaccine ? CSL Pandemic Swine Flu Vaccine Safety in Question
  • The Institute of Science in Society, The Old House 39-41 North Road, London N7 9DP
  • Contact the Institute of Science in Society www.i-sis.org.uk/

Traduction, définitions et compléments en français :

Jacques Hallard, Ing. CNAM, consultant indépendant.

Courriel : jacques.hallard921@orange.fr

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28 août 2013

Les enfants tchadiens ont ils servi de Cobays? des documents confidentiels accablants le prouve

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Qu'attend -il le ministre de la santé pour s'exprimer publiquement sur ce scandale? Va t-il démissionner ou s'accrocher à son poste malgré ce drame qui a frappé ces pauvres enfants? Ou bien au Tchad, la valeur de l'être humain reste sous estimée? Que va t-il faire le gouvernement pour gérer cette situation? Comment va t-il réagir le premier ministre?

 

Les enfants tchadiens ont ils servi de Cobays? des documents confidentiels accablants le prouve
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Cette tragédie soulève de nombreuses questions qui restent sans réponses. Pourquoi a-t-on vacciné 500 enfants dans une région qui ne dispose que d’un médecin , et qui n’a été capable de fournir des conseils ou de traiter les effets indésirables du vaccin qu’une semaine plus tard ?

Pourquoi le fabricant du MenAfriVac a-t-il spécifiquement précisé que le produit devait être stocké et transporté à des températures beaucoup plus basses que ce qu’avait précisé le Projet Méningite ? Pourquoi a-t-on tenté d’ acheter le silence des parents des enfants dont la santé a été endommagée par ce vaccin ? Pourquoi a-t-on si fortement poussé à vacciner dans une région qui manque d’ eau potable et de services sanitaires de base ? L’UNICEF avait d’ ailleurs déjà critiqué le Tchad pour les épidémies récurrentes de maladies , y compris la méningite, qui se produisent parce que les besoins sanitaires élémentaires ne sont pas suffisamment rencontrés. [8]

 

Pourquoi les grandes organisations ont-elles dépensé 571 millions de dollars sur un projet de vaccinations , alors que les puits destinés à fournir de l’eau potable sont construits pour moins de 3.000 dollars/ pièce par le Comité International de la Croix Rouge ? [9]

 

Comment se fait -il qu’au moins 40 enfants aient été paralysés après avoir reçu un vaccin,  et qu’aucune agence de presse n’ait assuré la couverture de cette inquiétante situation  ?  Les médias sont restés complètement silencieux . Il semble qu’aucun rapport de ce drame n’ait été publié sur aucun site gouvernemental ! La seule information disponible en dehors de cet article de journal semble avoir été comme « enterrée » dans un petit blog dénommé le blog de Makaila qui a publié des mises à jour régulières de la situation. [10]

 

Où peut-on trouver les déclarations des organisations concernées – OMS, GAVI, PATH, UNICEF, ainsi que la Fondation Bill et Melinda Gates ? Pourquoi ce programme de vaccination a-t-il été suspendu  ? Qu’est-ce que ces organisations ont l’intention de faire par rapport au drame qui s’est produit à Gouro ?

 

Références  :

  1. Wigne, Danzabe and Byakzahbo, Anrde. “Numerous Children of Gouro Hospitalized After a Vaccination Campaign to Control Meningitis.”  La Voix .
  2. http://www.meningvax.org/files/PressReleasePATH_WHO_MVP-14Nov2012.En.pdf
  3. http://www.who.int/immunization/newsroom/menafrivac_20121114/en/index.html
  4. http://www.impatientoptimists.org/Posts/2013/01/Saving-Time-amp-Lives-Meningitis-A-Vaccine-Breaks-the-Cold-Chain-Barrier?p=1
  5. http://www.seruminstitute.com/content/products/product_menafrivac.htm
  6. http://www.presidencetchad.org/affichage_news.php?id=192&titre=%20Campagne%20de%20vaccination%20contre%20la%20m%E9ningite%20de%20souche%20%AB%20A%20%BB
  7. http://www.gavialliance.org/support/nvs/meningitis-a/
  8. http://www.unicef.org/infobycountry/chad_61754.html
  9. http://www.icrc.org/eng/resources/documents/feature/2007/chad-stories-200307.htm
  10. http://makaila.over-blog.com/article-campagne-de-vaccination-contre-la-meningite-tourne-au-drame-a-gouro-113690954.html
25 août 2013

Le Rockefeller Brothers Fund: Nous achetons les évangélistes, les maires et les gouverneurs de la planète…

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Dans son compte-rendu de 2010 sur les fonds accordés de 2005 à 2010, le Rockefeller Brothers Fund (RBF) admet acheter (au sens littéral du terme) des soi-disantes “voix non-vertes”, ce qui veut dire des gens du dehors de la communauté environnementaliste, afin de vendre la soupe de la doctrine du changement climatique anthropique dans leur communautés respectives.

“(…) de l’argent de la fondation a été donné pour soutenir ces voix non-vertes qui ont crues dramatiquement (…) Le RBF a soutenu des “voix alliées de l’action climatique”, venant des secteurs des affaires, de l’investissement, de l’évangélisme, des fermiers, des sportifs, des gens du monde du travail, des chefs militaires, des faucons de la sécurité nationale, des vétérans de l’armée, des représentants de la jeunesse, des gouverneurs des états et des maires des villes.”

Ceci est l’admission flagrante du Rockefeller Brothers Fund d’avoir financé des segments spécifiques de la société pour promouvoir la “cause verte”. Dans ce document, nous lisons que des leaders religieux et des politiciens locaux ou d’états ont été financés pour vendre le mythe du réchauffement climatique anthropique (RCA). Le rapport explique:

“Des fondations, incluant le RBF, ont joué un rôle significatif dans la construction de la capacité pour ces groupes d’organiser leur base de membres, de communiquer publiquement au sujet de solutions climatiques et de se faire les avocats de politiques qui prendront en compte le changement climatique domestiquement et internationalement. En plus du soutien financier direct de ces groupes, le Fond Rockefeller a aussi donné une assistante technique pour le développement stratégique, la planification des communications et l’entraînement au militantisme.”

Mentionnant tout spécialement le comité national des gouverneurs (d’états des USA) comme bénéficaire, nous lisons:

“Les gouverneurs et les maires ont prouvé être des avocats efficaces pour les solutions contre le changement climatique anthropique tant localement qu’internationalement. A travers l’Amérique, les états et les localités développent des programmes climatiques innovants et servent de laboratoires pour des approches originales et nouvelles. Beaucoup ont lancé des initiatives pour le climat dans leurs villes et états et ont vu les bénéfices économiques de l’avoir fait et de continuer à le faire.”

Le compte-rendu décrit également comment le fond a versé des tonnes d’argent depuis 1984 dans les efforts de propagande contre le changement climatique anthropique, ceci incluant le renforcement de l’application de l’Agenda 21 jusqu’au et au delà du Sommet de la Terre de 1992:

“Deux stratégies ont indiqué cette phase de fabrication:

1)   La distillation du consensus sur la science du climat et,

2)   Faire glisser la discussion sur le changement climatique anthropique de la communauté scientifique vers l’arène politique

(…) Le RBF a organisé et financé quelques unes des plus anciennes réunions pour pousser des politiques adressant le changement climatique. Ce fut aussi durant cette période que le GIEC fut créé en 1988 et que des négociations internationales formelles pour un traité sur le changement clmatique commencèrent dès 1991, celles-ci culminèrent avec le sommet de Rio de Janeiro en Juin 1992 avec la création d’un panel de l’ONU sur le changement climatique (UNFCCC), ratifié par Bush 1er et le congrès des Etats-Unis. Une révision de la correspondance entre le patron d’alors du RBF, Bill Dietel et le personnel du programme indique clairement que le traité et les négociations de Rio, ainsi que la création du panel de l’ONU sur le climat, étaient des inspirations très spécifiques du RBF à cette époque.”

