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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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crise
17 janvier 2015

Casa Pound Italia : la nouvelle vague fasciste ?

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« Nous construirons le monde que nous voulons ! » déclarent les militants néo-fascistes de Casa Pound Italia sur leur site internet. Inspirés du poète américain et sympathisant fasciste Ezra Pound, tournés vers l’action, ces « fascistes de gauche » sont accusés de nombreuses violences et inquiètent les parlementaires de la Botte. Rencontre avec un groupe qui refuse l'étiquette d'extrême-droite.

Au contraire de ce que l’on pourrait penser, l’univers « néofasciste » italien est plutôt composite. Le dernier groupe en date est Casa Pound, qui constitue l’une des expériences néofascistes les plus innovantes. Le nom du groupe fait référence au poète américain Ezra Pound, qui a ouvertement soutenu le fascisme puis la République Sociale italienne (aussi appelée la République de Salo, régime éphémère composé par Mussolini au nord de l'Italie entre 1943-1945) pendant la deuxième guerre mondiale.

Néo-fasciste et social

 « la réorganisation sous quelque forme que ce soit du parti fasciste dissout est interdite »

 « Casa Pound Italia est née en 2007 à Rome, suite à l’expérience du centre social occupé "CasaPound" et des occupations de logements » nous explique Cristiano Coccanari, membre de Casa Pound Italia et responsable de la webradio du mouvement « Radio Bandiera Nera ». « Nous sommes une association de promotion sociale et nous utilisons la force du volontariat pour diffuser nos propres visions sociales » poursuit-il. L’association est de plus en plus structurée et possède à présent des sièges dans toute l’Italie. Les pivots de son action sont la lutte contre l’usure, l’aide sociale, et la lutte contre la vie chère, et son mot d’ordre : agir !

 

Manifeste de propagande de Casa Pound Italia

Le lien direct entre Casa Pound et l’expérience fasciste italienne est évident : « ce qui nous plaît dans l’expérience fasciste, c’est l’attention à la justice, les grandes réalisations sociales et administratives faites dans l’intérêt de la communauté nationale, et tout le travail accompli pour faire de l’Italie une communauté de destin, des Alpes à la Sicile, et non une simple expression géographique », déclare encore Cristiano Coccanari. Tous les doutes sont dissipés. C’est d’ailleurs l’un des motifs pour lesquels Casa Pound a soulevé de nombreuses polémiques dans les milieux proches de la gauche, jusqu’à une interpellation parlementaire en février 2010 de la part du sénateur Salvatore Tomaselli (Parti Démocrate) qui cherchait à savoir comment le gouvernement interprétait les initiatives et les programmes de cette organisation, en considérant cette affirmation de la Constitution : « la réorganisation sous quelque forme que ce soit du parti fasciste dissout est interdite ».

Casa Pound nie vouloir se constituer en parti, et ses membres déclarent ne pas se considérer d’extrême droite : « Pour nous, les étiquettes "de droite" ou "de gauche" sont dépassées et doivent être reléguées à l’Histoire. Les défis et les problèmes que le troisième millénaire présente ne sont ni de droite ni de gauche, pas plus que leurs solutions. » Mais quand on commence à parler de la souveraineté nationale, le discours se fait plus grinçant. « L’idée de la reconquête nationale présuppose la complète récupération de la souveraineté de la part de la communauté nationale, représentée par un État qui se doit d’être éthique et organique, et qui doit être l’expression et la référence spirituelle de la communauté elle-même ».

Immigration : tolérance zéro

Un des symboles de la nouvelle droite

Concernant l’immigration, Casa Pound considère que c’est la globalisation qui contraint les pauvres à une fuite vers un « supposé eldorado européen ». Cristiano Coccanari éclaircit ce point : « Le résultat est une guerre dramatique entre pauvres qui crée chez les Italiens un chômage en augmentation à cause du profit fait sans discrimination sur le dos des "nouveaux esclaves" ». Il conclut en déclarant : « nous réclamons aussi le blocage des flux migratoires qui sont à présent bien au-delà du seuil de tolérance. »

Comment réagissent les Italiens ?

