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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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vaccination
3 octobre 2013

Voilà à présent que le Dalaï-Lama se mêle de vacciner les bébés indiens

 

dalai-lama

Sayer Ji, directeur de la Nutrition  au Centre de naissance de Naples et fondateur de GreenMedInfo, nous annonçait cette surprenante nouvelle. (http://www.greenmedinfo.com)

Je suis entièrement d’accord avec ses propos que je vous livreLe Dalaï-Lama administre un vaccin polio à un nourrisson  

« Sur la photo ci-dessus on peut voir le Dalaï-Lama administrer le vaccin polio oral bivalent (bOPV) à un nourrisson dans le complexe du temple  Mahabodhi (Etat Indien du Bihar) – le site sacré où l’on pense que le Bouddha a reçu l’illumination il y a environ 2500 ans. 

« Au cours de cet événement télévisé et hautement symbolique, le Dalaï-Lama a, dans un geste de compassion, vacciné deux enfants, comme aussi manifesté son soutien à la Journée Nationale Indienne d’Immunisation et à l’Initiative Mondiale d’Eradication de la Polio dont les échecs et les duplicités ont été exposées dans d’autres articles. 

« Le 14e Dalaï-Lama n’est pas seulement le dirigeant politique exilé du Tibet, mais comme le pensent ses disciples, la manifestation vivante du Bodhisattva de la compassion, et en tant que telle une expression de l’illumination. Il n’est dès lors pas banal pour lui d’administrer personnellement des vaccins à des nourrissons à l’endroit même où l’on pense que le Bouddha a atteint l’illumination. » 

  

En vaccinant des nourrissons, le Dalaï-Lama aurait-il abandonné les Principes Ethiques du Bouddhisme ?

 « Le concept ne pas faire le moindre mal est fondamental dans les enseignements Bouddhistes comme dans ceux d’autres religions de l’Inde (Hindouisme, Jaïnisme). Ce principe est connu sous le nom d’Ahimsa (littéralement : éviter toute violence). On ne pourrait par exemple justifier la mise à mort d’un animal pour sauver sa propre vie. C’est une des raisons  pour lesquelles beaucoup de Bouddhistes sont végétariens. 

« On ne pourrait non plus justifier de tuer un enfant pour en sauver 1 million d’autres comme le font souvent ceux qui évaluent le rapport bénéfices/risques des vaccins (qui dans de rares cas peuvent handicaper ou tuer) par rapport à l’ensemble de la société. Il s’agit uniquement et simplement de ne pas faire le moindre mal. Dans le Bouddhisme, ce principe n’est pas davantage ouvert à la négociation que la filiation divine de Jésus pour les chrétiens.

 

Le Dalaï- Lama a, un jour, lui-même déclaré :

 « Si vous le pouvez, aidez les autres ; si vous ne le pouvez pas, au moins ne leur faites pas le moindre mal ».

« Quand le principe de la non violence ou Ahimsa s’applique à des interventions médicales ou à l’exposition à des produits chimiques, il se traduit par le « principe de précaution » qui exige que si une action est suspectée de comporter le risque de causer des dégâts au public ou à l’environnement, la charge de la preuve que le dit produit est sans danger incombe aux auteurs de l’action en question.

« […]  La plupart des études sur la sécurité des vaccins ont non seulement été financées par les fabricants de vaccins eux-mêmes, mais une grande partie des connaissances sur la sécurité des vaccins n’est acquise que bien longtemps après que les vaccins ont été mis sur le marché et que la population  a déjà été exposée aux risques. Ce qui veut dire que l’information la plus complète sur la sécurité des vaccins n’est acquise qu’au travers d’études de surveillance post marketing et des déclarations d’effets secondaires rapportés par le public.

« En d’autres mots, le principe de précaution est ignoré en faveur du « poids de la preuve » qui met sur les épaules de ceux qui ont déjà été exposés à un risque potentiel, de prouver qu’une intervention médicale comporte bel et bien des risques (alors que ces derniers n’en ont pas été complètement et préalablement informés). Ce point est essentiel par rapport au principe du consentement libre et éclairé.

«  […]  Dans le cas du vaccin contre la polio le risque connu d’une paralysie induite par le vaccin est évalué par rapport aux bénéfices théoriques de la vaccination. Contrairement au principe de précaution, la norme constitue à déterminer  “un niveau acceptable de dommages”. Si en fait il n’y a qu’un “faible pourcentage” d’enfants vaccinés qui deviennent paralysés ou qui décèdent après la vaccination, le vaccin sera néanmoins justifié et approuvé. Ceci viole clairement le principe Bouddhiste de l’Ahimsa évoqué plus haut. »

 Le Dalaï-Lama a contribué à « lancer » en Inde le nouveau vaccin polio bivalent qui comporte des risques plus élevés.

 « Il est triste de constater que le Dalaï-Lama n’a pas fait que vacciner deux enfants indiens le 10 janvier 2010, il a aussi officiellement lancé le nouveau vaccin polio oral bivalent (bOPV) qui selon un article de 2011 publié dans l’American Journal of Epidemiology aurait, dans une population Hongroise, présenté un risque de paralysie 4 fois plus élevé que le vaccin monovalent 3, et un risque 70 fois plus élevé de paralysie que le vaccin polio monovalent 1 auquel il était comparé.

« Plus troublant encore est le fait que 47.500 cas de paralysies associées au vaccin polio (paralysies flasques aiguës) auraient été découverts chez des nourrissons et enfants indiens rien qu’en 2011 à la suite du lancement du « nouveau vaccin amélioré.

« […]  Si la compassion vis-à-vis des pauvres et des malades est la véritable motivation des campagnes mondiales de vaccinations, pourquoi dès lors ne met-on pas autant l’accent et n’accorde-t-on pas autant de moyens pour l’alimentation et l’amélioration de l’hygiène ?

« On a dépensé des milliards de dollars pour fournir des milliards de doses de vaccins aux enfants indiens et pas un penny n’a été accordé pour améliorer et renforcer le système immunitaire de tous ces enfants.

 « Nous pouvons supposer que le Dalaï-Lama n’est pas bien au fait de ces divers éléments et fait confiance aux positions officielles concernant la sécurité des vaccins.

« Mais si c’est le cas, le Bouddha lui-même avait déjà pris position par rapport à une foi aveugle. Il disait :

« Ne croyez rien juste parce qu’un certain sage l’a dit. Ne croyez rien juste parce que c’est une croyance répandue et générale. Ne croyez rien juste parce que c’est écrit dans des livres anciens. Ne croyez rien juste parce que quelqu’un d’autre le croit… Quand après observation et analyse vous trouvez que la raison est respectée et que ce qui est proposé pourra contribuer au plus grand bien de tous, alors acceptez la chose et tentez d’y conformer votre vie.

« Ce qui est difficile à réaliser c’est qu’un leader politique et spirituel de son envergure ne puisse pas comprendre et suivre les principes Bouddhistes médico-éthiques, tout spécialement  quand il y va de la santé et du bien-être des plus vulnérables : les enfants pauvres et souvent malades.

«  […]  Il existe un nombre croissant de preuves qui montrent que les vaccinations de routine peuvent provoquer plus de 200 effets secondaires différents, y compris la mort. Cela c’est la science qui le dit ; il ne s’agit nullement d’opinions ou de croyances. »

                                                                                                                                                            Sayer Ji

 

Votre corps est précieux. Il est votre véhicule pour atteindre l’Eveil.

Prenez-en grand soin.

Bouddha


 

 http://www.greenmedinfo.com/blog/questioning-dalai-lama-who-would-buddha-vaccinate1

Sayer Ji, directeur de la Nutrition  au Centre de naissance de Naples et fondateur de GreenMedInfo, nous annonçait cette surprenante nouvelle. (http://www.greenmedinfo.com)

 

Je suis entièrement d’accord avec ses propos que je vous livre :

 

  

 

Le Dalaï-Lama administre un vaccin polio à un nourrisson  

 

 

 

« Sur la photo ci-dessus on peut voir le Dalaï-Lama administrer le vaccin polio oral bivalent (bOPV) à un nourrisson dans le complexe du temple  Mahabodhi (Etat Indien du Bihar) – le site sacré où l’on pense que le Bouddha a reçu l’illumination il y a environ 2500 ans. 

 

« Au cours de cet événement télévisé et hautement symbolique, le Dalaï-Lama a, dans un geste de compassion, vacciné deux enfants, comme aussi manifesté son soutien à la Journée Nationale Indienne d’Immunisation et à l’Initiative Mondiale d’Eradication de la Polio dont les échecs et les duplicités ont été exposées dans d’autres articles. 

 

« Le 14e Dalaï-Lama n’est pas seulement le dirigeant politique exilé du Tibet, mais comme le pensent ses disciples, la manifestation vivante du Bodhisattva de la compassion, et en tant que telle une expression de l’illumination. Il n’est dès lors pas banal pour lui d’administrer personnellement des vaccins à des nourrissons à l’endroit même où l’on pense que le Bouddha a atteint l’illumination. » 

 

  

 

En vaccinant des nourrissons, le Dalaï-Lama aurait-il abandonné les Principes Ethiques du Bouddhisme ?

 

 

 

« Le concept ne pas faire le moindre mal est fondamental dans les enseignements Bouddhistes comme dans ceux d’autres religions de l’Inde (Hindouisme, Jaïnisme). Ce principe est connu sous le nom d’Ahimsa (littéralement : éviter toute violence). On ne pourrait par exemple justifier la mise à mort d’un animal pour sauver sa propre vie. C’est une des raisons  pour lesquelles beaucoup de Bouddhistes sont végétariens. 

 

« On ne pourrait non plus justifier de tuer un enfant pour en sauver 1 million d’autres comme le font souvent ceux qui évaluent le rapport bénéfices/risques des vaccins (qui dans de rares cas peuvent handicaper ou tuer) par rapport à l’ensemble de la société. Il s’agit uniquement et simplement de ne pas faire le moindre mal. Dans le Bouddhisme, ce principe n’est pas davantage ouvert à la négociation que la filiation divine de Jésus pour les chrétiens.

 

 

 

Le Dalaï- Lama a, un jour, lui-même déclaré :

 

 

 

« Si vous le pouvez, aidez les autres ; si vous ne le pouvez pas, au moins ne leur faites pas le moindre mal ».

 

« Quand le principe de la non violence ou Ahimsa s’applique à des interventions médicales ou à l’exposition à des produits chimiques, il se traduit par le « principe de précaution » qui exige que si une action est suspectée de comporter le risque de causer des dégâts au public ou à l’environnement, la charge de la preuve que le dit produit est sans danger incombe aux auteurs de l’action en question.

 

« […]  La plupart des études sur la sécurité des vaccins ont non seulement été financées par les fabricants de vaccins eux-mêmes, mais une grande partie des connaissances sur la sécurité des vaccins n’est acquise que bien longtemps après que les vaccins ont été mis sur le marché et que la population  a déjà été exposée aux risques. Ce qui veut dire que l’information la plus complète sur la sécurité des vaccins n’est acquise qu’au travers d’études de surveillance post marketing et des déclarations d’effets secondaires rapportés par le public.

 

« En d’autres mots, le principe de précaution est ignoré en faveur du « poids de la preuve » qui met sur les épaules de ceux qui ont déjà été exposés à un risque potentiel, de prouver qu’une intervention médicale comporte bel et bien des risques (alors que ces derniers n’en ont pas été complètement et préalablement informés). Ce point est essentiel par rapport au principe du consentement libre et éclairé.

 

«  […]  Dans le cas du vaccin contre la polio le risque connu d’une paralysie induite par le vaccin est évalué par rapport aux bénéfices théoriques de la vaccination. Contrairement au principe de précaution, la norme constitue à déterminer  “un niveau acceptable de dommages”. Si en fait il n’y a qu’un “faible pourcentage” d’enfants vaccinés qui deviennent paralysés ou qui décèdent après la vaccination, le vaccin sera néanmoins justifié et approuvé. Ceci viole clairement le principe Bouddhiste de l’Ahimsa évoqué plus haut. »

 

 

 

Le Dalaï-Lama a contribué à « lancer » en Inde le nouveau vaccin polio bivalent qui comporte des risques plus élevés.

 

 

 

« Il est triste de constater que le Dalaï-Lama n’a pas fait que vacciner deux enfants indiens le 10 janvier 2010, il a aussi officiellement lancé le nouveau vaccin polio oral bivalent (bOPV) qui selon un article de 2011 publié dans l’American Journal of Epidemiology aurait, dans une population Hongroise, présenté un risque de paralysie 4 fois plus élevé que le vaccin monovalent 3, et un risque 70 fois plus élevé de paralysie que le vaccin polio monovalent 1 auquel il était comparé.

 

« Plus troublant encore est le fait que 47.500 cas de paralysies associées au vaccin polio (paralysies flasques aiguës) auraient été découverts chez des nourrissons et enfants indiens rien qu’en 2011 à la suite du lancement du « nouveau vaccin amélioré.

 « […]  Si la compassion vis-à-vis des pauvres et des malades est la véritable motivation des campagnes mondiales de vaccinations, pourquoi dès lors ne met-on pas autant l’accent et n’accorde-t-on pas autant de moyens pour l’alimentation et l’amélioration de l’hygiène ?

 « On a dépensé des milliards de dollars pour fournir des milliards de doses de vaccins aux enfants indiens et pas un penny n’a été accordé pour améliorer et renforcer le système immunitaire de tous ces enfants.

  « Nous pouvons supposer que le Dalaï-Lama n’est pas bien au fait de ces divers éléments et fait confiance aux positions officielles concernant la sécurité des vaccins.

 « Mais si c’est le cas, le Bouddha lui-même avait déjà pris position par rapport à une foi aveugle. Il disait :

 « Ne croyez rien juste parce qu’un certain sage l’a dit. Ne croyez rien juste parce que c’est une croyance répandue et générale. Ne croyez rien juste parce que c’est écrit dans des livres anciens. Ne croyez rien juste parce que quelqu’un d’autre le croit… Quand après observation et analyse vous trouvez que la raison est respectée et que ce qui est proposé pourra contribuer au plus grand bien de tous, alors acceptez la chose et tentez d’y conformer votre vie.

 « Ce qui est difficile à réaliser c’est qu’un leader politique et spirituel de son envergure ne puisse pas comprendre et suivre les principes Bouddhistes médico-éthiques, tout spécialement  quand il y va de la santé et du bien-être des plus vulnérables : les enfants pauvres et souvent malades.