Bien que de la fin des années 1980 et au-delà, le RBF glissait sur une mer tranquille, en 2009, les Rockefeller furent touchés par une épreuve. Reconnaissant que la propagande pour promouvoir le rapport du GIEC est devenu de plus en plus difficile depuis l’éruption du scandale du ClimateGate de cette année là, le Fond Rockefeller est maintenant en train d’augmenter ses efforts pour revigorer l’efficacité bien diminuée de son plan:

“Alors que l’attention du public devant l’urgence d’adresser le problème climatique anthropique a eu sa pointe de succès en 2007, une érosion dramatique de la confiance du public dans la science entourant le réchauffement climatique fut déclenchée par la fuite non autorisée de courriels provenant d’un système informatique de l’université d’East Anglia en Angleterre en Novembre 2009. Ces courriels apparaissent suggérer que les scientifiques avaient utilisé des artifices pour masquer une chute dans l’augmentation des températures (NdT: avec la célèbre formule “Hide the decline” que l’on pourrait traduire en pastichant notre Tartuffe de Molière en disant: “Cachez ce déclin que je ne saurais voir”…) et aussi tentaient de discréditer les scientifiques qui étaient sceptiques concernant la cause anthropique du changement climatique.”

Malgré cette “érosion de la confiance du public” décrite, le fond Rockeffeller s’émerveille en même temps des résultats de leur grand-plan de 2005 à 2010:

“Alors que les dons philanthropiques ont augmenté ces dernières années, avec ceux-ci a augmenté les nouvelles organisations, nouvelles alliances et nouveles campagnes politiques. Il y a juste quelques années, le changement climatique n’était pris en compte que par une petite proportion du mouvement environnementaliste. Il est juste de dire que ceci est maintenant un mouvement à part entière croissant. Des voix puissantes du monde des affaires, de la foi, de la sécurité nationale, de la jeunesse, du monde du travail, des groupes agricoles ont rejoint le combat pour une politique robuste adressant le changement climatique anthropique.”

Pour illustrer que l’achat sur une grande échelle de ces soi-disantes “voix non-vertes” par le Fond Rockefeller est loin d’être un programme de financement incidental, nous savons que la Fondation Rockefeller est aussi activement engagée dans l’achat des voix des célébrités et des journalistes. Aussi loin en arrière qu’au milieu des années 1970 la fondation était très occupée à acheter des journalistes et à financer la création d’empires médiatiques. Même à cette époque, le “changement climatique” était promu comme étant le résultat de l’interférence de l’humain dans les affaires naturelles de la Terre. La nourriture génétiquement modifiée était déjà poussée comme le remède à tous les maux. The 1974 Rockefeller Foundation journal rapporte:

“Plusieurs éditeurs de publications scientifiques furent invités à participer aux réunion de la fondation sur le changement climatique, la production alimentaire et le conflit inter-état, la résistance génétique des plantes aux pestes naturelles et à l’aquaculture. Des reportages parurent subséquemment sur les couvertures de magazines comme le New York Times et Associated Press couvrît plusieurs sujets qui furent largement utilisés. A chaque fois, les rédacteurs des articles rencontrèrent nos chefs de programmes et furent encouragés à les utiliser comme source. (Ces gens sont maintenant appelés par les journalistes, particulièrement dans des domaines sensibles et de haut intérêt comme par exemple la production alimentaire, les problèmes de population, les problèmes d’environnement, artistiques etc…)”

Dans plusieurs cas et dans différentes publications, disséminés tout au long de sa voie longue et sordide, la Rockefeller Foundation pérore ouvertement d’utiliser des têtes d’affiche des médias pour ses buts particuliers. Dans aucun cas la Fondation Rockefeller ne mentionne de problèmes avec les cadors des médias qu’elle a contactés. Dans le rapport de 1974, Bill Moyers (NdT: un célèbre journalise de la TV américaine de l’époque) est mentionné comme un des bénéficiaires de l’information disséminée à dessein par la Fondation.

“En préparant sa série en 25 épisodes sur la situation de la nourriture dans le monde, les journalistes du New York Times sont devenus accoutumés et ont établi une relation efficace avec bon nombre de nos officiels. Notre personnel a donné une information substantielle et plus de contacts à Bill Moyers pour ses séries télévisées adressant les problème de l’interdépendance mondiale. Ceci ne représente qu’une petite partie des relations très productives que nous avons étalies avec les représentants des médias de masse.”

Un autre tentacule de la pieuvre, le Fond des Nations Unies pour les Population (UNFPA) a publié un document en 2009 () put out a document in 2009) décrivant les astuces spécifiques utilisés par le Fond pour atteindre les congrégations refusant de s’aligner sur la politique de l’ONU concernant les programmes de contrôle de la population:

“L’UNFPA a trouvé que les leaders des organisations de la foi et de l’inter-foi, sont ouverts à la discussion sur la santé reproductive si ces problèmes sont abordés avec attention et sensibilité.”

Ces “agents du changement” devraient aussi être recrutés pour protéger et promouvoir l’agenda général “en contrant les campagnes de mauvaises informations et en construisant un soutien social au sein des gouvernements pour la Conférence Internationale sur la Population et le Développement (CIPD).”

Le but ultime de ces efforts est clairement décrit comme suit:

“Créer un environnment socio-culturel conductif (impactant sur l’attitude et les pratiques) pour ultimement promouvoir et mobiliser les communautés clés vers la réalisation d’objectifs édictés par le programme d’action du CIPD et les Buts du Développement du Millénaire (Millenium Development Goals).”

“Le partenariat national sur l’environnement est une alliance de la conférence catholique américaine, de la coalition sur l’environnement et la vie juive, le conseil national des églises et le réseau environnemental évangélique qui représente plus de 100 millions d’Américains.”

Un autre front des Nations-Unies, l’Interfaith Partnership for the Environement a été fondé au milieu des années 1980 comme l’enseigne le site internet de l’UNEP (as the UNEP website teaches,): “pour informer les congrégations nord-américaines au sujet des problèmes environnementaux sérieux quxquels doit faire face la vie sur Terre.”

L’UNFPA est le bras armé de l’infrastructure générale, rejointe par des agences sœurs des Nations-Unies pour circonscrire les religions mondiales nous rappelant une meute de loups affamés:

“Depuis 2002, l’UNFPA a insisté sur l’intégration d’approches culturellement sensibles dans ses efforts de programmation. A cette fin utile, elle a travaillé en étroites relations au sein des communautés et avec des agents du changement locaux, incluant des leaders religieux.”

Le schéma laisse peu à l’imagination. Les mêmes sont toujours aux manettes, utilisant leurs ressources afin de pousser leur propagande toujours un cran au dessus. Après tout, après que l’escroquerie du réchauffement climatique ait été mis à jour, les mondialistes se doivent d’augmenter le flot de leurs munitions propagandistes dans la guerre de l’information s’ils veulent avoir une chance.