Europe autarcique, reconquête nationale, stop aux multinationales et à la société multiraciale, droit au logement et à l’éducation, souveraineté énergétique, réécriture de la Constitution italienne… voici quelques uns des points du programme de Casa Pound, défini par le professeur Stefano Bartoli

Naples, octobre 2009

ni comme un programme de « fascisme de gauche » dans son article Les "petits-fils du Duce" entre héritage, nouveauté, persistance et développement à l’aube du nouveau siècle. Selon lui, il s’agit d’un retour aux origines, d’une tentative de « se refaire une beauté »: « les néo-fascistes du vingt-et-unième siècle réadaptent les formules de communication, changent les symboles, s’inventent de nouveaux noms, mais restent ce qu’ils ont toujours été. Ils n’abandonnent même pas les pratiques les plus violentes ». Malgré cela, Casa Pound revendique le fait de représenter une expérience « différente de que les gens voudraient bien croire ». Les différents groupes antifascistes ne voient pas les choses de la même façon, et dénoncent les agressions subies de la part de cette « organisation fasciste » tout en demandant la fermeture des sièges de Casa Pound dans plusieurs villes. Entre polémiques et agressions, Casa Pound attire aujourd’hui beaucoup de jeunes, mais également plusieurs personnes ayant dépassé la trentaine. Tout ça aussi grâce à l’importance donnée à la communication et aux actions pratiques, qui s’inspirent souvent de celles du mouvement no-global. Mais Bartolini nous avertit : « Les néo-fascistes ont caché au public beaucoup de leurs idées moins présentables, ils sont capables de mettre de côté leur symbolique plus nostalgique si nécessaire. Dans ces conditions, rien ne nous dit qu’ils ne réussiront pas à gagner de nouveaux espaces et de nouveaux tremplins pour tenter l’assaut. » 

En somme, les fils de Pound ont réussi à conquérir les espaces sociaux oubliés par la politique, surtout de gauche, en s’adressant aux classes populaires et aux exclus à travers des activités pratiques. Bien qu’ils soient très bruyants, ils restent minoritaires. On est alors en droit de se demander : quel est l’avenir de ce « fascisme du troisième millénaire » ?

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13 janvier 2015

Doc : Le choix de la défaite française de 1940 et l’engagement des banquiers et industriels dans la " collaboration

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Quelles sont les causes de la défaite française de 1940 ? Comment comprendre l’engagement des banquiers et industriels dans la " collaboration économique " avec les Allemands entre la défaite et la libération de Paris sans s’interroger sur la phase précédente ? Les classes dirigeantes françaises ont-elles planifié dans la décennie 1930, comme leurs homologues belges guidées par la Banque nationale de Belgique, l’occupation prochaine de leur pays par l’Allemagne de Hitler ?
À la lumière d’archives françaises et étrangères, pour la plupart jamais encore dépouillées, Annie Lacroix-Riz revient sur les origines de Vichy. Un essai très engagé, qui bouleverse notre connaissance de cette période de l’histoire de France et au-delà, des relations internationales. Cet ouvrage défend la thèse que les hommes de Vichy ont préparé leur arrivée au pouvoir et que la transformation des institutions, rendue nécessaire par la crise, passait par la défaite française. L’ouvrage montre ainsi, dans une approche nouvelle, que les causes de l’Occupation sont avant tout intérieures. Il aborde la question de la nature des actions menées de 1933 à 1939 en faveur de l’axe Rome-Berlin. Surtout, il met en exergue le caractère déterminant de l’économie dans le fonctionnement de la société française des années 30.

DVD original disponible sur : www.historiographie.info


Le choix de la défaite. par worldhistoria

5 janvier 2015

USA Usa, Caroline du Nord. Les Camps de concentration de la FEMA pour SDF - sans domicile fixe !

 

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Usa, Caroline du Nord.

Les camps de concentration Fema

pour les sans domiciles fixes

par Massimo Bonato

 

Nous disons souvent que, à la huitième année de crise économique, et face à d’inutiles tentatives globales de faire repartir « la croissance », il semble amplement démontré que nous naviguons dans une crise de surproduction. Nous rappelons aussi, avec la même fréquence, que cette expression classique doit être entendue exactement comme elle a été pensée par son inventeur : surproduction de capital. Soit non seulement de marchandises, mais surtout d’usines-ordinateurs-bureaux (capital fixe) et de force de travail humaine (capital variable).