 «  […]  Il existe un nombre croissant de preuves qui montrent que les vaccinations de routine peuvent provoquer plus de 200 effets secondaires différents, y compris la mort. Cela c’est la science qui le dit ; il ne s’agit nullement d’opinions ou de croyances. »

 

                                                                                                                                                            Sayer Ji

 

 

 

Votre corps est précieux. Il est votre véhicule pour atteindre l’Eveil.

 

Prenez-en grand soin.

 

Bouddha


 

 

 

 http://www.greenmedinfo.com/blog/questioning-dalai-lama-who-would-buddha-vaccinate1

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1 octobre 2013

L'homme qui ne descendait pas d'Adam

peche-originelIl s'appelait Albert Perry. Décédé il y a quelques années, c'était un Afro-Américain vivant en Caroline du Sud, lointain descendant d'esclaves que la traite négrière avait amenés d'Afrique de l'ouest dans le Nouveau Monde. On n'en saura guère plus sur lui, si ce n'est, comme le rapporte le New Scientist, qu'un jour, une de ses parentes envoya un échantillon contenant son ADN à une entreprise proposant d'en extraire des informations sur ses origines. Ces tests de généalogie génétique sont réalisés à partir d'ADN mitochondrial, qui est transmis par la mère à ses enfants et retrace la lignée maternelle (la mère, la grand-mère maternelle, la mère de celle-ci, etc.), ou bien – et seulement pour les mâles – à partir du chromosome Y. Celui-ci donnera des informations sur la lignée paternelle (le père, le grand-père paternel, son père, etc.).


Lorsque l'échantillon d'Albert Perry atterrit dans le laboratoire chargé d'effectuer cette analyse, un problème inédit apparut : la séquence génétique portée par son chromosome Y ne ressemblait à rien de connu. Pour le dire autrement, on peut faire remonter tous les chromosomes Y des hommes de la Terre au plus récent ancêtre masculin commun, un homme qui vivait en Afrique il y a environ 140 000 ans. Ce dernier est surnommé l'« Adam génétique » en référence au premier homme de l'Ancien Testament (il y a aussi une Eve mitochondriale). Mais le chromosome Y d'Albert Perry ne descendait pas de cet Adam-là.

Cette surprenante exception a poussé une équipe internationale à approfondir les recherches sur ce chromosome Y si particulier et les résultats de ce travail viennent d'être publiés dans l'American Journal of Human Genetics (AJHG). Puisque, de toute évidence, l'Adam génétique d'il y a 140 000 ans n'était plus le bon, tout l'arbre phylogénétique du chromosome Y humain, qui retrace sa généalogie dans le monde entier, était à reconstruire. En comparant entre elles les variations génétiques de différents groupes ethniques, en les comparant aussi avec celles de notre proche cousin le chimpanzé et en estimant la vitesse à laquelle ces mutations apparaissent, ces chercheurs ont pu remonter dans le temps et greffer l'arbre généalogique précédemment en vigueur sur un tronc plus ancien d'où partait la branche qui a porté le chromosome Y d'Albert Perry.

Et l'arbre a pris un bon coup de vieux. Selon leurs calculs, le nouvel Adam génétique, l'ancêtre dont sont issus le chromosome Y de tous les hommes actuels et le chromosome Y d'Albert Perry, vivait toujours en Afrique, mais il y a près de 340 000 ans. Comme l'a déclaré au New Scientist Jon Wilkins, du Ronin Institute dans le New Jersey, qui n'a pas pris part à cette étude, depuis que l'on fait de la génétique on a « regardé les chromosomes Y. Déplacer à ce point la racine de l'arbre du chromosome Y est extrêmement surprenant. »

Mais en plus de constituer une surprise, ce bouleversement pose un gros problème de date, tout simplement parce que, il y a 340 000 ans, l'homme moderne n'était pas encore né ! D'après les données fossiles, son apparition date d'il y a environ 200 000 ans. Comment Albert Perry, qui était sans nul doute un Homo sapiens, a-t-il pu se retrouver porteur d'un chromosome Y datant d'un Homo "archaïque" alors que tous ses congénères disposaient d'une version plus récente ? Casse-tête ? Pas vraiment si l'on considère que le scénario de l'évolution de l'homme est non pas linéaire mais semblable à un buisson dont les branches se séparent... puis se recroisent. Une hypothèse probable est que, il y a plusieurs milliers d'années, le groupe ethnique d'Homo sapiens dont Albert Perry est descendu s'est mélangé avec un groupe d'humains "archaïques". Ces derniers ont aujourd'hui disparu mais ils ont, lors de cet échange de gamètes, réinjecté dans la population d'hommes modernes un chromosome Y qui n'y était plus présent sous cette forme. Un chromosome qui s'est ensuite transmis de père en fils pendant des générations et des générations, jusqu'à Albert Perry... et à quelques autres.

En explorant des bases de données génétiques, les auteurs de l'étude ont fini par mettre la main sur les Mbo, un peuple africain vivant dans le sud-ouest du Cameroun, dans la région du Littoral. Dans cette base de données se trouvaient 11 hommes Mbo (sur 174 enregistrés) dont le chromosome Y présentait des caractéristiques analogues à celles du chromosome Y d'Albert Perry – lequel était probablement leur lointain cousin. Les chercheurs notent que les Mbo vivent à moins de 800 kilomètres du site préhistorique nigérian d'Iwo Eleru, où des paléoanthropologues ont établi qu'Homo sapiens a cohabité et s'est reproduit avec les descendants d'une lignée plus ancienne. Pour ces généticiens, une découverte comme celle du chromosome Y d'Albert Perry souligne à quel point les bases de données sont lacunaires : « Il est probable, écrivent-ils, qu'une bien meilleure compréhension de la phylogénie du chromosome Y, et des variations génétiques en général, serait obtenue si des relevés plus denses et plus réguliers étaient effectués dans toute l'Afrique subsaharienne, étant donné son haut niveau de diversité génétique. »
c'est bien gentil tout çà et à aucun moment on vous parle de l'hybridation homme et reptilen pour un but  évident ,  que cette version atomise la création et redonne des arguments évolutionistes ,nous sommes devant une tentative de falsification de l'histoire il faut etre prudent avec ce genre de texte qui circule sur le web .....En effet selon la théorie de certains scientifiques le chromosome Y est en dégénérescence et appelé à disparaître. Des travaux effectués par une équipe américano-néerlandaise, révèlent que le chromosome Y comporte de larges régions palindromiques, suspectées de permettre l'autoréparation d'un ADN endommagé. Depuis on pense que, pour se réparer, le chromosome Y, aurait recours à des recombinaisons intrapalindromiques, par échange et recombinaison de l'information située entre les régions palindromiques. Le mécanisme lui-même est inconnu, tout comme ses conséquences néfastes possibles. Les chercheurs sont en effet partis d'un groupe de 2400 patients ayant tous des anomalies sexuelles diverses(pour ce qui est des problèmes sexuelles la descendance reptilienne provient d'un etre hybride hermaphrodite ) et on a découvert de nombreux chromosomes Y "autorecombinés" anormaux, en particulier les chromosomes à deux centromères. Cette anomalie est défavorable car elle complique et provoque des erreurs dans le processus de mitose, ce qui pourrait être à l'origine des défauts observés. Les chercheurs pensent que la présence de deux centromères provient de recombinaisons aberrantes des régions palindromiques qui pourraient tout aussi bien créer des chromosomes sans centromères. En conclusion le chromosome Y s'autorépare probablement bien par commutation de régions palindromiques mais au risque de générer des anomalies graves.  une des raison pour laquelle les élites les stars reptilienne adoptent des enfants ou font appel au clonage .de plus ce sont les lézards bizarrement qui ont la capacité de s'auto-réparer exemple vous couper la queue d'un lézard et elle repousse je pense que cela est une des piste à poursuivre ,ainsi que la vaccination L'autisme touche plus fréquemment les garçons que les filles (3 ou 4 pour une, selon le Ministère de la santé). C'est pourquoi on suspecte un facteur génétique ou hormonal. Une hypothèse est d'ailleurs avancée : une "masculinisation" du cerveau, liée à une action de la testostérone et du chromosome Y.alors si en vaccinant  vous remettez une dose de y cela créera une perturbation grave comme autisme et maladie auto immune en tous  genres ........le but : la réponse est dans ce sujet pour vous dire vous voyez cet homme ne descend pas d'adam mais certainement d'un singe détruisant toute création au profit de l'évolution .....................R james.


Source : http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2013/03/10/homme-qui-ne-descendait-pas-d-adam/

 

23 septembre 2013

Vaccins : mais alors on nous aurait menti ! L’avis d’un Avocat.

Medical-Experiment-Vial-Vaccine

Maître Jean-Pierre JOSEPH :

  • Est avocat au Barreau de Grenoble.
  • À été chargé de cours de Droit comparé à l’Université de Glasgow, dans les années soixante-dix, puis président de Maison pour tous de quartiers dits « sensibles » pendant 10 ans, et animateur bénévole de quartier. Il est un des fondateurs de la 1re expérience d’autogestion d’un Centre socioculturel en 1973, avec baisse de plus de 70 % de la délinquance sur un quartier

Est l’auteur des ouvrages suivants :

  • Le show business français, un État dans l’État (Éditions les cahiers de la pensée sauvage).
  • Améliorer notre santé par une méthode qui ne coûte rien
  • Les radis de la colère (Éditions Louise Courteau).

 VACCIN, mais alors on nous aurait menti ?

 Ils sont inefficaces, nous rendent malades, détruisent notre immunité naturelle, mais ils sont obligatoires

Par Maître Jean-Pierre JOSEPH
Édition Poche Vivez Soleil, NOUVELLE ÉDITION parue à TESTEZ ÉDITIONS

Est instructeur fédéral de karaté, diplômé de la Fédération française de karaté (F.F.K.A.M.A.), membre du jury des grades de la ligue Dauphiné-Savoie de la F.F.K.A.M.A.

Est parti en urgence en République d’Haïti en janvier 2001, et a été le 1er avocat français à être autorisé, depuis l’indépendance de 1804, à plaider devant une Cour d’Assises haïtienne, pour défendre le navigateur grenoblois, accusé de meurtre sur sa femme qui, en fait, s’était suicidée. Après une semaine d’un procès médiatisé (TF1, Le Figaro, Paris-Match, etc.), à la suite duquel le navigateur fut acquitté, Jean-Pierre JOSEPH, qui n’avait aucun vaccin et qui n’a pris aucun traitement préventif contre le paludisme, est revenu criblé de piqûres de moustiques, et n’a pas été malade.

Cet ouvrage se contente de rassembler des dizaines de citations scientifiques et professionnels de la santé. Aucun d’entre eux ne faisant partie de la moindre secte, ce livre ne contient donc, ni procédé hypnotique, ni virus décérébrant. Il peut être lu sans crainte...

 DE GRAVES INTERROGATIONS :

  • Les vaccins contiennent des l’hydroxyde d’aluminium à des doses 30 fois supérieurs au seuil toxique, du sérum de veau, des cellules cancérisée, et des dérivés du mercure. Ils sont responsables de milliers de maladies neurologiques graves, sclérose en plaques, encéphalites, morts subites du nourrisson... Le personnel des hôpitaux, les rares fois où il fait la relation de cause à effet entre le vaccin et la maladie, aurait la consigne de ne rien dire aux familles.
  • Depuis 1994 les substances d’origine bovines sont interdites dans les produits pharmaceutiques. Or, le B.C.G. est fabriqué à partir de la bile de bœuf. Ainsi la Loi nous oblige à administrer à nos enfants des produits qu’elle interdit par ailleurs !...
  • Bien plus, la Loi oblige avant tout acte vaccinal, de prendre « toutes les précautions », c’est-à-dire de procéder à) des examens destinés à dépister d’éventuels risques graves pour chaque individu. Mais seuls les vétérinaires le font pour les animaux !...
  • Ces risques valent-ils la peine d’être courus ? Depuis un siècle, à chaque campagne de vaccination, tant en Europe qu’en Afrique ou en Asie, le nombre de cas de la maladie que l’on combattait s’est toujours multiplié par 4, voire par 6 dans les mois qui ont suivi (variole aux Philippines en 1918, polio en France en 1956, récemment méningite en Afrique, etc.).
  • Pourquoi nous l’a-t-on caché en nous faisant croire le contraire ? Quand les épidémies s’arrêtent (comme elles l’ont toujours fait dans l’histoire de l’Humanité), l’on crie alors victoire, en attribuant cela au vaccin.
  • Si au Moyen Âge, au plus fort des épidémies de peste et de choléra, un alchimiste avait distribué de la bave de crapaud à toute la population, lorsque celles ci se sont arrêtées (car toutes les épidémies se sont arrêtées naturellement) tous les survivants auraient cru avoir été sauvés grâce au produit !
  • Le chien qui avait mordu le petit alsacien « sauvé » de la rage par Pasteur, avait aussi mordu tout la famille, qui n’a été ni vaccinée, ni malade. Mais alors, on nous aurait menti ? Mais pourquoi donc ? Quel hasard ! La France est un des plus gros pays producteurs de vaccins du monde !
  • 11 pays en Europe ont abandonné l’obligation vaccinale. En France, on ne connaît même par cette information. Comme par hasard chez nous, le vaccin est une religion (ensemble de « vérités » que, par définition, l’on s’interdit de vérifier). François Mitterrand n’a-t-il pas dit : « La santé des Français est une marchandise qui se vend... ».

  AVANT-PROPOS

Il y a encore quelques années, je ne connaissais rien du tout à la question des vaccinations : certes, le simple fait de n’avoir été vacciné que contre la variole, générait chez moi une inquiétude permanente, tempérée par le fait qu’au cours des 30 ans pendant lesquels j’ai étudié, puis enseigné les arts martiaux, les experts asiatiques que j’avais pu rencontrer, m’avaient toujours indiqué qu’il fallait se méfier des vaccins, mais je ne savais pas pourquoi. Ils ajoutaient que dans les arts martiaux traditionnels, l’être humain est capable de maintenir un taux vibratoire élevé, et ne craint donc pas les maladies.

J’avoue qu’à l’époque, j’étais un peu sceptique et j’eus de grandes hésitations, lorsque j’entendis parler d’un « danger de contamination par l’hépatite B ».