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 http://resistance71.wordpress.com

url de l’article original:

 

http://explosivereports.com/2013/02/04/rockefeller-brother-fund-were-buying-off-evangelicals-mayors-governors-for-the-earth/

 

 

24 août 2013

Bill gates révèle l'objectif de dépopulation par les nouveaux vaccins

vaccin bill gates

Ce genre de personnage ignoble dans son arrogance à parler d'humain comme du bétail que l'on peut réduire juste en le décidant entre milliardaire ,il est clair qu'il ne dépense pas ses milliards par bonté comme les médias veulent bien  nous le présenter...... il devrait etre traduit d'urgence devant un tribunal  pénal pour crime contre l'humanité ......

 

 


BILL GATES admet que les vaccins servent à la... por rikiai

et  une conférence ou il  nous parle de polution au CO2 comme cause de réchauffement climatique

alors que le Centre de Recherche Langley de la NASA démontre que les gaz à effet de serre, dont le CO2 et le NO, réémettent plus de 95% des dangereux rayonnements solaires qui devraient atteindre notre planète et la réchauffer et les renvoient dans l’espace, contrôlant ainsi la température de notre globe. Plus il y a de CO2 et moins ces rayonnements arrivent à la surface de la Terre. Le CO2 et le NO sont donc des « thermostats naturels » dont l’un des rôles semble être de renvoyer un maximum de chaleur dans l’espace.

Cette observation contredit tout ce que l’on a voulu nous faire croire, à grand renfort d’effets médiatiques, depuis le milieu des années 80 à propos du CO2 et de l’effet de serre ! Ajoutons à cela que la vapeur d’eau, et non pas le CO2, est le gaz à effet de serre de très loin le plus abondant dans notre atmosphère et que sa capacité à agir comme thermostat naturel est en général totalement éclipsée.

sans parler de la quantité infime du CO2 qui compose l'atmosphere 3% , sachant que Les océans absorbent la grande majorité de ce CO2  bref en gros vous polluez la planète va mourir alors on va vous réduire vous les pollueurs mais qu'il commence par lui meme bill gates on le regrettera pas certainement pas  ces millions d'enfants africains qui mourront dans 20 OU 30 ans d'une maladie incurable suite à leur vaccination.............

19 août 2013

Chemtrails : Bill Gates finance un programme d’ensemencement des nuages avec des particules toxiques…

bill gates Par Henri-Emilien De Thulé

Les géo-ingénieurs commencent enfin à sortir du placard à « chemtrails », alors que des rapports émergent qui décrivent des projets délibérés visant à larguer des tonnes et des tonnes de produits chimiques sulfurés dans l’atmosphère avec le but annoncé de combattre le « réchauffement climatique ».
Le journal « The Guardian » du Royaume-Uni et d’autres rapportent qu’un fonds de recherche pesant des millions de dollars, qui se trouve avoir été initié et financé par le fondateur de Microsoft et avocat des vaccinations en masse Bill Gates, sert à promouvoir et financer ce projet. Un gros ballon flottant à 25000m au-dessus de Fort Sumner, au Nouveau-Mexique, lâchera les produits sulfurés dans l’atmosphère au cours de l’année à venir.
Le but présenté pour cette diffusion massive de particules sulfurées toxiques est que cette action reflèterait le rayonnement solaire dans le haut-atmosphère, et refroidirait donc la planète. 
Mais beaucoup de groupes de défense de l’environnement, et des avocats du bon sens critiquent cette idée en la décrivant comme dangereuse, et qu’elle pourrait résulter en des dommages permanents aux écosystèmes à travers le monde.
 
« Les résultats incluent un potentiel pour endommager davantage la couche d’ozone, et la disruption des précipitations, en particulier dans les régions tropicales et subtropicales, mettant potentiellement en danger l’approvisionnement alimentaire de milliards d’êtres humains », a dit Pat Mooney, directeur exécutif de l’ETC Group, un groupement canadien de défense de l’environnement.

Cela ne fera rien pour faire baisser les niveaux de gaz à effet de serre dans l’atmosphère ou stopper l’acidification des océans. Et la géo-ingénierie solaire peut augmenter les risques de conflits internationaux liés au climat, étant donné que les modélisations actuelles démontrent qu’elle pose davantage de risques au « sud » mondial. Mais les cohortes soutenues par Gates persistent dans leurs efforts pour géo-taguer (sic, ndt) le monde, puisque leurs scientifiques insistent que les gouvernements n’en font pas assez pour combattre les effets environnementaux supposés du réchauffement climatique. Si les gouvernements refusent d’imposer des taxes-carbone suffisamment élevées pour éliminer les gaz à effet de serre, en d’autres termes, alors Gates & Co. croient qu’ils n’ont pas d’autre choix que de « sauver la planète » en la polluant avec des particules sulfurées.

Vaporiser des particules sulfurées dans le ciel détruira la planète plus rapidement que le « réchauffement global » ne pourrait jamais le faire. Les particules sulfurées sont, après tout, toxiques, et constituent le même type de matière particulaire ambiante que l’EPA (US Environmental Protection Agency, ndt) considère comme étant un polluant atmosphérique nocif. Vaporiser délibérément le ciel avec de minuscules particules composées de n’importe quelle matière, de toute façon, est dangereux à la fois pour le système respiratoire humain et animal, ainsi que pour les sources d’eau, les sols, et d’autres ressources environnementales délicates
« Des particules sulfurées venant des pluies acides peuvent nuire à la vie aquatique des rivières et des lacs qu’elles contaminent, et résulter en une mortalité, » affirme un guide en ligne sur la pollution de l’eau. Un rapport de l’Université de Washington explique également que les particules sulfurées « contribuent aux pluies acides, causent des irritations pulmonaires, et avoir été le coupable principal dans la création de la brume qui occulte la vue dégagée du Grand Canyon. »
Bloquer le Soleil avec des particules réfléchissantes privera aussi les êtres humains de l’exposition naturelle au rayonnement solaire, qui est une source essentielle dans la métabolisation naturelle de vitamine D dans le corps humain. Une fois de plus donc, Bill Gates est aux manettes d’un projet qui cherche à contrôler le climat de façon artificielle en se servant de produits chimiques toxiques, une entreprise qui est sûre de susciter toutes sortes de problèmes potentiellement irréversibles pour l’humanité et la planète.
 
http://france.eternelle.over-blog.com
http://ja.naturalnews.com/
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19 août 2013

Les OGM : Une guerre secrète biologique

ogm

 le vigilant

Maintenant, nous arrivons au cœur du danger et au potentiel de mauvaise utilisation inhérente au projet de Svalbard de Bill Gates et de la Fondation Rockefeller. Est-ce que le développement de semences brevetées pour la plupart des grandes cultures de subsistance telles que le riz, le maïs, le blé et les céréales fourragères telles que le soja peuvent être utilisées, en fin de compte, dans une horrible forme de guerre biologique?