 

Il nous arrive aussi d’écrire que le programme capitaliste pour gérer cette « surabondance » d’êtres humains est définissable comme un « vous devez mourir ». Il apparaît en effet évident que lorsque depuis le sommet du gouvernement ou de l’Union Européenne ou d’autres organismes supranationaux, on nous dit que « l’espérance de vie s’est allongée » et « donc » il faut augmenter l’âge de la retraite, couper la dépense sanitaire, flexibiliser les horaires et les roulements de travail et de repos, effacer les contrats à temps déterminé, éliminer les tutelles du travail, vendre les immeubles à loyer modéré, etc., on est en train de chercher à réduire les dimensions de la population.

 

Naturellement il est difficile de « montrer » — à une humanité désormais habituée à regarder des images plus qu’à raisonner au moyen des concepts — quelque chose qui découle nécessairement d’une série de faits, mais qui ne « se montre » pas encore dans la réalité de tous les jours. Nous ne remercierons donc jamais assez Massimo Bonato et TgValleSusa pour avoir publié l’article qui suit, corrélé par des photos et des références documentaires.

 

On y parle des États-Unis, soit de l’« empire de la liberté » et de l’initiative privée, le paradis des « opportunités », des « droits humains » et d’autres mots similaires qui ont pénétré de tout leur poids les lieux communs et sur lesquels il n’est plus nécessaire de raisonner ou de s’interroger.

 

Dans ce paradis, les « sans domiciles fixes » — les chômeurs qui ont perdu aussi leur maison et la possibilité d’avoir un revenu pour en louer une — sont enfermés dans des camps de concentration. En fait, similaires à ceux des nazis ou des camps d’enfermement des pays en guerre.

 

Le problème est qu’aux États-Unis il n’y a aucune guerre. Mais les sans domiciles fixes sont — tacitement ou explicitement — encadrés en tant qu’ennemis combattants. Et enfermés. Sans infraction, sans procès, sans limites temporelles.

 

Une force de travail en excès, pour le moment inemployable, donc « stockée » en attente de temps meilleurs. S’ils viennent. Et sinon laissée à macérer sous les aléas atmosphériques comme l’un des mille ghost town qui parsèment le panorama états-unien.

 

Il nous semble évident que le nombre imprécis d’emprisonnés dans les dizaines de camps de concentration Fema ne sont pas comptabilisés parmi les chômeurs et ne « pèsent » donc pas sur les statistiques officielles (le « taux de chômage » a beaucoup diminué dans les dernières années ; un peu de quantitative easing, un peu de camps et le jeu est fait).

 

Comme il apparaît important que beaucoup de ces camps fédéraux (soit « publics ») soient gérés par des contractors privés. Pour traiter un problème sans passer par la loi ordinaire, et en dehors de toute Constitution, qu’y a-t-il de mieux qu’une belle société privée et secrète ?

 

***

Voici l’article de Massimo Bonato.

Des camps Fema en Caroline du Nord, on n’en sort qu’en acceptant de se faire enfiler une micropuce sous la peau.

 

Aux sans-domiciles fixes détenus dans le camp Fema de la Caroline du Nord a été donné le choix de rester ou de s’en aller, mais seulement à condition que leur soit implantée une puce. La RFID (Radio-frequency identification) servirait à les mettre sous monitorage et à les maintenir sous contrôle, en échange du bénéfice de survie, nourriture, couvertures, vêtements.

 

La nouvelle s’est répandue, pour différentes raisons : d’abord le monitorage, et de fait la limitation des libertés personnelles d’hommes et de femmes détenus sans avoir commis d’infractions, mais seulement parce qu’il s’agit d’homeless, de sans domiciles fixes, et de sans emploi. Mais elle a fait réémerger à nouveau, aussi le problème de la gestion du chômage aux USA. Camps Fema. À ceux qui se souviennent du roman de John Steinbeck, Les raisins de la colère et le film qui s’en inspira il n’est pas difficile de s’en faire une idée.

 

 

Qu’est-ce que la Fema ?

 

La Fema est une agence gouvernementale (Federal Emergency Management Agency) destinée à assurer l’arrivée des secours humanitaires en situation d’urgence ; elle est née en 1978, sous la présidence Carter (Wikipedia). Une sorte de Protection civile sous la supervision du Département pour la sécurité nationale.