Un jour, je fus amené à défendre un groupe d’anciens universitaires grenoblois, qui s’étaient retirés à la campagne afin d’appliquer une méthode vieille de plusieurs millénaires, leur permettant de produire de l’agriculture biologique géante à haut rendement, sans engrais chimiques, sans pesticides ni insecticides. Cette méthode qui ne coûtait rien permettait d’avoir la même rentabilité à l’hectare que si l’on utilisait massivement des engrais chimiques. Mais c’était du bio, et vraiment délicieux !
Cette expérience quasi-unique en Europe aboutit immédiatement au fait que ce groupe fut classé secte, fut l’objet de procédures judiciaires hallucinantes, de reportages de télévision honteusement truqués, de faux témoignages, à tel point que j’ai écrit Les radis de la colère (Éd. Louise Courteau).

Cet ouvrage mentionne, notamment, une affaire que j’appelle « le vrai-faux tétanos », dans laquelle un hôpital, harcelé par la « psychose imbécile anti-sectes » qui sévissait à ce moment-là, a diagnostiqué un tétanos, alors qu’il est clair que l’enfant avait simplement fait une grosse réaction allergique à une piqûre de tique. Certains journalistes, qui avaient écrit sans savoir qu’un enfant « était mort du tétanos dans la secte », furent étonnés de le voir gambader par la suite, dans les prés... Mais ces journalistes ne manifestèrent aucun étonnement, en marchant sur des fraises qui poussaient sous des flocons de neige, ou en voyant des plantes qui ne poussent habituellement que dans les régions tropicales.
Mais ce qui m’étonna le plus fut tout d’abord l’absence totale des mouvements écologistes au soutien de ces gens là, qui, dans la région Rhône-Alpes, faisaient de la véritable écologie, à la différence de ceux qui en parlent, mais qui n’en font jamais. Je n’ose pas croire qu’eux aussi, aient pu adhérer à la psychose imbécile...

Le 2e objet de mon étonnement fut ensuite qu’à l’occasion de cette affaire de « vrai-faux » tétanos, je découvris que non seulement le problème des vaccins était très controversé, mais qu’en plus l’existence même de la controverse était totalement absent de tous les débats concernant la Santé Publique.

40 ouvrages étaient déjà accessibles à tous, dans les librairies ou dans les FNAC, et un silence total recouvrait notre pays, comme si ce sujet était interdit. Alors je décidais de mettre les pieds dans le plat, en rassemblant des citations extraites de ces 40 ouvrages. Sachez que je n’ai rien inventé. Je me suis contenté de rassembler tout ce qui a été écrit sur ce sujet par des dizaines de professionnels de la santé. Vous verrez que finalement, ce sont eux qui mettent les pieds dans le plat, pas moi. Quoique...

J’ai toujours mis les pieds dans le plat, lors de ma scolarité : je ne le faisais pas exprès, mais je répondais naïvement aux reproches, et ce que je disais déclenchait souvent la consternation, voire la colère.

Un jour le médecin scolaire, voyant que je n’étais pas vacciné contre la polio (dans ma vie, je n’ai eu qu’un seul vaccin : l’antivariolique), me dit : « Libre à toi d’attraper la maladie, mais ce qui est grave est que tu risques de contaminer tes camarades... ». Très naïvement je lui demandais : « Comment pourrais-je les contaminer, puisqu’ils sont vaccinés ? ».
Ce n’est pas la paire de claques que j’ai reçue à ce moment-là qui m’a marqué le plus, mais son air consterné, presque effrayé. Je crois que c’est ce jour-là que j’ai décidé qu’à l’avenir je serai toujours insolent, d’autant plus que, les années suivantes personne ne me reparla des vaccins...
Toutefois, ce n’est que 40 ans plus tard que j’ai compris pourquoi mes camarades qui ont eu la polio, étaient pourtant vaccinés, et pourquoi je ne l’ai pas eu, alors que je ne l’étais pas.

Quand j’étais en Première, au Lycée de Guebwiller, un prof d’Histoire-géo, un comme on n’en trouve plus de nos jours, un qui nous faisait réellement aimer ce qu’il enseignait, nous précisa un jour :

« De nombreuses vérités sont fausses. Mais ceux qui le disent sont pourchassés, même en Démocratie.

Au début du siècle, l’Académie de Médecine déclarait qu’au-delà de 100 km/h. un organisme humain ne résisterait pas. C’était une Vérité, et tout étudiant en médecine prétendant le contraire avait zéro.
L’Académie des Sciences indiquait également que le plus lourd que l’air ne pourrait jamais voler. Il était donc inutile de donner des crédits à la recherche sur les « aéroplanes » (futurs avions). L’avenir était les ballons et les dirigeables. Enfin l’électricité ne serait qu’un lamentable gadget et ne servirait jamais à rien.

Souvenez- vous de cela, et sachez que ces imbéciles ont aujourd’hui des successeurs aux mêmes postes, et qui ont le même talent... ».

Aujourd’hui, des lois spéciales interdisent de parler de tel ou tel sujet, ou de remettre en cause certaines vérités historiques. Pourquoi avoir eu besoin de textes, alors qu’une démocratie devrait savoir gérer l’expression de toutes les opinions ?

J’ai bien peur que dans peu de temps, l’on n’ait même plus le droit d’écrire un livre comme celui que vous avez actuellement sous les yeux.
Déjà l’on n’a pas le droit, par exemple, d’inciter ses concitoyens à ne pas payer ses impôts, ou ses cotisations sociales. On n’a pas le droit de déclarer publiquement que l’on est pour la consommation de drogue. Comme si ceux qui écoutaient les rares qui ont encore quelque chose à dire, n’étaient plus majeurs.

Après tout c’est peut -être vrai. L’on est en train de faire de nous des veaux.
Mais le jour où je n’aurai même plus le droit d’écrire un tel livre, j’irai demander l’asile politique soit en R.F.A. (ce qui devrait m’être accordé facilement, vu que mon grand-père fut sujet allemand jusqu’en 1918, année où la France récupéra l’Alsace-Lorraine), soit en République d’Haïti, où, lors de mon séjour, les étudiants en Droit, dont une délégation était venue me rencontrer me déclarèrent : « La différence entre nos républiques, que vous appelez bananières, et les vôtres, est que chez nous le principe est « ferme ta gueule, tu n’as pas le droit de parler. .. » ». Cela a le mérite d’être clair.
Chez vous le principe est « Cause toujours... ».

 « Une population malade rapporte plus d’argent au système dit de santé publique qu’une population en bonne santé »

  INTRODUCTION

Près de 2000 personnes souffrent actuellement de graves maladies neurologiques, ou sont décédés, et les victimes (ou leur héritiers) accusent le vaccin contre l’hépatite B (Eric GIACOMETTI, La santé Publique en otage, Ed. Albin Michel).

Des plaintes pour empoisonnement et administration de substances nuisibles à la santé ont été déposées, notamment à l’encontre de ceux qui ont obligé les victimes à recevoir un vaccin tant inefficace que dangereux. Elles sont actuellement centralisée chez un Juge d’Instruction à Paris.

Malheureusement, une étude approfondie de cette question, montre que tous les vaccins sont concernés, et pas seulement celui contre l’hépatite B.

Alors que la quasi-totalité des pays d’Europe a supprimé les vaccins obligatoires, la France (1er pays producteur mondial de vaccins), en a maintenu 4, malgré les protestations de millions de scientifiques de tous bords, criant à l’empoisonnement collectif, devant leur dangerosité, et surtout leur inefficacité.

Voilà plus de 20 ans, que des médecins, biologistes, etc., du monde entier, tentent d’alerter les pouvoirs publics pour leur donner des informations extrêmement graves concernant les vaccins :

  • - Des épidémies de coqueluche aux U.S.A. ont atteint des centaines d’enfants vaccinés contre la coqueluche,
  • - Des épidémies de polio dans le monde entier ont touché des milliers de personnes, pourtant correctement vaccinées,
  • - En 1993, 100 infirmières des Hôpitaux de Paris, atteintes de tuberculoses, avaient toutes reçu le B.C.G. ...

  Des scientifiques du monde entier semblent dire aujourd’hui :

  • - Que les produits appelées « vaccins » seraient totalement inefficaces,
  • - Qu’ils seraient dangereux, responsables de scléroses en plaques, encéphalites, méningites, maladies neurologiques :
  • Fabriquée avec du sérum de veau, des cellules cancérisées, et de l’hydroxyde d’aluminium, à des doses 30 fois supérieurs au seuil maximum de toxicité, ainsi que de dérivées du mercure, ils ont pour effet général de baisser nos défenses immunitaires, et pourraient être liées à l’apparition du Sida.
  • - Que souvent, même, ils nous transmettraient les maladies qu’il sont censés prévenir !
  • - Que l’on nous aurait menti depuis 50 ans au moins, pour des raisons sordides et honteuse, en nous faisant croire, notamment que les vaccins auraient enrayés les épidémies.

  Or, il semblerait que l’arrêt des épidémies n’ait rien à voir avec les campagnes de vaccination.

Ainsi, 1200 personnes ont été victimes de la Polio en France, en 1956, année où la campagne de vaccination a débuté. Et en 1957, la France a connu plus de 4000 cas.

Personne, d’ailleurs, n’est capable d’expliquer pourquoi les épidémies de peste et de choléra du Moyen Âge, de suette picarde (qui a sévi de 1718 à 1906), et plus récemment, de scarlatine, se sont arrêtées sans vaccin, et sans décimer toute l’humanité...

13 septembre 2013

Aux Etats-Unis, la vérité sur les liens entre vaccins et autisme est systématiquement supprimée.

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Aux Etats-Unis, la vérité sur les liens entre vaccins et autisme est systématiquement supprimée. Les compagnies pharmaceutiques, ainsi que le gouvernement fédéral ont conspiré pour refuser aux parents d’enfants dont la santé avait été endommagée par les vaccins l’accès habituel aux tribunaux par la création d’un « tribunal fantoche » qui n’offre aux parents aucune procédure régulière (et viole par conséquent les libertés civiles des Américains).

Ce « tribunal pour dommages dus aux vaccins » » a cependant, à plusieurs reprises admis que les vaccins ont irréfutablement endommagé la santé d’enfants et provoqué l’autisme. Le silence de ces parents a été acheté. On leur a fait signer un accord où ils devaient s’engager de ne jamais parler à la presse de leur épreuve. Cette suppression systématique de la vérité au sujet des dommages de santé ayant fait suite aux vaccinations est clairement expliquée dans une nouvelle vidéo réalisée par le Canary Party (www.CanaryParty.org) avec Rob Schneider comme narrateur, un  ardent défenseur des droits des parents quand  il s’agit de médecine.

 

La Vidéo complète sur YouTube : (Copier/coller le lien dans Google si le lien ne s’ouvre pas)

 

http://www.youtube.com/watch?v=xv_IaLHwgAQ


Autre lien pour la video:

Nous vous invitons à partager cette vidéo avec toutes les personnes que vous connaissez ! Elle explique en langage clair et rationnel, une partie importante de la manière dont s’y est prise l’industrie du vaccin  pour camoufler la vérité en ce qui concerne les dommages de santé provoqués chez les enfants par les vaccinations. Le « Canary Party » est un mouvement en pleine expansion ; il réunit des parents, des médecins, des scientifiques, des citoyens qui veulent mettre un terme à l’empoisonnement systématique de la population par les compagnies pharmaceutiques, par les fabricants de vaccins et autres substances toxiques qui endommagent la santé et la planète. Le « Canary Party » est basé sur le « Principe de précaution », ainsi que sur les droits fondamentaux des parents et de leurs responsabilités individuelles.

En résumé, l » Canary Party » cherche à révéler la vérité sur la façon dont nous sommes tous empoisonnés par des sociétés peu éthiques. Il cherche à trouver des moyens constructifs pour arrêter l’empoisonnement et à mettre fin aux souffrances que provoque cet empoisonnement général. […]

Pourquoi les vaccins peuvent-ils nuire aux enfants ? Toute l’industrie du vaccin – y compris tous les médecins payés, achetés, les auteurs, les « scientifiques », les partenaires – ont depuis des décennies sciemment menti au monde entier en prétendant que les vaccins avaient « un risque zéro » et « zéro effets secondaires ».

 En vérité, même le CDC admet que les vaccins contiennent quatre additifs dont chacun s’avère être un neurotoxique puissant. Ces additifs sont :

 - Le mercure (toujours utilisé comme agent conservateur)

- L’aluminium (utilisé comme adjuvant)

- Le Formaldéhyde (utilisé pour « désactiver » les tissus vivants)

- Le MSG : Monosodium Glutamate (utilisé pour causer de l’inflammation dans le système immunitaire)

 Tous ces produits sont toxiques pour la biologie humaine quand ils sont injectés. Il n’y a pas un seul médecin, scientifique rationnel au monde qui puisse croire que l’injection de mercure, de formaldéhyde et de MSG à des nourrissons puisse de quelque manière que ce soit être « sans danger ». Mais, il se trouve que des médecins injectent, chaque jour, ces substances à des enfants sous la forme de vaccins.

 L’industrie du vaccin est bien pire que celle que l’énorme industrie du Tabac. Tout comme l’industrie dentaire a, pendant des décennies, nié et ridiculisé la toxicité du mercure dans les amalgames dentaires, l’industrie du vaccin se trouve encore dans un état délirant de négation totale de la toxicité du mercure. Nous assistons aujourd’hui, en médecine, à un holocauste vaccinal qui tue et handicape de nombreux enfants. La suppression de toutes les preuves scientifiques qui démontrent qu’il en est bien ainsi, fait que Big Pharma parait encore bien pire que Big Tobacco.

 Quand l’autisme touchera-t-il un enfant sur 10 ? Nous n’en somme pas si loin. Si ce niveau de la maladie était été provoqué par d’autres éléments que les vaccins, le CDC aurait depuis longtemps déclaré une épidémie et essayé de trouver un vaccin pour pouvoir l’enrayer. Mais parce que l’autisme est lié aux vaccins et au mercure, le CDC  minimise et prétend d’une manière ridicule que le mercure ne fait pas de mal aux enfants. La FDA joue le même petit jeu ; elle aussi est dans le déni, espérant que personne ne pourra remarquer que ce problème ne cesse de s’aggraver, jusqu’au jour où il pourrait être possible, qu’après avoir reçu des centaines de vaccins qui, dans un proche avenir seraient rendus « obligatoires », qu’1 enfant sur 5 devienne autiste en Amérique !