Le but explicite du lobby eugéniste financé par les riches familles de l’élite telles que Rockefeller, Carnegie, Harriman et autres, depuis les années 1920, a incarné ce qu'ils appellent "l'eugénisme négatif", le massacre systématique de lignées sanguines indésirables. Margaret Sanger, une rapide eugéniste, fondatrice de l'International Planned Parenthood (société internationale de parentalité planifiée) et intime de la famille Rockefeller, créa en 1939 quelque chose appelé The Negro Project (« Le Projet Nègre »), basé à Harlem et qui, comme elle le confia dans une lettre adressée à un ami, concernait le fait tout entier selon lequel, comme elle l'a dit, "nous voulons exterminer la population nègre." 11

Une petite entreprise de biotechnologie située en Californie, Epicyte, a annoncé en 2001 la mise au point d’un maïs génétiquement modifié qui contient un spermicide qui rendait stérile le sperme des hommes qui le mangeaient. A ce moment-là, Epicyte avait un accord de coentreprise afin de répandre sa technologie avec DuPont et Syngenta, deux des sponsors de la réserve de semences du jugement dernier de Svalbard. Epicyte a depuis été acquise par une société de biotechnologie de Caroline du Nord. Le plus étonnant à apprendre est le fait qu’Epicyte avait développé son maïs OGM spermicide avec des fonds de recherche provenant du Département américain de l’Agriculture (USDA), le même qui, en dépit de l'opposition du monde entier, a continué à financer le développement de la technologie Terminator, actuellement détenue par Monsanto.

Dans les années 1990, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) des Nations Unies lança une campagne afin de vacciner des millions de femmes au Nicaragua, au Mexique et aux Philippines, âgées de 15 à 45 ans, prétendument contre le tétanos, une maladie découlant de choses telles que marcher sur un clou rouillé. Le vaccin ne fut pas administré aux hommes ni aux garçons, en dépit du fait qu'ils étaient sans doute tout aussi susceptibles de marcher sur des clous rouillés en que les femmes.

En raison de cette curieuse anomalie, Comite Pro Vida de México (Le Comité pour la vie de Mexico), une organisation catholique romaine, est devenue suspicieuse et fit tester des échantillons du vaccin. Les tests révélèrent que ce vaccin contre le tétanos propagé par l'OMS uniquement pour les femmes en âge d’avoir des enfants contenait de la Gonadotrophine Chorionique ou hCG, une hormone naturelle qui, lorsqu'elle est combinée avec une le transporteur d’une anatoxine tétanique, stimule des anticorps qui rendent une femme incapable de garder une grossesse. Aucune des femmes n’avait été avertie.

Il en est ressorti plus tard que la Fondation Rockefeller, avec le Conseil de la population de Rockefeller, la Banque mondiale (qui abrite le CGIAR), et les Instituts nationaux de la santé des Etats-Unis avaient été impliqués dans un projet d’une durée de 20 ans et qui avait commencé en 1972 à développer un vaccin abortif avec un transporteur du tétanos pour l'OMS. De plus, le Gouvernement de la Norvège, l'hôte de la réserve de semences du jugement dernier de Svalbard, a fait don de $ 41 millions afin de développer le vaccin abortif spécial contre le tétanos.12

Est-ce une coïncidence que ces mêmes organisations, depuis la Norvège jusqu’à la Fondation Rockefeller, en passant par la Banque mondiale, soient également impliquées dans le projet de la banque de semences de Svalbard ? Selon le professeur Francis Boyle, qui a rédigé la loi antiterroriste sur les armes biologiques (Biological Weapons Anti-Terrorism Act) de 1989 promulguée par le Congrès américain, le Pentagone "se prépare désormais à se battre et à gagner la guerre biologique" dans le cadre de deux directives de stratégie nationale de Bush et adoptées, fait-il remarquer, "sans connaissance ni avis du public", en 2002. Boyle ajoute que, en 2001-2004 seul le gouvernement fédéral américain a dépensé $ 14,5 milliards pour le travail civil lié à la guerre biologique, ce qui constitue une somme stupéfiante.


Le biologiste Richard Ebright, de la Rutgers University, estime que plus de 300 institutions scientifiques et que quelque 12.000 individus aux USA aujourd’hui ont accès à des agents pathogènes qui conviennent pour la guerre biologique. Il y a seulement 497 bourses des instituts nationaux de la santé du gouvernement américain pour la recherche au niveau des maladies infectieuses ayant un potentiel de guerre biologique. Bien entendu, ceci est justifié sous le prétexte de se défendre contre des attaques terroristes potentielles, comme c’est souvent le cas de nos jours.

De nombreux dollars du gouvernement américain dépensés dans la recherche sur la guerre biologique impliquent le génie génétique. Le professeur de biologie Jonathan King, du Massachusetts Institute of Technology, dit que “ les programmes croissants de bioterrorisme représentent un danger émergent significatif pour nos propres populations ». King ajoute : “Alors que de tels programmes sont toujours appelés défensifs, avec les armes biologiques, les programmes défensifs et offensifs se chevauchent presque complètement.’ 13

Le temps nous dira si, à Dieu ne plaise, la réserve à Svalbard de semences du jugement dernier de Bill Gates et de la Fondation Rockefeller fait partie d’une autre Solution Finale, impliquant l’extinction de la Grande et Défunte Planète Terre.

F. William Engdahl est l’auteur de “Seeds of Destruction, the Hidden Agenda of Genetic Manipulation” (“Semences de la Destruction : l’agenda cache des manipulations génétiques”) qui vient d’être publié par Global Research. Il est également l’auteur de “A Century of War: Anglo-American Oil Politics and the New World Order” (“Un siècle de guerre : la politique pétrolière anglo-américaine et le Nouvel Ordre Mondial”), Pluto Press Ltd. Pour le contacter par e-mail: info@engdahl.oilgeopolitics.net.

William Engdahl est un partenaire de recherche du Centre pour la recherche sur la mondialisation (Centre for Research on Globalization ou CRG). Ses écrits peuvent être consultés sur www.engdahl.oilgeopolitics.net ainsi que sur Global Research.



NOTES

1 F. William Engdahl,Seeds of Destruction, Montreal, (Global Research, 2007).

2 Ibid, pp.72-90.

3 John H. Davis, Harvard Business Review, 1956, cited in Geoffrey Lawrence, Agribusiness, Capitalism and the Countryside, Pluto Press, Sydney, 1987. See also Harvard Business School, The Evolution of an Industry and a Seminar: Agribusiness Seminar, http://www.exed.hbs.edu/programs/agb/seminar.html.

4 Engdahl, op cit., p. 130.

5 Ibid. P. 123-30.

6 Myriam Mayet, The New Green Revolution in Africa: Trojan Horse for GMOs?, May, 2007, African Centre for Biosafety, www.biosafetyafrica.net.

7 ETC Group, Green Revolution 2.0 for Africa?, Communique Issue #94, March/April 2007.

8 Global Crop Diversity Trust website, in http://www.croptrust.org/main/donors.php.

9 Engdahl, op. cit., pp.227-236.

10 Anders Legarth Smith, Denmark Bans Glyphosates, the Active Ingredient in Roundup, Politiken, September 15, 2003, in organic.com.au/news/2003.09.15.

11 Tanya L. Green, The Negro Project: Margaret Sanger’s Genocide Project for Black American’s, in www.blackgenocide.org/negro.html.

12 Engdahl, op. cit., pp. 273-275; JA Miller, Are New Vaccines Laced With Birth-Control Drugs?, HLI Reports, Human Life International, Gaithersburg, Maryland; June/July 1995, Volume 13, Number 8.

13 Sherwood Ross, Bush Developing Illegal Bioterror Weapons for Offensive Use,’ December 20, 2006, in www.truthout.org.


F. William Engdahl est un analyste de pointe du Nouvel Ordre Mondial, auteur du best-seller sur le pétrole et la géopolitique ”A Century of War: Anglo-American Oil Politics and the New World Order” (“Un siècle de guerre : la politique pétrolière anglo-américaine et le Nouvel Ordre Mondial”). Ses écrits ont été traduits dans plus d’une douzaine de langues.

18 août 2013

VACCIN A BOYCOTTER D'EXTREME URGENCE! Le vaccin contre le CANCER DU COL DE L'UTERUS".

vaccin

Les vaccins contre le "cancer du col de l'utérus" (Gardasil et le Cervarix) - c'est à dire les vaccins contre le papillomavirus -, sont :

- dangereux: ils ont occasionné le décés de plusieurs jeunes filles`

- ils ont  entrainé des maladies graves chez d'autres jeunes filles: voir le résumé d'une étude très officelle et classique publiée dans la principale source de rechercehs biologique et médicale: PubMed

- et de plus leur efficacité n'est pas prouvée. 

Il faut absolument refuser de le faire, même si comme en Angleterre on donne des bons d'achat aux jeunes filles qui se le font faire. C'est un procédé particulièrement ignoble et digne d'une industrie du crime. 

Si un médecin vous fait un chantage sur l'inocuité et l'efficacité de ce vaccin: une seule solution le fuir de toute urgence.

Ces vaccins sont indiqués par les autorités française à partir de l'âge de 9 ans! C'est totalement irresponsable et criminel

Dr Jacques Lacaze

____________________________________________________________________________________

Voici l'étude publiée dans PubMed  

 

Am J Reprod Immunol. 2013 Jul 31. doi: 10.1111/aji.12151. [Epub ahead of print]

Vaccin contre le virus du papillome humain et primaire Insuffisance ovarienne: une autre facette du syndrome auto-immunes / inflammatoires induites par les adjuvants.

Colafrancesco S , Perricone C , Tomljenovic L , Y Shoenfeld .

Source

Zabludowicz Centre pour les maladies autoimmunes Sheba Medical Center, Tel-Hashomer, Israël, Unité de rhumatologie, département de médecine interne et spécialités médicales, Université La Sapienza de Rome, Rome, Italie.

Résumé

PROBLÈME:

Post-vaccination phénomènes auto-immuns sont une facette importante du syndrome auto-immun / inflammatoire induite par des adjuvants (Asie) et les différents vaccins, y compris le VPH, ont été identifiés comme causes possibles.

MÉTHODE D'ÉTUDE:

Les antécédents médicaux de trois jeunes femmes qui ont présenté une aménorrhée secondaire suivant la vaccination contre le VPH ont été recueillis. Les données concernant le type de vaccin, le numéro de la vaccination, les caractéristiques personnelles, cliniques et sérologiques, ainsi que la réponse aux traitements ont été analysés.

RÉSULTATS:

Les trois patients ont développé une aménorrhée secondaire suite à la vaccination contre le VPH, qui n'a pas résolu lors d'un traitement avec des thérapies de substitution hormonale. Dans les trois cas, le développement sexuel était normal et criblage génétique n'a révélé aucune anomalie pertinentes (ie, le syndrome de Turner, le test du X fragile étaient tous négatifs). Évaluations sérologiques ont montré de faibles niveaux de FSH et estradiol accrue et LH et dans deux cas, l'auto-anticorps spécifiques ont été détectés (thyroïde antiovarian et anti), ce qui suggère que le vaccin contre le VPH a déclenché une réaction auto-immune. L'échographie pelvienne n'a pas révélé d'anomalies dans l'un des trois cas. Les trois patients ont présenté une gamme de symptômes post-vaccinaux non spécifiques communs, y compris les perturbations des nausées, des maux de tête, sommeil, arthralgies et une gamme de troubles cognitifs et psychiatriques. Selon ces caractéristiques cliniques, le diagnostic d'insuffisance ovarienne primaire (POF) a été déterminée qui a également rempli les critères requis pour le syndrome ASIE.

CONCLUSION:

Nous avons documenté ici la preuve du potentiel du vaccin contre le VPH pour déclencher une condition auto-immune invalidante. Le nombre croissant de rapports similaires de poste HPV auto-immunité vaccinale en alternance et l'incertitude des avantages cliniques à long terme de la vaccination contre le VPH sont une question de santé publique qui mérite enquête plus rigoureuse.

© 2013 John Wiley & Sons Ltd

MOTS-CLÉS:

Les auto-anticorps, syndrome auto-immunes / inflammatoires induits par les adjuvants, auto-immunité, le virus du papillome humain, une insuffisance ovarienne primaire

PMID: 23902317 [PubMed - comme fourni par l'éditeur

 

 http://www.jacques-lacaze.com/article-vaccin-a-boycotter-d-extreme-urgence-119553493.html

13 août 2013

Le vaccin contre la polio contaminé par le virus SV40 dans les années 50 et 60 serait une des cause des cancers actuels

vaccins

vaccin danger

Un crime parfait après autant de temps personne ne viendra soupçonner ce vaccin !

20 août 2001 – En avril dernier, plus de 60 scientifiques réunis à Chicago ont mis en joue leur ennemi commun: un virus de singe qui a contaminé les premiers vaccins contre la polio entre 1955 et 1963 et qui serait carcinogène. L’affaire est de taille, car on estime qu’à l’époque, plus de 100 millions de personnes, dont entre 10 et 30 millions d’Américains, ont reçu ces vaccins contaminés. Voici le résumé d’une très longue histoire.

En 1955, grâce au Dr Jonas Salk, les humains ont enfin une arme contre la polio, un fléau mondial qui touche à l’époque des centaines de milliers de personnes et en tue des milliers. En 1960, alors que les cas de polio sont en chute libre, une chercheuse du National Institutes of Health découvre que le vaccin Salk est contaminé par un virus de singe – le vaccin est issu de cultures faites sur des tissus rénaux de singes asiatiques – qui se révèle carcinogène chez des animaux de laboratoire. Le SV40 (Simian Virus 40) est isolé l’année suivante et l’agence américaine de santé publique demande alors, discrètement, aux compagnies pharmaceutiques de débarrasser le vaccin de cet intrus. Cependant, elle n’exige pas le rappel des stocks déjà en circulation, soit plus d’une année d’approvisionnement.

La position des autorités médicales américaines n’a pas changé entre 1961 et 2001: oui, le vaccin a été contaminé par le SV40, mais il n’est pas présent dans les tumeurs humaines (ou en infime quantité et les analyses donnent des résultats contradictoires) et les nombreuses études menées sur les populations exposées au vaccin contaminé n’ont jamais pu démontrer une augmentation des cas de cancer.

Voilà qui fait bondir le camp adverse, composé de nombreux scientifiques qui étaient fort sceptiques avant de commencer leurs travaux sur le SV40. Selon eux, ce virus est présent dans les tumeurs, en très petites quantités certes, mais il est redoutable. En effet, de plus en plus de travaux établissent un lien entre le SV40 et certains cancers du cerveau, du mésothéliome (habituellement relié à une exposition à l’amiante) et des os. Le lien n’est pas direct, mais ces chercheurs sont convaincus que le SV40 joue un rôle-clé et qu’il faut élucider son mode d’action pour, non seulement soigner les personnes atteintes de ces types de cancer, mais aussi mettre au point un vaccin qui, en neutralisant le SV40, court-circuiterait la carcinogénèse.