Il y va ici, chers amis, de l’effondrement d’une nation entière. Si on ne met fin à cet holocauste, l’Amérique ne pourra survivre. Aucun pays ne peut survivre à l’effondrement de la santé de ses citoyens. L’injection de mercure dans la population d’Amérique est tout juste aussi stupide que ce qu’ont fait les Romains en abreuvant leur population avec de l’eau contaminée par du plomb. De nombreux historiens disent que le saturnisme dont étaient atteints les citoyens de Rome n’a fait que précipiter sa chute. Aujourd’hui, les vaccins contribuent fortement à l’effondrement de la civilisation moderne.

 http://www.naturalnews.com/042013_vaccines_autism_Canary_Party_video.html

http://expovaccins.over-blog.com/article-les-vaccins-provoquent-ils-l-autisme-120011773.html

 Le Dr Mendelsohn,MD., éminent pédiatre est aussi très direct :

 « La plus grande menace pour les enfants, ce sont les efforts dangereux et inutiles qui sont faits pour éviter leurs maladies au cours des vaccinations de masse. Beaucoup de choses que l’on vous a fait croire sur les vaccinations ne sont tout simplement pas vraies. S’il m’était permis de suivre mes convictions les plus profondes, je vous presserais de rejeter toutes les vaccinations pour vos enfants. » 

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9 septembre 2013

Fichage ADN généralisé à la naissance

 

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Le journal Le Soir a publié dans l'édition de ces 7 et 8 septembre un article des plus inquiétants sur l'avènement (ou presque) du fichage ADN généralisé.

 On commence doucement mais selon nous, il est évident que l'argent sera trouvé et que ce genre de projet sera promu "au nom de la Science", de potentielles découvertes positives etc etc.

 Mais le fait est que le séquençage de l'ADN de milliers de nourrissons débute déjà aux USA à l'heure actuelle. Tous ces enfants auraient-ils marqué leur accord s'ils étaient en âge de le faire? L'accord de tous les parents a-t-il vraiment été sollicité? Nous pouvons à tout le moins être très sceptiques et circonspects sur ce point aussi.

 Détectera-t-on des mutations ou finira-t-on aussi peut-être par en provoquer pour prétendument mieux les étudier? (ce qui est le même genre de "raisonnement" que celui des apprentis sorciers qui ont déjà croisé les virus H1N1 et H5N1 mais aussi H7N9 et H5N1 pour soi-disant mieux prévenir et mieux préparer une future pandémie!)

 

A, T, C, G, les "lettres de base" qui composent l'alphabet général (le génome). L'information génétique des êtres vivants se retrouve au niveau du noyau de toutes les cellules et sa nature dépend de l'ordre d'enchaînement de ces "lettres". L'ADN a une structure en "double hélice" et les nucléotides (associations d'un sucre à cinq atomes de carbone, d'un groupement phosphate et d'une baze azotée (A, T, C ou G) ) ne s'apparient pas n'importe comment entre les deux brins de cette double hélice. Les bases A s'associent toujours sur l'autre branche de l'hélice à un T et vice-versa. De même, les bases C s'associent toujours à G et vice-versa, aucune autre combinaison n'étant possible entre les deux brins. On a longtemps pensé que l'ADN commandait l'aval sans que l'aval (influences extérieures diverses) puisse cependant aussi influencer en retour l'ADN ce qui est pourtant bien le cas. 

 Là encore, qui en profitera le plus? Big Pharma avec des traitements déjà tout prêts en embuscade, qui ne manqueront pas d'occulter toutes les autres possibilités de traitements et de prévention. C'est le même danger et le même carcan idéologique qui est ici à l'oeuvre que celui des vaccins ou encore tout le vaste champ d'une médecine purement symptomatique.

 Avec les vaccins, on simplifie de façon éhontée les mécanismes immunologiques, on se trouve dans un cadre conceptuel qui est à mille lieues de la complexité réelle du système immunitaire. Le "tout vaccin" est le pendant, en matière de vaccinologie, du réflexe des médicaments symptomatiques à la moindre occasion en médecine en général (antibiotiques, cortisone, médicaments pour faire baisser la fièvre etc).

 Avec l'origine génétique, on est souvent dans le même type de simplisme, parce que quelque part, ce serait psychologiquement plus confortable pour toute une série de malades de se décharger de leur responsabilité personnelle dans l'apparition de telle ou telle maladie chronique (bien davantage liée au mode de vie qu'à des déterminants purement génétiques!). Dans cette situation, on peut alors affirmer "C'est la faute à pas de chance, j'avais les mauvais gènes!" Mais il ne faudrait pas oublier que seule une infime minorité de maladies sont des maladies génétiques pures c'est à dire des maladies qui sont entièrement conditionnées par la présence ou l'absence de telle ou telle version d'un ou de plusieurs gènes qui suffit alors à elle seule à faire apparaître un état pathologique. Dans les autres cas, l'implication des gènes ne pèse en moyenne jamais plus de 30% dans la responsabilité globale de tel ou tel état morbide.

 Les questions éthiques risquent évidemment de recouper celles liées aux vaccinations forcées ou encore au puçage. Il est absurde et hallucinant que l'ADN des gens puisse être séquencé ou même analysé/interprété sans leur accord, même au nom de soi-disant grandes avancées scientifiques!. Dénuder ainsi le patrimoine génétique des populations est extrêmement risqué parce que cela ouvre ainsi la porte à toutes les dérives possibles, y compris de la part des dirigeants eux-mêmes ou des instances internationales noyautées par toutes sortes de lobbies, devant lesquelles les dirigeants nationaux se prosternent.

 Nous sommes à une époque où nous ne pouvons plus faire une joyeuse et sincère confiance dans la Science pour la simple et bonne raison qu'elle est largement prostituée. Or, pour faire une analogie qui a ici vraiment tout son sens, que se passe-t-il si une personne qui fréquente les prostituées ou si les prostituées elles-mêmes ne pensent pas suffisamment à se protéger? Ils risquent des maladies sexuelles transmissibles. Eh bien ici c'est pareil, si nous ne pensons pas suffisamment à nous protéger des influences générales que peuvent avoir sur nous toutes sortes d'instances, de gouvernements ou d'idéologies, nous risquons bien entendu d'en payer le TRES GROS PRIX.

 A une époque, Mayer Amschell Rotschild disait "Donnez-moi le droit d'émettre et de contrôler l'Argent d'une Nation et alors, peut m'importe qui fait ses lois.". Mais on pourrait avec cette affaire de séquençage ADN généralisé paraphraser ses propos en disant "Donnez-moi le droit de connaître et de contrôler l'ADN d'une Nation et alors peu m'importe le droit des gens d'être en bonne santé en se soignant comme ils le veulent."

merci à initiative citoyenne .

http://www.initiativecitoyenne.be/article-fichage-de-l-adn-science-incontrolable-le-debut-de-la-fin-119939105.html

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5 septembre 2013

Le Japon exige la divulgation des effets secondaires du vaccin anti- HPV

 

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Maman d’une victime japonaise du vaccin contre le HPV

 

Par Norma Erickson 29 août 2013 – Sanevax

L’encéphalomyélite aiguë disséminée et le syndrome de Guillain-Barré constituent-ils des réactions indésirables aux vaccins contre le HPV ? Pour le moment, les autorités sanitaires japonaises ne sont pas sûres, mais elles ont choisi d’appliquer le principe de précaution et d’informer le public au cas où. - De toute évidence, les autorités japonaises croient à un consentement éclairé.

Le 26 mars 2013, le Ministère de la Santé, du Travail et de la Prévoyance a informé GlaxoSmithKline qu’ils avaient 30 jours pour modifier la notice du Cervarix en ajoutant à la rubrique « Précautions/ section effets indésirables » ce qui suit :« Encéphalomyélite aiguë disséminée : il est possible que l’encéphalomyélite aiguë disséminée puisse se produire. Dans pareils cas, de la fièvre, des céphalées, des convulsions, des troubles du mouvement, des perturbations de la conscience se produisent généralement dans les quelques jours et jusqu’à deux semaines après la vaccination. Si l’on suspecte une encéphalomyélite aiguë disséminée, un diagnostic doit être effectué par IRM et des mesures appropriées doivent être prises. » Cette directive n’a pas été adressée à Merck parce que la notice du Gardasil avait déjà fait référence aux risques d’encéphalomyélite aiguë et de Guillain-Barré au moment où la directive a été émise.

Quelle est la raison de cette action ?

Au cours des trois premières années de l’utilisation des vaccins HPV, 3 cas d’encéphalomyélite aiguë et 5 cas de Guillain-Barré avaient déjà été rapportés après des injections pour lesquelles un lien de causalité avec le vaccin ne pouvait pas être exclu. [1]

A titre de référence, il y a eu aux Etats-Unis 31 cas d’encéphalomyélite aiguë disséminée et 121 rapports du syndrome de Guillain-Barré qui ont été communiqués au VAERS (Organisme officiel Américain auquel sont rapportés les cas d’effets secondaires des vaccins) au cours des 7 dernières années. [2] La FDA américaine n’a pas demandé que ces problèmes soient repris dans les notices. Comment pouvoir comprendre pareille chose ?

Dans votre pays, combien de rapports d’encéphalomyélites disséminées et combien de cas de Guillain-Barré ont été rapportés après les vaccinations contre le HPV ? Les responsables de Santé Publique ont-ils exigé que des modifications soient apportées aux notices ?

Pourquoi le Japon a-t-il pris pareille initiative audacieuse ?

A première vue, l’action du Ministère japonais peut donner l’impression qu’il a agi en fonction de son attachement au principe du consentement éclairé.Cependant, Toshie Ikeda, secrétaire général de l’Association Nationale des Victimes du vaccin contre la cancer du col de l’utérus et leurs parents, ainsi que le Dr Sotaro Sato, directeur du service de médecine interne de l’hôpital d’Osaki - (préfecture de Miyagi, croient que l’action du Ministère exige une analyse plus profonde. Il semble que deux motivations puissent expliquer l’action du Ministère. L’une cependant l’emportant sur l’autre.

Ils ont précisé que le premier motif possible était un désir sincère de conscientiser les médecins et autres intellectuels de la nature essentielle des graves effets indésirables des vaccins contre le HPV, Garsasil et Cervarix, afin de prévenir de nouveaux cas de graves dommages à la santé chez des millions d’adolescentes qui, à l’avenir seraient susceptibles de recevoir l’un ou l’autre de ces vaccins.

L’autre possibilité est la crainte de poursuites qui seraient déposées par l’Association des Victimes pour le compte de nombreuses familles désespérées, et dont les chères filles, précédemment en bonne santé, auraient été gravement atteintes, paralysées ou dont la santé aurait été horriblement dévastée par la vaccination contre le HPV.

Les tribunaux japonais auraient alors été susceptibles de mettre en valeur la responsabilité des bureaucrates de la Santé qui n’auraient pas pris les mesures de précaution et qui n’auraient pas laissé des preuves pouvant ensuite être utilisées pour prouver qu’ils ont au moins tenté de faire quelque chose pour arrêter la multiplication des troubles de santé pour les futures générations de jeunes-filles.

Le problème aurait été énorme si le gouvernement avait décidé – sous la pression d’universitaires ayant des liens financiers ou d’autres liens avec les fabricants de vaccins, d’activités de lobbying, d’ « experts » conseils embauchés par les fabricants, de politiciens - de recommander à nouveau l’utilisation de ces vaccins au cours de l’exercice en cours qui se termine le 31 mars 2014.

Il faut savoir que, selon les lois japonaises, les bureaucrates qui ont été jugés coupables d’avoir négligé leur devoir d’informer les consommateurs de soins médicaux de graves risques impliqués dans la prise de médicaments, vaccins et autres produits médicaux peuvent être poursuivis et sévèrement punis.

Un précédent très important a eu lieu en 2008 lorsque la Cour Suprême a confirmé une décision de la Haute Cour de Tokyo qui a imposé une peine d’un an d’emprisonnement à l’ancien bureaucrate principal du Ministère, Akihito Matsumara, avec deux ans de sursis, pour avoir négligé son obligation d’ordonner aux firmes pharmaceutiques de cesser de vendre des coagulants sanguins non chauffés qui étaient contaminés par le virus du sida.

Le juge principal Yuki Furuta de la plus Haute Cour du pays a précisé dans sa décision prise le 3 mars :

« Dans ce cas, des produits sanguins non chauffés ont largement été utilisés à l’époque de cet incident (infection). Un nombre important de ces produits étaient contaminés par le virus du sida. L’accusé aurait pu prévoir que si ces produits étaient utilisés, de nombreuses personnes seraient presqu’inévitablement infectées par le virus et développeraient un sida susceptible de finalement provoquer le décès de nombreuses personnes. »

Madame Ikeda qui a dirigé l’Association des victimes est actuellement assistée par certains des meilleurs médecins et scientifiques du pays, par certains politiciens honnêtes et courageux et qui sont préoccupés par le sort de nombreuses adolescentes qui ont été victimes des vaccins ou qui pourraient le devenir, à moins que la politique vaccinale concernant le vaccin contre le HPV soit interrompue.

Madame Ikeda a déclaré samedi :

« On ne sait toujours pas quelle est la motivation principale qui a constitué la toute première préoccupation des bureaucrates quand ils ont demandé la révision de la notice le 26 mars. Mais les mouvements de l’Association ont été étroitement surveillés par la bureaucratie du Ministère de la Santé. »

Le Dr Sato a déclaré vendredi qu’il était également conscient de deux implications possibles par rapport à la directive du Ministère. Il explique :

« Il est véritablement louable que certains bureaucrates consciencieux du Ministère semblent avoir fait de sérieux efforts pour alerter les personnes concernées par la directive, comme pour demander aux fabricants de produits pharmaceutiques d’ajouter à leur notice des références à des cas possibles d’encéphalomyélites aiguës disséminées et de Guillain-Barré.

Le désir des bureaucrates est d’éviter d’être ultérieurement tenus responsables devant les tribunaux pour avoir négligé leurs devoirs de supervision et de réglementation. Ainsi, l’augmentation du nombre des victimes semble avoir joué un rôle plus important dans la motivation du Ministère à émettre la directive.