Au moment de la conférence en avril dernier, plus de 60 travaux provenant de 30 laboratoires différents étayaient cette hypothèse. Il semble que la détermination de ces chercheurs oeuvrant partout dans le monde ait fait plier le National Cancer Institute des États-Unis: non seulement l’organisme a émis un avis reconnaissant la possibilité que le virus SV40 soit associé au cancer chez l’homme1, mais il a aussi décidé de financer des travaux dédiés à la mise au point d’un vaccin contre le SV40.

Cette longue histoire ne s’arrête cependant pas là. En effet, aux États-Unis, des dossiers internes des Laboratoires Lederle (le principal fabricant du vaccin contre la polio) ont récemment été rendus publics dans le cadre d’un litige n’ayant pas de rapport avec le virus SV40. Or, ces documents jettent un doute sérieux sur les mesures prises pour éviter la contamination du vaccin Sabin (virus atténué administré par voie orale) qui fut approuvé en 1962, soit sept ans après celui de Salk (virus tué administré par injection). Voilà un point qui, s’il est prouvé un jour, éluciderait un mystère récurrent dans la saga du SV40: comment se fait-il qu’on détecte ce virus dans les tumeurs de personnes nées après 1963, soit après que tous les lots de vaccins Salk contaminés aient été utilisés?

Certaines personnes ne se posent plus la question: les parents d’un enfant mort à 2 ans det demi d’un cancer au cerveau poursuivent Lederle. L’analyse de la tumeur de leur fils a révélé la présence du SV40; il avait été immunisé contre la polio en 1997 à l’aide d’un vaccin Sabin. La mère d’un enfant immunisé de la même façon en 1968 songe aussi à poursuivre la compagnie pharmaceutique: opéré à 2 ans pour un cancer du cerveau, son fils, qui a maintenant 33 ans, vit avec elle et requiert une assistance quotidienne.

Françoise Ruby – PasseportSanté.net

D’après le San Francisco Chronicle – 1

12 août 2013

Des documents secrets dévoilés sur le canular des vaccins

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Si vous avez des enfants, vous êtes plus que probablement déjà au courant des « Calendriers de vaccination » des centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), qui recommandent aujourd’hui un stupéfiant lot de 29 vaccins à donner entre la naissance et six ans, y compris les vaccins annuels contre la grippe, ainsi qu’entre cinq et seize autres vaccins entre 7 et 18 ans.

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Mais un récent rapport d’enquête rédigé par le Dr Lucija Tomljenovic, dévoile plus de 30 ans de documents cachés du gouvernement qui décrivent ces calendriers de vaccination comme un canular complet, sans parler du mensonge des vaccins eux-mêmes pour assurer une réelle protection contre les maladies.

Bien que son étude se concentre principalement sur les dissimulations du système de santé britannique élaboré concernant la triste vérité de son propre programme de vaccination national, les principes de conclusions de l’étude s’appliquent toujours aux calendriers de vaccination en général, qui sont généralement conçus dans le but de servir les intérêts des entreprises plutôt que la santé publique. Il s’avère que les autorités gouvernementales, qui tentent actuellement de satisfaire les objectifs privés de l’industrie du vaccin, ont délibérément dissimulé aux parents des informations pertinentes sur les dangers et l’inefficacité des vaccins afin de maintenir un taux élevé d’acceptation de la vaccination. Et dans le processus, ils ont risqué des effets secondaires graves et des décès pour des millions d’enfants.

Cacher la vérité et dissimuler les données pour encourager l’acquiescement aux vaccins

Grâce à plusieurs demandes par la loi sur la liberté des informations, le Dr Tomljenovic a pu obtenir les transcriptions de séances privées qui ont eu lieu depuis des années entre le Comité mixte sur les vaccins et la vaccination (JCVI en anglais), un soi-disant « comité consultatif d’experts indépendants » qui fait des recommandations au gouvernement sur la politique vaccinale, et divers ministres britanniques de la santé. Et après s’être penchée sur cette pléthore d’informations préalablement voilée au public, le Dr Tomljenovic a fait des découvertes dérangeantes.

« Le JCVI a déployé des efforts continus pour refuser des données critiques sur les réactions indésirables graves et les contre-indications à la vaccination aux parents et aux professionnels de la santé afin d’atteindre les taux de vaccination généraux qu’ils jugeaient être nécessaires pour l’immunisation du troupeau, concept qui … ne repose pas sur des preuves scientifiques solides », explique le Dr Tomljenovic comme introduction à son document.

« Les documents officiels obtenus par le ministère britannique de la Santé et le JCVI révèlent que les autorités sanitaires britanniques se sont engagés dans cette pratique depuis 30 ans, apparemment dans le seul but de protéger le programme national de vaccination. »

Ce sont des accusations graves, mais les informations recueillies par le Dr Tomljenovic parlent d’elles-mêmes. Non seulement le JCVI ignore régulièrement les questions de sécurité comme il en ressort d’un calendrier de vaccination en pleine expansion, mais le groupe a censuré activement et volontairement les données défavorables qui jettent une lumière «négative» sur les vaccins afin de maintenir l’illusion que les vaccins sont sûrs et efficaces. De plus, le JCVI a régulièrement menti à la fois au public et aux autorités gouvernementales à propos de l’innocuité des vaccins, afin de veiller à ce que les gens continuent de faire vacciner leurs enfants.

Vous pouvez ici accéder à l’article complet du Dr Tomljenovic (en anglais).

Le JCVI était pleinement conscient des dangers du vaccin ROR dès 1989, mais l’a caché

À la page trois de son rapport, le Dr Tomljenovic commence à décrire les détails sordides des réunions organisées dès 1981 où le JCVI s’est clairement engagé dans la fraude, la dissimulation, et le mensonges sur les vaccins pour protéger l’industrie du vaccin, et non les enfants, des maladies . Des procès-verbaux de ces réunions révèlent que le JCVI a activement tenté de dissimuler de graves effets secondaires associés aux vaccins courants comme celui contre la rougeole et la coqueluche, qu’on a tous deux clairement reliés pour causer en même temps de graves lésions cérébrales chez un pourcentage important d’enfants qui les ont reçus.

Particulièrement préoccupante est la façon dont le JCVI a manipulé les données défavorables sur le controversé vaccin ROR contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. 10 ans avant que le Dr Andrew Wakefield ne publie son étude sur le vaccin ROR dans The Lancet, le JCVI était déjà pleinement conscient du lien clair établi par l’Institut national des Standards et Contrôles biologiques entre le vaccin RRO et la méningite et l’encéphalite induites par vaccination. Mais plutôt que de présenter cette information et demander d’autres évaluations de sécurité sur le vaccin, le JCVI a préférer censurer cette information critique au public, et a manifestement menti depuis des années au sujet de la sécurité du vaccin ROR .

« L’ampleur des préoccupations du JCVI pour les implications de l’évaluation scientifique de l’innocuité du vaccin sur la politique vaccinale explique pourquoi ils se sont opposés à toute surveillance à long terme des troubles neurologiques graves après vaccination », écrit le Dr Tomljenovic. « Au lieu de réévaluer la politique de vaccination, au moins jusqu’à ce que les problèmes de sécurité aient été pleinement évalués, le JCVI a choisi de soutenir la politique existante basée sur les preuves incomplètes qui étaient disponibles à ce moment-là ».

En d’autres mots, le JCVI était plus soucieux de protéger la réputation du dangereux vaccin ROR, ainsi que de nombreux autres vaccins douteux, que de protéger les enfants des dommages sévères dus aux vaccins. En ce qui concerne le vaccin ROR, cette information cruciale non seulement renforce la légitimité des découvertes du Dr Wakefield 10 ans plus tard, qui avaient été déclarés irrecevables et frauduleuses par l’Establishment médical, mais montre aussi la durée douloureusement longue de cette escroquerie. Les fabricants de vaccins invités à manipuler les fiches techniques et à falsifier les études sur la sécurité pour promouvoir les vaccins

Si ce n’est pas suffisant, le Dr Tomljenovic a aussi peiné sur la somme conséquente d’informations concernant les habitudes de longue date du JCVI d’encourager les fabricants de vaccins à modifier volontairement et conformément à leurs recommandations leurs fiches de données afin de produire des vaccins dangereux et inefficaces qui semblent sûrs et efficaces. Lorsque le guide des contre-indications de la JCVI pour le vaccin ROR, par exemple, ne correspond pas à celles du fabricant du vaccin, le JCVI chargeait apparemment le fabricant de modifier ses fiches techniques pour éviter les « problèmes juridiques ».

De même, la politique officielle du JCVI était de sélectionner les études fiables soutenant ses propres opinions sur les vaccins plutôt que de prendre en compte des études indépendantes et scientifiquement solides pour formuler les recommandations de politique vaccinale. Une fois de plus, la position du JCVI sur la sécurité et l’efficacité du vaccin ROR en est un excellent exemple, lorsque le groupe a d’arrache-pied ignoré de solides études sur le ROR, pour favoriser des études de paccotille soutenues par l’industrie, comme le tristement célèbre compte-rendu de Cochrane en 2005, qui ne prouve techniquement rien sur la prétendue sécurité du vaccin ROR parce que les 31 études évaluées n’ont même pas répondu aux critères méthodologiques du groupe de base.

« Au cours des années, le JCVI n’a cessé de promouvoir le vaccin ROR comme sans danger, en se basant sur des études qui se sont révélées soit non pertinentes, peu concluantes ou méthodologiquement contestables », explique le Dr Tomljenovic, ajoutant que le JCVI choisit systématiquement de s’appuyer sur d’imparfaites études épidémiologiques qui ont juste identifié « associé à » plutôt que « causé par », une inexactitude plutôt ironique en regard de la manière dont l’establishement examine généralement les études qui contredisent ses propres positions.

L’article de 45 pages de révélations continue avec des explications sur la manière d’établir les calendriers vaccinaux par une minimisation calculée des problèmes de sécurité vaccinale et le sur-gonflage des avantages des vaccins, la promotion de dangereux nouveaux vaccins dans le calendrier pédiatrique par la supercherie, la dissuasion pour des études sur le danger des vaccins, et le lavage de cerveau généralisé du public par le biais de la manipulation et les tours de passe-main des scientifiques.

Traduit de l’anglais par Helios pour BBB

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Si vous avez des enfants, vous êtes plus que probablement déjà au courant des « Calendriers de vaccination » des centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), qui recommandent aujourd’hui un stupéfiant lot de 29 vaccins à donner entre la naissance et six ans, y compris les vaccins annuels contre la grippe, ainsi qu’entre cinq et seize autres vaccins entre 7 et 18 ans.

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Mais un récent rapport d’enquête rédigé par le Dr Lucija Tomljenovic, dévoile plus de 30 ans de documents cachés du gouvernement qui décrivent ces calendriers de vaccination comme un canular complet, sans parler du mensonge des vaccins eux-mêmes pour assurer une réelle protection contre les maladies.

Bien que son étude se concentre principalement sur les dissimulations du système de santé britannique élaboré concernant la triste vérité de son propre programme de vaccination national, les principes de conclusions de l’étude s’appliquent toujours aux calendriers de vaccination en général, qui sont généralement conçus dans le but de servir les intérêts des entreprises plutôt que la santé publique. Il s’avère que les autorités gouvernementales, qui tentent actuellement de satisfaire les objectifs privés de l’industrie du vaccin, ont délibérément dissimulé aux parents des informations pertinentes sur les dangers et l’inefficacité des vaccins afin de maintenir un taux élevé d’acceptation de la vaccination. Et dans le processus, ils ont risqué des effets secondaires graves et des décès pour des millions d’enfants.

Cacher la vérité et dissimuler les données pour encourager l’acquiescement aux vaccins

Grâce à plusieurs demandes par la loi sur la liberté des informations, le Dr Tomljenovic a pu obtenir les transcriptions de séances privées qui ont eu lieu depuis des années entre le Comité mixte sur les vaccins et la vaccination (JCVI en anglais), un soi-disant « comité consultatif d’experts indépendants » qui fait des recommandations au gouvernement sur la politique vaccinale, et divers ministres britanniques de la santé. Et après s’être penchée sur cette pléthore d’informations préalablement voilée au public, le Dr Tomljenovic a fait des découvertes dérangeantes.

« Le JCVI a déployé des efforts continus pour refuser des données critiques sur les réactions indésirables graves et les contre-indications à la vaccination aux parents et aux professionnels de la santé afin d’atteindre les taux de vaccination généraux qu’ils jugeaient être nécessaires pour l’immunisation du troupeau, concept qui … ne repose pas sur des preuves scientifiques solides », explique le Dr Tomljenovic comme introduction à son document.

« Les documents officiels obtenus par le ministère britannique de la Santé et le JCVI révèlent que les autorités sanitaires britanniques se sont engagés dans cette pratique depuis 30 ans, apparemment dans le seul but de protéger le programme national de vaccination. »

Ce sont des accusations graves, mais les informations recueillies par le Dr Tomljenovic parlent d’elles-mêmes. Non seulement le JCVI ignore régulièrement les questions de sécurité comme il en ressort d’un calendrier de vaccination en pleine expansion, mais le groupe a censuré activement et volontairement les données défavorables qui jettent une lumière «négative» sur les vaccins afin de maintenir l’illusion que les vaccins sont sûrs et efficaces. De plus, le JCVI a régulièrement menti à la fois au public et aux autorités gouvernementales à propos de l’innocuité des vaccins, afin de veiller à ce que les gens continuent de faire vacciner leurs enfants.

Vous pouvez ici accéder à l’article complet du Dr Tomljenovic (en anglais).

Le JCVI était pleinement conscient des dangers du vaccin ROR dès 1989, mais l’a caché

À la page trois de son rapport, le Dr Tomljenovic commence à décrire les détails sordides des réunions organisées dès 1981 où le JCVI s’est clairement engagé dans la fraude, la dissimulation, et le mensonges sur les vaccins pour protéger l’industrie du vaccin, et non les enfants, des maladies . Des procès-verbaux de ces réunions révèlent que le JCVI a activement tenté de dissimuler de graves effets secondaires associés aux vaccins courants comme celui contre la rougeole et la coqueluche, qu’on a tous deux clairement reliés pour causer en même temps de graves lésions cérébrales chez un pourcentage important d’enfants qui les ont reçus.