La révision de la notice d’accompagnement ferait ainsi une différence significative si une plainte était déposée. Avec la publication de la directive, les fonctionnaires seraient en mesure de dire aux victimes, aux parents et à leurs partisans que le Ministère avait émis un avertissement important sur les effets indésirables possibles et que ce sont les victimes elles-mêmes qui sont responsables étant donné qu’elles n’ont tout simplement pas pris en compte la référence aux risques inclus dans la notice. »

Le Dr Sato a attiré l’attention sur la coïncidence des dates : L’Association des victimes a tenu sa première réunion des victimes et de leurs parents le 25 mars – un jour avant la publication de la directive. Le Ministère doit avoir suivi la série des événements qui ont mené à la création de l’Association pour laquelle des gens de bonne volonté ont uni leurs forces pour soulager l’agonie des victimes et empêcher les fabricants de vaccins, les associations médicales et le gouvernement de faire encore davantage de victimes, que ce soit involontairement, dans une semi-conscience et connaissance des effets secondaires ou par totale indifférence vis-à-vis des graves conséquences possibles des vaccins contre le HPV sur la santé des jeunes-filles.

Le Dr Sato a attiré l’attention sur un autre aspect essentiel de la question au sujet de la vaccination contre le HPV et qui se pose actuellement pour de nombreux médecins au Japon et ailleurs quand il a déclaré :

« Quand un médecin voit une jeune-fille qui a développé certains symptômes de l’encéphalomyélite aiguë disséminée ou d’un Guillain-Barré à la suite d’une vaccination, il ne sera pas nécessairement capable de reconnaître ces symptômes comme étant ceux d’une encéphalomyélite aiguë disséminée ou d’un Guillain-Barré, à moins que ce médecin ait une connaissance approfondie des troubles et maladies neurologiques. Il ’est pas facile pour les médecins d’associer les symptômes qu’il voit à une encéphalomyélite aiguë disséminée ou d’un Guillain-Barré. Au Japon, le pourcentage des médecins qui peuvent reconnaître les symptômes que présentent des jeunes-filles qui viennent les trouver pour les conséquences d’une encéphalomyélite aiguë disséminée doit être inférieur à 0,1%. »

Les autorités gouvernementales doivent établir et publier les critères de diagnostic unifiés pour aider les médecins à reconnaître les symptômes induits par une encéphalomyélite aiguë disséminée ou un Guillain-Barré et attirer l’attention des médecins sur lesdits critères. La plupart des médecins qui verront ce type de jeunes-filles à l’avenir doivent être familiers avec ces symptômes.

Le Dr Sato a averti :

« Se contenter d’obtenir des fabricants de vaccins une modification de notice n’est pas suffisant pour accroître la sensibilisation des médecins et des consommateurs de soins de santé aux risques potentiels de ces deux vaccins. A moins que le gouvernement fasse des efforts très sérieux pour attirer l’attention sur les effets néfastes et horribles de ces vaccins, il est probable que de nombreux médecins vont continuer à administrer des injections de vaccins sans être en mesure d’avoir le niveau d’attention nécessaire pour pouvoir établir un lien causal entre les vaccins et leurs effets secondaires. »

Les politiciens japonais commencent à parler

Le 28 mars 2013, un comité de sélection pour la Santé, les Affaires sociales et le Travail a tenu une séance spéciale pour voir si le sujet des vaccins contre le HPV pouvait être abordé avant un vote parlementaire sur l’opportunité d’ajouter trois maladies, dont le cancer du col de l’utérus à la liste des vaccins dont le coût devait être entièrement couvert par le gouvernement en vertu de la loi existante sur la prévention par la vaccination [3]

Sur les 722 membres du Parlement japonais, deux voix ont, à plusieurs reprises, mis fortement en question le sens que pouvait avoir une vaccination universelle contre le HPV. Ces deux voix se sont fait entendre au Parlement et dans les médias. L’une d’elle était celle de Mdame Tomoko Hata qui était membre du Parlement, mais pas membre du Comité de la Santé, du bien-être et du travail. L’autre personne était Madame Eriko Yamatani, ancienne collaboratrice du Premier Ministre Shinzo Abe. […] Madame Hata a tout fait pour que les personnes présentes à la séance des questions et réponses soient mises au courant des faits suivants concernant le HPV et le cancer du col de l’utérus au Japon :

 

·           La proportion des femmes japonaises porteuses des types HPV 16/18 est beaucoup plus faible que celle des femmes des pays occidentaux (0,5% pour le HPV 16 et 0,2% pour le HPV 18)

·      Plus de 99,1% des personnes porteuses du papillomavirus humain ne développeront pas de cancer ;

·      Chez 90% des personnes qui ont été exposées au HPV, le virus disparaîtra endéans les deux ans.

·      90% des personnes qui présentent les premiers signes de cancer du col utérin (dysplasie cervicale) vont guérir spontanément.

·      Le nombre des effets secondaires graves rapportés a été 52 fois plus élevé après le Cervarix qu’après les vaccinations contre la grippe et 26 fois plus élevé après le Gardasil qu’après les vaccinations contre la grippe.

Le même jour, le Parlement japonais a voté pour inclure le cancer du col de l’utérus dans la liste des maladies figurant dans les lois japonaises sur la vaccination. Madame Hata a voté contre l’inclusion proposée, tandis que Yamatani et quelques autres se sont abstenus. […]

Les victimes du vaccin contre le cancer du col de l’utérus et les parents s’organisent

Pendant ce temps, les victimes d’effets indésirables graves se sont organisées dans tout le Japon sous le nom suivant : Association Nationale des Victimes du Vaccin Contre le Cancer du Col de l’Utérus et leurs Parents.

 

Grâce à la collecte de rapports d’événements indésirables de particuliers [4], le public a commencé à comprendre que les événements indésirables signalés officiellement ne représentaient que la pointe émergée de l’iceberg.

 Conférence de presse des membres de l'Association des Victimes du Vaccin contre le HPV à Tokyo - photo Japan Times du 24 août 2013.

Cette organisation fait actuellement circuler une pétition à l’adresse des responsables de la Santé pour :

 

·             Faire interdire l’utilisation des vaccins contre le HPV dans tout le pays et faire reconnaître les dommages que peuvent causer les vaccins contre le HPV.

·        Mettre au point  des traitements pour les victimes des vaccinations contre le HPV.

·        Fournir une aide financière aux victimes de la vaccination contre le HPV

·        Mener des enquêtes auprès de tous ceux qui ont été vaccinés contre le HPV.

·        Faire participer les meilleurs experts en neuroscience (et qui ont vu des dizaines de victimes) à un Comité ministériel de Santé sur le problème des vaccins.

 Le Japon suspend la recommandation du vaccin contre le HPV

L’Association des Victimes des Vaccins Contre le Cancer du Col et leurs parents a apparemment fait impression sur les responsables de la Santé du gouvernement. Dans un geste sans précédent, et moins de trois mois après avoir recommandé les vaccins contre le HPV, les responsables gouvernementaux du Japon ont suspendu cette recommandation en attendant le résultat des enquêtes sur la sécurité du Gardasil et du Cervarix. [5] [6] Le jour même où la recommandation du vaccin a été suspendue, soit le 14 juin 2013, le Ministère de la Santé a publié une autre directive à l’adresse du président de la Commission sur la sécurité des médicaments (Fédération des fabricants de produits pharmaceutiques du Japon), au nom de M. Tomiko Tawaragi, directeur de la Division Sécurité (Bureau de la Sécurité alimentaire et des produits pharmaceutiques) [7]

Cette lettre exigeait que les fabricants du Gardasil et du Cervarix ajoutent ce qui suit au texte traitant des « Précautions » :

« Bien que les mécanismes de pathogenèse ne soient pas clairs, de fortes douleurs qui ne sont pas nécessairement localisées au site d’injection ( par exemple : douleurs musculaires, arthralgie, douleurs au niveau de la peau, etc.), engourdissement, faiblesse, etc. peuvent se produire après la vaccination et ces symptômes peuvent persister longtemps. Il faudrait conseiller aux personnes vaccinées et à leurs tuteurs de consulter un médecin qui pourrait fournir les soins médicaux appropriés et donner un diagnostic différentiel neurologique et immunologique si des anomalies se présentaient après la vaccination. »

Veuillez noter que le paragraphe ci-dessus indique que les sujets vaccinés et/ou leurs tuteurs doivent consulter un médecin si quelque anomalie que ce soit est observée après la vaccination.

Les consommateurs de soins médicaux de votre pays ont-ils été mis au courant de ces effets indésirables possibles ?

Les actions menées au Japon soulèvent des questions pour les consommateurs de soins médicaux dans le monde entier.

·      Les autorités de Santé de mon pays croient-elles à la valeur du consentement éclairé ?

·      Les risques associés aux vaccins HPV seront-ils aussi bien expliqués que leurs avantages ?

·      Les mesures alternatives de prévention du cancer du col sont-elles clairement expliquées ?

·      Les autorités de Santé de mon pays réalisent-elles bien quels sont les effets indésirables possibles des vaccins contre le HPV ?

·      Est-ce que les médecins sont formés à reconnaître ces événements comme des réactions possibles du vaccin ?

·      Que va-il se passer si je fais une réaction négative au vaccin ?

Réfléchissez bien, - si les vaccins contre le HPV sont aussi bons qu’ils devraient l’être, alors répondre à ces questions devrait être chose très facile. Vous avez le droit de savoir. On appelle cela le droit au consentement éclairé.

Qu’est-ce qui vous importe le plus – la sécurité du vaccin ou le nombre de personnes qu’il faut vacciner ?

 

Références

 

[1] Pharmaceuticals and Medical Devices Safety Information, no. 301, May 2013 (pages 7-13); Pharmaceutical and Food Safety Bureau, Ministry of Health, Labor and Welfare, Japan

[2] VAERS search for ADEM; VAERS search for GBS; conducted 25 Aug 20113

[3] Health, Welfare and Labor ~ question HPV vaccine (translation of video kindly provided for SaneVax by Shinji Sato)

[4] Individual Adverse Event Reports from Japan – collected by MS Toshie Ikeda (G=Gardasil; S=Cervarix; each vertical line is one person, with their symptoms indicated by a green circle)

[5] Breaking News: Japan Suspends Recommendation of HPV Vaccines, Erickson, June 2013

[6] HPV Vaccines: Japan Leads the Way; Erickson, June 2013

[7] Letter from Director of Safety, Ministry of Health, Labor and Welfare to Chairman of Federation of Pharmaceutical Manufacturers’ Association of Japan, June 14, 2013

 http://www.initiativecitoyenne.be/

Source: SaneVax

1 septembre 2013

Vaccins danger :le 22.9.13 NON à la loi révisée sur les épidémies

 

WHO-H1N1-Pandemic

Chers amis,


L'heure est grave. Dans un "quasi-silence assourdissant" sur ce sujet dans les médias depuis longtemps (ou alors avec la parole accordée très majoritairement toujours aux mêmes, représentants des intérêts des multinationales pharmaceutiques...), on nous a préparé un paquet de lois infâmes, indignes d'une démocratie !


Vous avez dit "gouvernement mondial" ? Celui-ci, je n'en veux pas. C'est celui qui orchestre la libéralisation générale, sous le nom de mondialisation, et qui ne favorise la liberté que des multinationales et de quelques entreprises pointues, pas celle des simples citoyens, coincés dans un système de guerre économique, et d'endettement artificiel habilement organisé...


Contraindre à se faire vacciner est un acte gravissime, pour qui connaît la composition complète des vaccins, et leurs risques cachés. Entre autres, une micro-encéphalite post-vaccinale est fréquente, entre autres. Heureusement, elle n'est que "micro-", la plupart du temps. Mais à force de répéter les vaccins....?!?


J’œuvre comme médecin, en cabinet privé depuis plus de 25 ans. Je ne peux rester muet face à ce qui se trame. Et n'ai qu'un regret : n'avoir pas eu la disponibilité de faire connaître ceci plus, plus tôt, plus vite...


On pourra lire la suite de mes réflexions plus loin. Je laisse d'abord ici la place à quelques références internet des référendaires contre cette loi : PRENEZ LE TEMPS DE LES LIRE :

C'EST ASSEZ EFFARANT !


Et à vous de jouer ensuite, pour transmettre à d'autres pendant qu'il est encore temps. Quoi qu'il puisse arriver, plus nous serons nombreux à savoir, et à agir en conséquence, et mieux nous laisserons de chances à une "santé autrement", et à une liberté de conscience, de survivre !!!


Il y a 4 ans, (c'est déjà loin, on compte sur notre oubli ???), le spectre de la grippe H1N1 était brandi dans tous les medias, l'Organisation Mondiale de la Santé (financée pour moitié environ par les producteurs de vaccins) déclarait une pandémie mondiale, tous les gouvernements achetaient des millions de doses de vaccins, et de remèdes antiviraux chimiques prétendument efficaces, puis essayaient de les fourguer à tout le monde. Les 2/3 des infirmiers et infirmières, tout de même méfiants, refusaient de se faire vacciner. Surtout après les 1ères victimes chez les infirmières suédoises....

 

En Suisse, un médecin sur 2 était contre cette vaccination.... pour lui-même et sa famille. Mais parfois la pratiquait sur ses patients. Des millions de francs de vaccins et de médicaments jetés à la poubelle finalement...? Non, les produits seulement. Les francs, eux, sont partis sur les comptes en banque des pharmas... et de quelques autres intervenants probablement.


Et, ce dont on ne parle quasi jamais, mais dont un médecin comme moi sait que cela existe, des victimes d'effets secondaires parfois graves de ce vaccin (comme d'autres), et qui frappent à ma porte 1, 2, 3, voire 4 ans après, parfois au bord du suicide à force de souffrances non reconnues et non soulagées. Parfois, les médecines naturelles parviennent, non sans efforts coûteux, à "récupérer" ces personnes, à leur redonner une santé acceptable. Mais parfois non, ou pas assez.


Restent les yeux pour pleurer, et des consciences à réveiller. Pour que ça ne se reproduise pas.


Or, c'est ce qu'on nous prépare, avec cette nouvelle loi, et en pire ! Grâce à l'aventure H1N1, une partie importante des citoyens, surtout grâce à internet, a pu prendre la mesure du problème des vaccinations, prétendues efficaces et sans danger. Si elles l'étaient, il n'y aurait pas de problème, et aucun besoin de contrainte ou de menace pour que les gens courent se faire vacciner.  Bien conditionnés, certains courent de toute façon.


Mais, en rendant une vaccination obligatoire, on rend toute comparaison scientifique entre vaccinés et non-vaccinés impossible, pour cause d'inexistence des non-vaccinés !!! Or, l'histoire a montré clairement ceci (2 exemples parmi de nombreux autres) :


Aux Philippines au début du 20ème siècle, on a fait de multiples campagnes de vaccinations contre la variole. Résultats : le taux de variole a été multiplié par 6 à 10 (!!!) dans les îles vaccinées, et en particulier à Manille où tout le monde était survacciné, alors que sur l'île philippine de Mindanao, où les habitants avaient refusé d'être vaccinés, l'incidence de la variole était resté identique au point de départ.


En France, "avec la vaccination", la tuberculose a régressé et quasi disparu. Oui mais, ce qu'on ne dit ni ne montre, comme d'habitude :


1/ cette régression avait démarré bien avant l'introduction du vaccin, et était déjà très avancée lors de l'introduction du vaccin.


2/ aux Pays-Bas, où le vaccin n'était pas obligatoire, et où seuls 5 à 10 % de la population s'est fait vacciner volontairement : la régression s'est produite non seulement à la même vitesse qu'en France, mais a abouti à une disparition finalement plus rapide, car il n'y a pas eu les petites remontées momentanées (gommées dans les statistiques usuelles) liées aux campagnes de vaccination telles que pratiquées en France....


Par ailleurs, on nous bassine, malgré les faits ci-dessus et bien d'autres, avec une prétendue protection collective ! Si un vaccin était vraiment efficace et sans danger, le vacciné n'aurait rien à craindre d'un non-vacciné ! Pourquoi alors ce conformisme imposé, cette "chasse aux sorcières", cette suspicion jetée comme par hasard sur les réticents à l'industrie du médicament ?? Une personne, vaccinée ou pas, peut être un porteur sain de microbes. Ils se développent, ou pas, chez d'autres selon leur terrain biologique, leur santé, qui ne saurait pas tenir qu'à la question vacciné ou pas : tant de facteurs de santé interviennent ! Mais la majorité ne sont pas brevetables, donc peu rentables !

 

Combien de personnes savent que les vaccins contiennent pour la plupart des métaux lourds (Mercure, Aluminium), toxiques pour le cerveau, le foie, les reins, la thyroïde etc. ? Et aussi des impuretés génétiques issus des milieux de cultures (pour tous les vaccins viraux) : fragments d'ADN issus d'oeufs, de reins de singes, de foie de singes, de cellules cancéreuses humaines, etc, (tout ceci étant ou ayant été des milieux de culture des virus vaccinaux historiquement)... Etc, etc...


Se référer notamment au livre du Prof agrégé de biologie Michel Georget : " Vaccinations, les vérités indésirables ", éditions Dangles.

 

Pour cela le 22.9.13 NON à la loi révisée sur les épidémies

Contre les pleins pouvoirs, la mise sous tutelle, les vaccinations obligatoires, la surveillance et l'augmentation des coûts! Pour la défense de notre santé et souveraineté!

En rèsume

Télécharchez la révision totale de la loi sur les épidémies (LEpr), la loi sur les épidémies en vigeur (LEp), et les explications du Conseil fédéral avec la touche droite de votre souris.

1. Refus de la dictature sanitaire des grandes compagnies sous le couvert de la protection civile
La Loi sur les épidémies a pour but de prévenir et combattre le déclenchement et la propagation des mala­dies transmissibles. La LEp en vigeur est excellente et recouvre toutes les éventualités. Mais la LEpr dévie de manière irresponsable de la cible en mettant les intérêts des grandes entreprises inter­nationales au dessus de ceux de la population en général. C'est la raison pour laquelle nous avons lancé ce référendum. La LEpr met la Suisse sous tutelle de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et son Règlement Sanitaire Internationale (RSI) (LEpr Art. 80.3). L'OMS est contrôlé par les entreprises pharmaceutiques et financé par la fondation Rockefeller. Selon le RSI tout pouvoir est concentré auprès de l'OMS. La force prime sur le droit. Si l'OMS, comme dans le cas de la grippe porcine, déclare une situation particulière (ou extraordinaire) (Art. 6.1.b + 7), le Conseil fédéral n'a plus le pouvoir d'intervenir et alors ne peut par prévoir ce que l'OMS va faire. Il suffit d'une situation particulière et l'OMS peut ordonner les cantons via l'OFSP (Art. 8.2 + 80.3 + RSI) d'imposer des vaccinations obligatoires et en masse (Art. 6.2.d + 22), des mesures ordonnées avec exécution par voie de contrainte (Art. 32 ff), des interdictions totales d’exercer votre profession (Art. 38), la fermeture de vos entreprises privées (Art. 40.b) et des amendes non limitées (Art. 83).

2. Voulez-vous que le gouvernement fédéral reçoive un pouvoir totalitaire sur nous, citoyens?
En matière de protection contre les maladies transmissibles, l'approche fédéraliste a prouvé que la propre responsa­bilité des citoyens, médecins, municipalités et cantons bien interconnectés nous protège plus efficacement contre des maladies, bien plus que des autorités centralisées le pourraient. Au lieu de ceci, les partisans de la LEpr de manière autori­taire veulent transférer tout le pouvoir aux autorités centralisées (art. 6-7). Entre­prises et autorités natio­nales et interna­tionales sont étroitement imbriqués et obtiennent un pouvoir totalitaire sur nous, citoyens. Voulez-vous aveuglement ac­cepter le risque d'abus de pouvoir - justifié par une "science" pharma­ceutique financée avec des buts lu­cratifs - au détri­ment des contribuables que nous sommes?

3. Voulez-vous être contraints à des vaccinations ordonné par l'OMS?
Conformément à la LEpr, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) peut nous dicter quand de nouveau une pré­tendue pandémie se déclare (art. 6.1.b). Au-delà, le Conseil fédéral s'engage à imposer les mesures obligatoires déter­minées par l'OMS – vaccinations obligatoires (veuillez dispositions pénales) - des «groupes en danger» et des «gens exerçant certaines activités» - infir­mières, policiers, militaires etc. – à apporter à notre pays. C'est à dire: l'OMS constate une «urgence sanitaire» et des compé­tences globales sont transférées! Ici, une séparation des pouvoirs manque. Les conflits d'intérêts ex­hortent à la pru­dence. Rappel: 2009, L'OMS et leurs conseillers, partiel­lement payés par les producteurs de vac­cins, ont proclamé, totalement in­utilement, le niveau le plus haut de pandé­mie grippe porcine. Dans le monde entier, les autorités avaient été acquises à son dictat de dépenser des milliards de recettes fiscales pour les vaccins, lesquels ont en­suite dû être détruits en tant que déchets dangereux par tonnes! Heureusement pour notre population, ceci n'a donné en 2009, aucune vaccina­tion obliga­toire. Et ce statut n'a aucune raison d'être modifié.

4. La mise sous tutelle et la criminalisation du citoyen souverain
Si nous, citoyens souverains, vérifions la «situation particulière» et sans autorisation officielle effectuons une analyse microbiologique pour détecter des «maladies transmissibles» par un laboratoire indépendant, nous sommes punis d'amende (art. 83). Les fabricants de vaccins peuvent-ils nous imposer au travers de l' OMS, quand et pourquoi nous devo­ns nous faire vacciner en Suisse? La crainte d'une pandémie, régulièrement fomentée par les médias n'est pas une rai­son pour octroyer aux puissances étrangères, l'autorité totalitaire sur nous. Laissez-nous préserver nos droits constitu­tionnels et fondamentaux de l'autodétermination et du droit à l'intégrité corporelle!

5. L'irresponsabilité prescrite par la loi de l'industrie pharmaceutique et du corps médical
Avec nos impôts, le Gouvernement fédéral prendrait en charge une partie des éventuels dommages causés à la san­té ré­sultants des vaccinations ordonnées, mais seulement jusqu'à un maximum de CHF 70'000 par personne blessée (art. 65). Le manque de responsabilité est un stimulant pour les fabricants pour fournir des vaccins insuffisam­ment testés; cela in­cite à un risque accru de dommages résultants d'une vaccination obligatoire. Parce que de nom­breux vaccins contiennent des additifs toxiques, les partisans de la vaccination veulent décider eux mêmes quand et pourquoi on vaccine. Sur le site référendaire loi-epidemies-attention.ch vous trouverez des instructions sur la façon de reconnaître les produits douteux. Personne ne doit vous ordonner sous la menace de sanctions de vous faire vacciner avec des poisons comme le mercure/thimérosal (neurotoxine), l'hydroxyde d'aluminium (dégâts cérébraux), le glutamate de so­dium (destructeur du cerveau), polysorbate (infertilité), le formaldéhyde (cancer), l'OCM (tumeurs malignes), nanoparticules (effets inconnus) etc. Notre santé ne doit pas être mise en danger en faveur des intérêts de pouvoir et des profits pharmaceutiques.

6. Si vos données de santé et vos habitudes de voyage venaient à être fichées, partagées et divulguées?
Voulez-vous qu'une base de données de santé nationale et centralisée puissent être confiée aux autorités étrangères (art. 60+62)? Après le secret bancaire, le secret médical cours internationalement à sa perte. En tant que citoyen jouissant d'une répu­tation intègre, vous pourriez, à cause de - éventuellement fausses - données médicales, être détenu par une douane étran­gère, être mis en quarantaine ou être soumis à un traitement médical forcé, et bien plus encore.

7. Non à l'explosion des coûts de la santé! Le LEpr va accélérer la hausse des primes d'assurance de santé. Pratiquement, toutes les modifications législatives depuis l'introduction de la Loi sur l'assurance maladie ont inexorablement entraîné une hausse du coût pour nous les citoyen(ne)s et de profits pour l'industrie pharmaceutique. L'obligation de se faire vacciner permet les entreprises pharmaceutiques de vendre leurs vaccins, y compris les frais de publicité obligatoire avec l'argent de nos impôts. De plus le grand public se doit également de prendre en charge les coût élevés liés aux dégâts de santé sur un nombre incalculable de personnes.

8. La propagande des morts de Berset (Weltwoche, voir fichier pdf): Le Conseiller Fédéral Alain Berset affirme dans le livret de votation concernant la révision de la loi sur les épidémies que 2’000 personnes meurent chaque année d'infections nosocomiales (en milieu hospitalier) en Suisse. L'avocat Markus Erb dénonce ce chiffre fantaisiste. Ces 2'000 décès de la propagande - ainsi que l’erreur très arrangeante concernant les droguistes - ont été imaginés par un groupe de travail qui, sous la houlette du porte-parole du CF André Simonazzi, a conçu et rédigé le fascicule des votations. La Chancellerie fédérale précise que toutes les informations factuelles ont été fournies par le département en charge du thème. Cela veut dire que c’est l’OFSP et le secrétariat général d’Alain Berset qui portent la responsabilité des faux chiffres et citations. Finalement, le Conseil Fédéral à validé le document sans vérifier la pertinence de son contenu.

Pour cela le 22. Septembre 2013 votez NON à la loi révisée sur les épidemies!

Journal de votation: Pour cela le 22.9.13 NON à la loi révisée sur les épidémies
Journal de votation: Pour cela le 22.9.13 NON à la loi révisée sur les épidémies

En gros une nouvelle épidemie mondiale doit etre envisagée la première a été un échec la 2nd sera plus autoritaire ...a faire passer car cela commence par un test en suisse ensuite cela sera généralisé aux autres pays ......

 

30 août 2013

Les vaccins contre la grippe et les risques de cancer

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Les vaccins contre la grippe et les risques de cancer

par le Dr. Sherri J Tenpenny
Rapport de l’ISIS, traduction de Jacques Hallard

Beaucoup d’inquiétudes ont été générées à propos des nouveaux vaccins du virus H1N1 de la grippe ‘porcine’ A, qui ont été mis sur le marché.

Les essais cliniques ont été de faible durée - moins de trois semaines - et il y a aussi la possibilité d’ajouter, à la dernière minute, une toxine supplémentaire avec des adjuvants dits oil-in-water, afin de diluer et d’augmenter l’approvisionnement en vaccins (voir [1]

 Mais ce ne sont pas les seules préoccupations.

Le nouveau procédé de fabrication de vaccins contre la grippe, appelée technologies des cultures cellulaires, est peu connu et il a le potentiel d’avoir des conséquences graves à long terme.

 La fabrication du vaccin antigrippal annuel, saisonnier et « habituel »

Chaque année, entre Janvier et Mars, un panel consultatif de la FDA sélectionne les trois souches de grippe qui sont supposées être en circulation durant la saison à venir.

En admettant que le processus est une « supposition éclairée », le Centre sanitaire CDC transmet le matériel de base du virus sélectionné à la FDA pour approbation, et il est ensuite distribué aux fabricants pour la production de vaccins.

 Le vaccin annuel et saisonnier contient trois souches virales :

Deux virus de type A et un virus d’influenza de type B. La plupart du temps, deux des virus sont les mêmes virus que ceux qui avaient été inclus dans le plan de l’année précédente.

 Le troisième virus est typiquement une nouvelle souche en circulation.

C’est la raison avancée pour remettre cela chaque année. La nouvelle souche est modifiée au laboratoire par un processus appelé réassortiment, afin de s’assurer qu’il peut facilement se développer dans des œufs.

Une fois la modification terminée, tous les trois virus passent par les étapes de fabrication délicate pour ce qui se passe dans le flacon.

La lourdeur du processus de production du vaccin de la grippe, utilise jusqu’à 500.000 œufs de poule fertilisés par jour pendant une durée maximale de huit mois.

Des centaines de millions d’œufs fécondés deviennent des "mini-incubateurs" pour le virus mis en culture.

Lorsque les embryons de poulet sont âgés de 11 jours, la membrane amniotique (le blanc d’œuf) est injectée manuellement avec une goutte contenant la solution virale.

Plusieurs jours plus tard, la suspension virale gluante est centrifugée pour enlever si possible le sang de poulet et beaucoup de tissus.

Des protéines d’oeuf résiduelles restent dans la solution vaccinale finale et c’est la raison pour laquelle il est déconseillé d’administrer le vaccin antigrippal aux personnes qui ont une allergie aux œufs.

 Le processus complet, de la sélection du virus à la récolte virale, peut prendre jusqu’à neuf mois [2].

Devant le potentiel d’une pandémie et l’annonce de la Directrice générale de l’OMS, Margaret Chan, qui demanda jusqu’à 4,9 milliard de doses de vaccins contre la grippe pour vacciner le monde [3], les longs délais de réalisation et le processus de production très exigent en main d’œuvre, font que l’on ne peut pas satisfaire la demande pour des quantités massives de vaccin contre la grippe pandémique.

 L’entrée de la technologie des cultures de lignées cellulaires

Les technologies de cultures cellulaires, qui utilisent des cellules et des tissus animaux que l’on trouve dans les vaccins, ont été élaborées et déployées depuis les années 1950.