Particulièrement préoccupante est la façon dont le JCVI a manipulé les données défavorables sur le controversé vaccin ROR contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. 10 ans avant que le Dr Andrew Wakefield ne publie son étude sur le vaccin ROR dans The Lancet, le JCVI était déjà pleinement conscient du lien clair établi par l’Institut national des Standards et Contrôles biologiques entre le vaccin RRO et la méningite et l’encéphalite induites par vaccination. Mais plutôt que de présenter cette information et demander d’autres évaluations de sécurité sur le vaccin, le JCVI a préférer censurer cette information critique au public, et a manifestement menti depuis des années au sujet de la sécurité du vaccin ROR .

« L’ampleur des préoccupations du JCVI pour les implications de l’évaluation scientifique de l’innocuité du vaccin sur la politique vaccinale explique pourquoi ils se sont opposés à toute surveillance à long terme des troubles neurologiques graves après vaccination », écrit le Dr Tomljenovic. « Au lieu de réévaluer la politique de vaccination, au moins jusqu’à ce que les problèmes de sécurité aient été pleinement évalués, le JCVI a choisi de soutenir la politique existante basée sur les preuves incomplètes qui étaient disponibles à ce moment-là ».

En d’autres mots, le JCVI était plus soucieux de protéger la réputation du dangereux vaccin ROR, ainsi que de nombreux autres vaccins douteux, que de protéger les enfants des dommages sévères dus aux vaccins. En ce qui concerne le vaccin ROR, cette information cruciale non seulement renforce la légitimité des découvertes du Dr Wakefield 10 ans plus tard, qui avaient été déclarés irrecevables et frauduleuses par l’Establishment médical, mais montre aussi la durée douloureusement longue de cette escroquerie. Les fabricants de vaccins invités à manipuler les fiches techniques et à falsifier les études sur la sécurité pour promouvoir les vaccins

Si ce n’est pas suffisant, le Dr Tomljenovic a aussi peiné sur la somme conséquente d’informations concernant les habitudes de longue date du JCVI d’encourager les fabricants de vaccins à modifier volontairement et conformément à leurs recommandations leurs fiches de données afin de produire des vaccins dangereux et inefficaces qui semblent sûrs et efficaces. Lorsque le guide des contre-indications de la JCVI pour le vaccin ROR, par exemple, ne correspond pas à celles du fabricant du vaccin, le JCVI chargeait apparemment le fabricant de modifier ses fiches techniques pour éviter les « problèmes juridiques ».

De même, la politique officielle du JCVI était de sélectionner les études fiables soutenant ses propres opinions sur les vaccins plutôt que de prendre en compte des études indépendantes et scientifiquement solides pour formuler les recommandations de politique vaccinale. Une fois de plus, la position du JCVI sur la sécurité et l’efficacité du vaccin ROR en est un excellent exemple, lorsque le groupe a d’arrache-pied ignoré de solides études sur le ROR, pour favoriser des études de paccotille soutenues par l’industrie, comme le tristement célèbre compte-rendu de Cochrane en 2005, qui ne prouve techniquement rien sur la prétendue sécurité du vaccin ROR parce que les 31 études évaluées n’ont même pas répondu aux critères méthodologiques du groupe de base.

« Au cours des années, le JCVI n’a cessé de promouvoir le vaccin ROR comme sans danger, en se basant sur des études qui se sont révélées soit non pertinentes, peu concluantes ou méthodologiquement contestables », explique le Dr Tomljenovic, ajoutant que le JCVI choisit systématiquement de s’appuyer sur d’imparfaites études épidémiologiques qui ont juste identifié « associé à » plutôt que « causé par », une inexactitude plutôt ironique en regard de la manière dont l’establishement examine généralement les études qui contredisent ses propres positions.

L’article de 45 pages de révélations continue avec des explications sur la manière d’établir les calendriers vaccinaux par une minimisation calculée des problèmes de sécurité vaccinale et le sur-gonflage des avantages des vaccins, la promotion de dangereux nouveaux vaccins dans le calendrier pédiatrique par la supercherie, la dissuasion pour des études sur le danger des vaccins, et le lavage de cerveau généralisé du public par le biais de la manipulation et les tours de passe-main des scientifiques.

Traduit de l’anglais par Helios pour BBB

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1 août 2013

Le Conseil d'État a annulé jeudi l'interdiction de cultiver des OGM en France

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Il est de nouveau possible de cultiver des OGM en France. Le Conseil d'État a annulé jeudi l'interdiction de cultiver en France le maïs transgénique MON810 de la firme américaine Monsanto. « Il ressort en effet de la jurisprudence de la Cour de justice de l'Union européenne qu'une telle mesure ne peut être prise par un Etat membre qu'en cas d'urgence et en présence d'une situation susceptible de présenter un risque important mettant en péril de façon manifeste la santé humaine, la santé animale ou l'environnement », explique l'instance dans sa décision. « Ce risque doit être constaté sur la base d'éléments nouveaux reposant sur des données scientifiques fiables », ajoute-t-il. Or, relève l'instance, un avis sur la question de l'Autorité européenne de sécurité des aliments, datant de décembre 2011, « ni aucun autre élément du dossier » ne permettent de caractériser ce risque.

« Une décision sera prise avant les prochains semis »

Le gouvernement a immédiatement réagi, en expliquant qu'une décision quant à l'utilisation des maïs MON810 serait prise avant les prochains semis, c'est à dire pour la période avril-juin 2014. Le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, avait laissé entendre jeudi qu'en cas d'annulation de l'interdiction, le gouvernement prendrait de nouvelles dispositions légales pour interdire ce maïs.
L'écologiste François de Rugy, coprésident du groupe Europe Ecologie-Les Verts (EELV) à l'Assemblée, s'est dit « surpris » de la décision du Conseil d'Etat. « C'est une interprétation très particulière de la jurisprudence européenne », a-t-il commenté sur BFM TV. « Je rappelle que la législation européenne autorise un Etat, la France en l'occurrence, à interdire l'utilisation, par exemple des semences OGM, si cela met en péril la santé humaine, la santé animale ou l'environnement. Nous sommes bien dans ce champ-là», a-t-il estimé. Le Conseil d'Etat « ne tient absolument pas compte des derniers résultats de recherche », a poursuivi le député, citant notamment l'étude du biologiste français Gilles-Eric Seralini sur des rats qui démontre les effets dommageables de maïs transgéniques Monsanto. Ses conclusions, très contestées, ont été dévoilées en septembre 2012.

Pas de culture, mais de l'importation

Le maïs MON810 de Monsanto est le seul OGM cultivé en Europe, BASF ayant renoncé à produire dans l'Union sa pomme de terre Amflora. La France, comme d'autres pays européens (Autriche, Hongrie, Grèce, Roumanie, Bulgarie, Luxembourg), a interdit depuis 2008 la culture du MON810 sur son sol. Elle importe néanmoins des produits génétiquement modifiés pour l'alimentation animale ou l'industrie agroalimentaire. En 2011, à la suite d'une décision de la Cour de justice européenne, le Conseil d'État avait déjà levé la suspension de culture appliquée au MON810. Le gouvernement Fillon avait alors réagi en mars 2012 en produisant un nouvel arrêté interdisant temporairement le culture de ce maïs transgénique.

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