Les exemples incluent : la lymphe de veau pour les vaccins contre la variole, les cellules de singes verts africains (cellules AGMK) pour les vaccins contre la polio et les cellules du cerveau de souris pour le vaccin contre l’encéphalite japonaise.

Dans les années 1960, des cellules de tissus de fœtus humains avortés, appelées cellules MRC-5 et WI-38, ont été élaborées et sont encore utilisées pour la fabrication de vaccins contre la varicelle, la rubéole et l’hépatite A.

Depuis le début des années 2000, des dizaines de tissus humains et animaux ont été étudiés pour leur utilisation dans des vaccins viraux, en particulier pour la production de vaccins antigrippaux.

Les lots de vaccins peuvent être produits en moins de six semaines au lieu d’une seule récupération par an avec des œufs, améliorant ainsi énormément la production.

Bien que plusieurs des nouvelles lignées de cellules soient encore considérées comme expérimentales, les techniques de culture de lignées cellulaires ont attiré tous les grands acteurs dans le secteur de la production des vaccins et dans les industries des biotechnologies.

Avant 2007, les lignées cellulaires ont été peu utilisées pour les vaccins contre la grippe, principalement pour des raisons logistiques : Les vaccins contre la grippe fabriqués à partir de cellules, au lieu des œufs, exigeaient une transformation complète des équipements et des installations de production existantes.

Aucun des fabricants n’était prêt à investir des centaines de millions de dollars et d’attendre les cinq à sept années nécessaires pour construire des usines pour fabriquer les nouveaux vaccins.

Mais lorsque la menace de la pandémie de grippe aviaire a été agitée médiatiquement en 2006, le gouvernement a ouvert ses coffres et il a déversé des milliards de dollars dans les poches des entreprises pharmaceutiques, leur donnant ainsi les capitaux pour construire de nouvelles installations de production de vaccins contre la grippe.

 En 2012, la première usine de cultures cellulaires a été achevée en Caroline du Nord, aux États-Unis.

Le géant des produits vaccinants Novartis aura alors la capacité de produire chaque année 150 millions de vaccins contre la grippe, ce qui en fera la plus grosse usine au monde pour la production commerciale de vaccins contre la grippe et de l’adjuvant MF-59.

 Les cultures cellulaires sont la prochaine frontière de la production de vaccins

 Plusieurs lignées cellulaires sont actuellement au stade des recherches scientifiques.

Le vaccin antigrippal Optaflu de Novartis a été approuvé par l’Union Européenne et il a été produit en utilisant une lignée de cellules appelées Madin-Darby (MDCK), des cellules extraites des reins d’un épagneul cocker femelle.

Le Géant néerlandais Solvay Pharmaceuticals, a travaillé avec des cellules MDCK depuis le début des années 1990.

Une autre entreprise indépendante, Protein Sciences Corporation, a travaillé sur un vaccin contre la grippe, breveté et fabriqué à partir d’oeufs d’insectes. T

Cette stratégie vaccinale, connue commercialement sous la dénomination ‘FluBlok’, consiste à isoler une concentration purifiée de l’antigène (H) à la surface d’un virus de la grippe et à insérer l’antigène dans un second virus appelé un baculovirus.

Le baculovirus contenant (H) est alors inséré dans des cellules d’insectes en culture.

Plusieurs essais cliniques, portant sur ce vaccin créé à partir d’insectes, ont montré que les antigènes induisent une forte réponse d’anticorps chez les êtres humains [4].

 Sans doute, le vaccin contenait-il des débris de l’ADN des insectes.

Cette technologie est actuellement testée en Europe et n’a pas encore été autorisée pour son utilisation aux États-Unis.

Un troisième type de lignée cellulaire, appelées cellules PER.C6, est dérivé de cellules de la rétine des tissus de fœtus avortés.

Les cellules fœtales sont transformées en les infectant avec un adénovirus, ce qui les transforme en cellules « immortalisées » et qui présente la propriété et la capacité de se reproduire à l’infini.

 Par leur nature même, ces cellules sont néoplasiques (générant une cancérisation) ; les chercheurs se réfèrent à leur propos à des cellules "oncogènes".

 Si les tumeurs se forment lorsque les cellules sont injectées dans les animaux de laboratoire, les lignées cellulaires sont plus qu’oncogéniques : elles sont tumorigènes.

 Une vive préoccupation quant à l’ensemble du sujet :

« C’est que les cellules vivantes PER.C6 sont capables de causer des tumeurs lorsqu’elles sont transplantées dans la peau de souris. »

La FDA exige une méthode de filtration pouvant être utilisée pendant la production d’un vaccin et qui est conçue pour éliminer toutes les cellules avant que le produit ne soit conditionné.

Plusieurs études ont été menées pour s’assurer, à l’intention des développeurs de vaccins, que les cellules PER.C6 ne causent pas de cancer et qu’elles ne contiennent pas de tumeurs parasites libérant des virus [5], mais le risque demeure que les cellules puissent contaminer finalement les produits vaccinaux.

Il existe un risque réel de présence d’ADN de la rétine à l’état résiduel et de fragments viraux errants, à partir des tissus des animaux, et d’entrée possible dans le vaccin antigrippal.

Les petits fragments d’ADN sont classés comme "infectieux" ou "oncogènes" par les chercheurs qui craignent que de l’ADN parasite ne soit incorporé dans l’ADN de l’organisme receveur.

Les règlements de la FDA insistent sur « l’importance de minimiser le risque de cancérogenèse chez les receveurs de vaccins ».

Mais les fabricants ont reçu pour instruction de veiller à ce que le vaccin final contienne moins d’un million de cellules animales résiduelles et moins de 10 ng d’ADN errants par vaccin [6].

Est-ce que les lots de vaccins sont testés pour vérifier sa pureté, conformément à ces exigences ? Non ! Les lots sélectionnés sur le lieu de production sont envoyés à la FDA, et la FDA enregistre la déclaration des fabricants de vaccins, indiquant que ces normes ont été respectées.

 Les risques des cellules tumorigènes sont connus

Depuis 1998, la FDA et ses subdivisions, les Centers for Biological Evaluation and Research (CBER), ont été amenés à élaborer des règlements pour permettre l’utilisation de lignées cellulaires à la fois oncogéniques et tumorigènes, dans la production de vaccins.

La FDA est pleinement consciente que les nouvelles lignées cellulaires, en particulier les cellules PER.C6, comportent des risques substantiels, y compris le risque d’un danger mortel par des virus ‘adventices’ (parasites) qui peuvent se retrouver dans les vaccins.

Par exemple, la FDA reconnaît, qu’au début, le virus SV 40 (virus simien 40 provenant de cellules de rein de singe) était présent dans les vaccins contre la polio et avec ses risques [7] : « L’expérience du début des années 1960, de la contamination par le SV40 des vaccins contre le poliovirus et l’adénovirus et la question continuellement posée sur le fait de savoir si le SV40 pourrait être responsable de certains néoplasmes humains [cancers], souligne l’importance de veiller à bien garder les vaccins viraux exempts d’agents ‘adventices’.

"Cela est particulièrement important quand il y a un potentiel théorique de contamination d’un vaccin avec les virus qui pourraient être associés à une néoplasie [cancer]. Il est difficile de savoir si les substrats cellulaires présentent un risque plus élevé ou plus faible [de contamination] que pour d’autres types de cellules. Cependant, si leur croissance en culture de tissus n’est pas bien contrôlée, il peut y avoir d’autres occasions de contamination ... "

 Mais il y a pire.

La même note de la FDA continue en disant [7] :


« En plus de la possibilité de contamination des substrats cellulaires par des virus ‘adventices’ ... l’utilisation de cellules humaines immortalisées et néoplasiques, pour développer des vaccins, soulève des préoccupations d’ordre théorique en ce qui concerne une contamination possible par les agents d’ EST / ESB ».

L‘EST est l’encéphalopathie spongiforme transmissible, une maladie qui inclut un groupe de maladies dégénératives rares du cerveau, caractérisées par des trous minuscules dans les tissus du cerveau, ce qui donne une apparence "spongieuse" lorsqu’on les examine sous un microscope.

Lorsque cette condition se produit chez la vache, elle est appelée encéphalopathie spongiforme bovine, ou ESB, communément appelée "maladie de la vache folle." Dans une étude publiée en 2004, des chercheurs ont constaté que toute lignée cellulaire pourrait soutenir la propagation des agents de l’EST [8].

De toute évidence, les centres sanitaires CBER sont conscients et inquiets à propos du potentiel cancérigène des cellules animales dans les vaccins, car ils imposent aux fabricants de prendre « toutes les mesures de précaution possibles » pour éliminer les cellules suspectes dans les produits vaccinaux qui en résultent.

La FDA admet également des préoccupations au sujet de la possibilité de provoquer des cancers à partir de tous les types de lignées cellulaires.

 La question qui reste posée est la suivante :

En sachant les risques potentiels de l’utilisation de lignées cellulaires pour créer des vaccins, pourquoi les technologies des lignées cellulaires sont-elles autorisées ?

  • Le Dr Sherri J. Tenpenny est Docteur en Médecine Ostéopathique (DO), formé aux États-Unis.
  • Visitez son site http://drtenpenny.com/default.aspx
  • On peut aussi lire d’autres articles sur les vaccins contre la ‘grippe porcine’ [A H1N1] : Fast-tracked Swine Flu Vaccine under Fire Live Attenuated Swine Influenza Vaccine for Children Safety in Question Swine Flu Pandemic - To Vaccinate or Not to Vaccinate ? Swine Flu Virus Created from Pig Vaccine ? CSL Pandemic Swine Flu Vaccine Safety in Question
  • The Institute of Science in Society, The Old House 39-41 North Road, London N7 9DP
  • Contact the Institute of Science in Society www.i-sis.org.uk/

Traduction, définitions et compléments en français :

Jacques Hallard, Ing. CNAM, consultant indépendant.

Courriel : jacques.hallard921@orange.fr

27 août 2013

Nouveaux Documents accablants confidentiels sur le vaccin Prevenar 13

Fille-libellule-Stavenson

Le 8 décembre dernier, la presse faisait état du volumineux document confidentiel de 1271 pages de
GSK sur la pharmacovigilance du vaccin Infanrix hexa que des employés de l’Agence belge du
Médicament nous ont fait parvenir.[1] Ce document accablant démontrait déjà de graves problèmes de
sécurité avec un éventail de complications graves, y compris 36 décès (en 2 ans), jamais
communiquées aux parents et ce, en violation des exigences de la loi du 22 août 2002 sur
l’information des patients.
A présent, d’autres documents confidentiels sont arrivés entre nos mains sur la sécurité d’un autre
vaccin pédiatrique très utilisé chez les nourrissons et co-administré en même temps que le vaccin
hexavalent Infanrix hexa : le Prevenar 13, un vaccin de la firme Wyeth/Pfizer contre les
pneumocoques.
Ce vaccin dirigé contre 13 souches de cette bactérie, et qui constitue une version prétendument
améliorée de l’ancien Prevenar (contre 7 souches), a en fait remplacé en catimini cette ancienne
mouture en 2010 pour mieux dissimuler le fiasco de cette précédente vaccination qui s’était soldée par
une hausse des infections graves et donc un effet tout à fait contre-productif.[2]
Mais si ce vaccin n’est pas si efficace qu’on le dit, est-il au moins sans danger pour de si jeunes
enfants ?
Il ressort de documents confidentiels récents de Wyeth (Pfizer) ET d’une réponse de l’Agence
Européenne du Médicament (EMA) que la firme comme l’Agence sont au courant d’un nombre
très nettement accru d’effets secondaires neurologiques chez les enfants vaccinés simultanément
avec Prevenar 13 ET Infanrix hexa, comme le calendrier vaccinal belge le prévoit justement à
l’âge de 2 et 4 mois.
Le 4 janvier 2012 dernier en effet, au terme d’un délai imparti de 6 semaines, Mary Allin et Helen
Edwards, deux Directrices des Affaires Réglementaires du groupe Pfizer répondaient en effet au Dr S.
Spinosa de l’Agence Européenne du Médicament au sujet de « la hausse des évènements
neurologiques constatés en Italie après la co-administration du Prevenar 13 et de vaccins
hexavalents. ». Ces deux directrices précisaient d’ailleurs, au terme de ce courrier, qu’elles estimaient,
sur base des données fournies, qu’il n’y avait pas lieu de modifier l’information de référence sur la
sécurité du vaccin (RSI), c'est-à-dire sa notice. [3]
Pourtant, un autre document confidentiel, qui n’est rien de moins qu’une correspondance entre
l’Agence Européenne du Médicament (CHMP) et la firme titulaire de l’autorisation de mise sur le
marché (MAH), [4] stipule « Le profil bénéfices/risques du Prevenar 13 reste positif cependant
les inquiétudes potentielles de sécurité suivantes nécessitent de plus amples investigations de la
part de l’Agence Britannique des Médicaments (MAH) :
1) Décès : Il y a eu 22 décès durant la période d’évaluation (de 2 ans), ce qui représente
2,6% du nombre total de cas (d’effets secondaires) rapportés pendant cette période.
Cette proportion (de décès) s’est accrue de 0,3% pendant la précédente période
d’évaluation. En outre, dans une large majorité de cas, l’intervalle de temps entre
l’administration du Prevenar 13 et le décès (ou le début des symptômes ayant mené à la
mort) était étroit. Nous considérons les informations fournies sur les cas de décès comme
inadéquates.
2) Manque d’efficacité : Il y a eu 51 cas rapportés concernant le manque d’efficacité du
vaccin. […] Il y a une inquiétude que ces cas puissent être sous-estimés s’ils ne sont pas
recensés sous les termes et codes adéquats. […]
4) Effets neurologiques chez les sujets ayant reçu concomitamment Prevenar 13 et un
vaccin hexavalent. Suite à une enquête de pharmacovigilance d’octobre dernier au sujet
de la hausse potentielle de l’incidence des effets neurologiques après co-administration
de vaccins et constatée dans le programme national italien de vaccinations, il est
demandé à l’Agence Britannique des Médicaments (MAH) de fournir une revue
cumulative des réactions neurologiques survenues chez ceux qui avaient reçu à la fois le
Prevenar 13 et un vaccin hexavalent.
Vient ensuite la réponse de la firme qui a effectué une recherche dans la base de données Pfizer
pour la période du 10 juillet 2009 au 9 juillet 2011, soit 2 ans.
Sur cette période, la firme nous apprend que 1691 rapports d’effets secondaires après le Prevenar
13 ont été notifiés à Pfizer pendant cette période. Sur ces 1691 rapports, 312 cas soit 18%
concernaient des effets secondaires neurologiques.
Fait important, la firme a évalué la fréquence respective d’accidents neurologiques chez trois
catégories d’enfants : ceux ayant reçu le même jour uniquement le Prevenar 13, ceux ayant
reçu le même jour le Prevenar 13 et d’autres vaccins et ceux ayant reçu le même jour le
Prevenar 13 et un vaccin hexavalent.
Chez les 934 enfants n’ayant reçu que le Prevenar 13 et présentant des effets secondaires, 87
présentaient des effets secondaires d’ordre neurologique (87/934 soit 9%)
Chez les 287 enfants ayant reçu le même jour le Prevenar 13+ d’autres vaccins et présentant des
effets secondaires, 62 présentaient des effets secondaires neurologiques (62/287 soit 21%)
Chez les 470 enfants ayant reçu le même jour le Prevenar 13 + un vaccin hexavalent et présentant
des effets secondaires, 163 présentaient des effets neurologiques (163/470 soit 34% !!)
Il est donc clair, et cela se marque dans différents pays d’ailleurs, que la co-administration de
plusieurs vaccins, en particulier ceux recommandés dans le calendrier vaccinal belge également
(Prevenar 13 en même temps que l’Infanrix hexa) démultiplie le risque de réactions neurologiques,
y compris des effets graves et potentiellement irréversibles ! C’est là exactement ce que nous
disons depuis des années en évoquant la dangereuse survaccination des nourrissons !
Ainsi, qu’il s’agisse de cris persistants, de convulsions, d’hypotonie-hyporéactivité, de
tremblements, de perte de conscience, d’épilepsie, de spasmes infantiles ou d’absence de réponse
aux stimuli, ces effets sont à chaque fois plus fréquents en cas d’administration simultanée du
Prevenar 13 et de l’Infanrix Hexa. Qui donc en informe jamais les parents ? L’ONE ?
L’ONE a toujours affirmé dans tous ses supports d’information que la co-administration de
plusieurs vaccins ne posait aucun problème de sécurité, que les effets secondaires étaient
généralement semblables à ceux des vaccins administrés séparément [5] et même, que cette façon
de procéder favorisait « le confort de l’enfant » tout en augmentant l’adhésion aux vaccinations
[6] !
Nous notons en outre que l’Agence Européenne a relevé, tout comme nous l’avions fait sur base
du document confidentiel sur l’Infanrix Hexa, la relation temporelle étroite dans la plupart des
cas entre le décès et la vaccination ainsi qu’entre la vaccination et diverses complications
neurologiques comme les convulsions et l’hypotonie (la majorité survenant dans les 24 h après
le vaccin ou très peu après) [7]
Enfin, un troisième document confidentiel important sur le Prevenar 13 renseigne de façon
accablante sur les données des essais cliniques. [8] Ce document stipule que la firme a demandé,
au niveau européen, une autorisation de mise sur le marché le 2 décembre 2008 pour son vaccin
Prevenar 13, autorisation reçue le 9 décembre 2009. Ces données ont servi à l’obtention de
l’autorisation de mise sur le marché au Japon et au Canada. Mais surtout, en matière de tolérance
du produit, ce qu’on y apprend est assez effarant.
Tout d’abord, ce qui est incroyable, c’est la méthodologie et le nombre d’enfants visés pour
évaluer la « sécurité » du Prevenar 13 : au lieu de comparer un large échantillon d’enfants ayant
reçu ce vaccin et ceux n’ayant reçu aucun vaccin du tout, le fabricant a comparé son Prevenar 13
(soit la nouvelle version) à l’ancienne (Prevenar 7) !
Au niveau du nombre d’enfants évalués, il est ridiculement faible : 796 bébés + 569 jeunes
enfants= 1365 enfants en tout, répartis en deux études et 4 groupes (Prevenar 13/ Prevenar 7 chez
les bébés et les jeunes enfants suivant l’une ou l’autre étude) alors que 10 000 enfants est un
nombre parfois encore trop restreint pour évaluer les effets secondaires graves rares !! Seuls 580
sujets ont fait l’objet d’un suivi des effets secondaires de 6 mois. Plusieurs enfants ont bien
« commodément » été retirés des données en raison d’effets secondaires que la firme estimait
arbitrairement ne pas être liés de quelque façon au vaccin évalué !
On apprend ainsi tout d’abord que la fréquence des effets secondaires locaux ET systémiques
est significativement supérieure lorsque le vaccin est injecté par voie intra-musculaire par
comparaison à la voie sous-cutanée (alors que la notice continue de conseiller encore à injecter
le vaccin par voie intramusculaire !)
Pour se faire une idée, il faut ainsi savoir que la sensibilité au point d’injection est de 13 à 20%
chez les vaccinés par voie sous-cutanée contre 72 à 79% chez ceux vaccinés en intramusculaire.
Pour les effets systémiques, les chiffres sont encore plus parlants :
Moins de 8,1% des enfants vaccinés en sous-cutané ont dû prendre des médicaments pour la
fièvre après la vaccination contre 78 à 84% de ceux vaccinés en intra-musculaire !
La perte d’appétit a concerné moins de 19% de ceux vaccinés en sous-cutané contre plus de 54%
chez ceux vaccinés en intramusculaire. L’irritabilité touchait moins de 37% des premiers contre
plus de 88% des seconds, la somnolence moins de 41% des premiers contre plus de 70% des
seconds et les troubles du sommeil moins de 24% des premiers et plus de 45% des seconds !
Ces données, non surprenantes, démontrent sans surprise que les risques sont accrus avec
une injection plus profonde des substances toxiques des vaccins (dont l’aluminium
neurotoxique) dans les tissus de l’organisme. L’aluminium injecté par voie intramusculaire
plutôt que sous-cutané est sans conteste un élément-clé dans l’émergence des cas de
myofasciites à macrophages selon l’équipe de chercheurs en neuropathologies du CHU
Henri Mondor de Créteil. [9]
Ce document confidentiel sur les essais cliniques précise cependant que, quelle que soit la voie
d’administration (sous-cutanée ou intramusculaire), 83 à 92% des sujets ont spontanément
rapporté des effets secondaires, un comble pour des produits s’adressant à des bien portants !
Pour ce qui est des effets secondaires GRAVES et leur fréquence dans ces essais cliniques, la
firme renseigne qu’il a été constaté dans une étude pas moins de 30 réactions sérieuses chez 22
sujets soit un taux d’effets secondaires graves de 11,4% !!
Ces réactions étaient pour la plupart des infections et des infestations qui nécessitaient
l’hospitalisation. La firme prend toutefois la peine de préciser que selon l’investigateur,
AUCUNE de ces réactions graves n’a été considérée comme liée à la vaccination !!
Ce taux était par ailleurs nettement plus élevé chez les bébés que les enfants un petit peu plus âgés,
preuve là aussi que l’immaturité immunitaire des bébés ne fait décidément pas bon ménage avec la
vaccination acharnée telle qu’actuellement préconisée de façon aveugle par des experts en conflits
d’intérêts.
Au total, 42 sujets sur les 1365 évalués ont présenté un effet secondaire grave soit 3% d’entre
eux, un taux totalement inacceptable et nettement supérieur à l’incidence des complications graves
des pneumocoques en population générale !!
Pouvez-vous donc vous rendre compte de l’ampleur du problème puisque la Belgique connaît
128 000 naissances annuelles environ et que l’écrasante majorité des enfants reçoivent à la fois le
Prevenar et l’Infanrix hexa. Un petit calcul permet de se rendre compte que le nombre d’effets
secondaires graves pourrait donc concerner annuellement, en ne considérant QUE ce seul vaccinlà
: 3% X 128 000 naissances soit 3840 enfants !!!!!!!
En conclusion, on voit clairement que toutes ces données ne sont pas rassurantes, et que les
autorités sanitaires cachent beaucoup trop d’informations UTILES aux parents censés agir
au nom de leur progéniture. Les effets secondaires graves sont beaucoup plus fréquents qu’on ne
le prétend et la santé des enfants se trouve DIRECTEMENT mise en danger au nom d’une
idéologie et de recommandations rigides du calendrier vaccinal consistant à recommander
un maximum de doses à la fois pour favoriser la compliance des parents et surtout les intérêts
commerciaux en jeu !
Initiative Citoyenne s’insurge donc avec force contre la poursuite aveugle de ces politiques
mortifères et délétères en termes de santé publique. Nous appelons tous les gens de bonne foi et
de bonne volonté à oeuvrer pour que cesse l’omerta et le tabou en la matière mais également
l’aveuglement idéologique qui préside à un tel acharnement vaccinal.
Nos nourrissons et nos enfants n’en peuvent littéralement plus de tous ces vaccins mais ils n’ont tout simplement PAS LES MOTS POUR LE DIRE.

Merci à Christiane

Pour Initiative Citoyenne,
Marie-Rose Cavalier, Sophie Meulemans, Muriel Desclée.
Références :
[1] http://ddata.over-blog.com/3/27/09/71/2012-2013/confid.pdf
[2]http://www.initiativecitoyenne.be/article-pneumocoques-l-echec-retentissant-de-la-vaccination-
86420861.html
[3]http://ddata.over-blog.com/3/27/09/71/2012-2013/Wyeth-confidential-neurological-events.pdf
[4]http://ddata.over-blog.com/3/27/09/71/2012-2013/emea-responses--Prevenar-13-Pfizer-
Confidential.pdf
[5] http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/dec-2011/ONE-p.-225.pdf
[6] http://www.sante.cfwb.be/index.php?id=programme
[7]http://ddata.over-blog.com/3/27/09/71/2012-2013/emea-responses--Prevenar-13-Pfizer-
Confidential.pdf (cf p. 2, 7 et 10/12)
[8]http://ddata.over-blog.com/3/27/09/71/2012-2013/Prevenar--confidential--overview-clinicaltrials.
pdf
[9] http://www.kine-formations.com/docs/Myofasciite_a_macrophages.pdf (cf p. 18 et 20 du
curseur pdf)

18 août 2013

VACCIN A BOYCOTTER D'EXTREME URGENCE! Le vaccin contre le CANCER DU COL DE L'UTERUS".

vaccin

Les vaccins contre le "cancer du col de l'utérus" (Gardasil et le Cervarix) - c'est à dire les vaccins contre le papillomavirus -, sont :

- dangereux: ils ont occasionné le décés de plusieurs jeunes filles`

- ils ont  entrainé des maladies graves chez d'autres jeunes filles: voir le résumé d'une étude très officelle et classique publiée dans la principale source de rechercehs biologique et médicale: PubMed

- et de plus leur efficacité n'est pas prouvée. 

Il faut absolument refuser de le faire, même si comme en Angleterre on donne des bons d'achat aux jeunes filles qui se le font faire. C'est un procédé particulièrement ignoble et digne d'une industrie du crime. 

Si un médecin vous fait un chantage sur l'inocuité et l'efficacité de ce vaccin: une seule solution le fuir de toute urgence.

Ces vaccins sont indiqués par les autorités française à partir de l'âge de 9 ans! C'est totalement irresponsable et criminel

Dr Jacques Lacaze

____________________________________________________________________________________

Voici l'étude publiée dans PubMed  

 

Am J Reprod Immunol. 2013 Jul 31. doi: 10.1111/aji.12151. [Epub ahead of print]

Vaccin contre le virus du papillome humain et primaire Insuffisance ovarienne: une autre facette du syndrome auto-immunes / inflammatoires induites par les adjuvants.

Colafrancesco S , Perricone C , Tomljenovic L , Y Shoenfeld .

Source

Zabludowicz Centre pour les maladies autoimmunes Sheba Medical Center, Tel-Hashomer, Israël, Unité de rhumatologie, département de médecine interne et spécialités médicales, Université La Sapienza de Rome, Rome, Italie.

Résumé

PROBLÈME:

Post-vaccination phénomènes auto-immuns sont une facette importante du syndrome auto-immun / inflammatoire induite par des adjuvants (Asie) et les différents vaccins, y compris le VPH, ont été identifiés comme causes possibles.

MÉTHODE D'ÉTUDE:

Les antécédents médicaux de trois jeunes femmes qui ont présenté une aménorrhée secondaire suivant la vaccination contre le VPH ont été recueillis. Les données concernant le type de vaccin, le numéro de la vaccination, les caractéristiques personnelles, cliniques et sérologiques, ainsi que la réponse aux traitements ont été analysés.

RÉSULTATS:

Les trois patients ont développé une aménorrhée secondaire suite à la vaccination contre le VPH, qui n'a pas résolu lors d'un traitement avec des thérapies de substitution hormonale. Dans les trois cas, le développement sexuel était normal et criblage génétique n'a révélé aucune anomalie pertinentes (ie, le syndrome de Turner, le test du X fragile étaient tous négatifs). Évaluations sérologiques ont montré de faibles niveaux de FSH et estradiol accrue et LH et dans deux cas, l'auto-anticorps spécifiques ont été détectés (thyroïde antiovarian et anti), ce qui suggère que le vaccin contre le VPH a déclenché une réaction auto-immune. L'échographie pelvienne n'a pas révélé d'anomalies dans l'un des trois cas. Les trois patients ont présenté une gamme de symptômes post-vaccinaux non spécifiques communs, y compris les perturbations des nausées, des maux de tête, sommeil, arthralgies et une gamme de troubles cognitifs et psychiatriques. Selon ces caractéristiques cliniques, le diagnostic d'insuffisance ovarienne primaire (POF) a été déterminée qui a également rempli les critères requis pour le syndrome ASIE.

CONCLUSION:

Nous avons documenté ici la preuve du potentiel du vaccin contre le VPH pour déclencher une condition auto-immune invalidante. Le nombre croissant de rapports similaires de poste HPV auto-immunité vaccinale en alternance et l'incertitude des avantages cliniques à long terme de la vaccination contre le VPH sont une question de santé publique qui mérite enquête plus rigoureuse.

© 2013 John Wiley & Sons Ltd

MOTS-CLÉS:

Les auto-anticorps, syndrome auto-immunes / inflammatoires induits par les adjuvants, auto-immunité, le virus du papillome humain, une insuffisance ovarienne primaire

PMID: 23902317 [PubMed - comme fourni par l'éditeur

 

 http://www.jacques-lacaze.com/article-vaccin-a-boycotter-d-extreme-urgence-119553493.html

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