 

Après les Twin Towers de 2001, et précisément l’année d’après, le procureur général John Ashcroft annonça le désir d’avoir des camps pour les citoyens états-uniens qu’il considérait comme étant des « ennemis combattants », et que son plan « lui permettrait d’ordonner la détention pour un temps indéterminé de citoyens états-uniens et les destituer sommairement de leurs droits constitutionnels et l’accès aux tribunaux, en les déclarant ennemis combattants » (Los Angeles Times). En peu de temps elle se transforma en ce qu’elle est actuellement, et qui fait dire à truthisscary.com que la « Fema est un gouvernement secret, qui peut suspendre la loi, la constitution américaine, les droits civils ».

 

Son parcours est tracé par la paranoïa de la prévention : auparavant pour une attaque nucléaire, puis pour des calamités naturelles, puis pour les attaques terroristes. Aujourd’hui dans ses camps elle enferme des sans domiciles fixes.

 

 

Les camps Fema

 

La Fema a à sa disposition environ 800 camps délocalisés dans tous les États-Unis et peut détenir jusqu’à 2 millions de personnes : des réfugiés hypothétiques, selon sa mission. Mais pas qu’eux. La relative autonomie a conduit à une gestion pas toujours uniforme de ces camps, pour la plupart maintenus vides et prêts, par exemple en Caroline du Nord dans les années 70, pour une réclusion de masse d’activistes de couleur, au cas où ils se fussent soulevés. 

 

Escogitur.com rappelle les mots exprimés au sujet par le chef de la Fema en 1987, Alonzo Chardy, au « Miami Herald », lequel avait rédigé un ordre exécutif justement destiné à suspendre la Constitution avec la déclaration relative de la loi martiale s’il eut été nécessaire. Un Guantanamo en plus grand, prêt entre autres à accueillir aussi des personnes de foi islamique, après les faits du 11 septembre 2001.

 

Les camps Fema reviennent récemment à l’honneur des chroniques, lorsque la Caroline du Nord devient l’exemple de comment seulement le vagabondage pourrait être poursuivi. En août 2013 le Columbia City Council approuve le programme de création de forces spéciales de police qui poursuivent la « quality of life ».

 

De fait, il s’agit de patrouilles qui, depuis octobre de la même année ouvrent les portes du camp Fema de Columbia. Ils poursuivent les sans domiciles fixes accusés de vagabondage ou surpris dans le sommeil ou à uriner contre une plante, ils les chargent sur des véhicules et les conduisent dans le camp, à quelques kilomètres de la ville.

 

Des sites actifs sur le front des droits humains, comme trueactivist.com, en parlent, mais peu d’autres sites en font référence. La ségrégation s’accompagne du secret. Du moins jusqu’au début de novembre de cette année, quand une équipe de la NBC se retrouve à vouloir filmer une prison abandonnée dans les environs de New York, pour un service culturel, mais sans toutefois y parvenir. L’opérateur n’a pas le temps de commencer le tournage que depuis la prison sort un gradé, qui ordonne à la NBC de s’éloigner. C’est un contractor. La prison n’est pas abandonnée, on ne peut pas filmer, et elle n’est pas gérée par un Département d’État, mais par une police privée (globalresearch.ca).

 

Avec entre autres l’histoire de la puce qu’on veut implanter sous la peau des sans domiciles fixes de Columbia en Caroline du Nord, les Américains ont commencé à s’intéresser à ces lieux de détention, surtout à cause du fait que le Wall Street Journal claironne un jour sur deux et met en exergue la diminution du chômage qui permettrait l’augmentation des taux d’intérêt aux USA et en Angleterre.

 

On passe sous silence les paramètres par lesquels le taux de chômage sont établis (sous le gouvernement Thatcher en Angleterre ils changèrent jusqu’à 37 fois !), et pour ne pas rendre compte du phénomène économique et social. Pourtant ces paramètres résultent d’un dispositif d’accréditation politique, ils sont destinés à instiller plus de confiance à l’étranger, et maintenir la stabilité à l’intérieur du pays (« Tu ne vas tout de même pas faire la révolution maintenant qu’il y a du boulot ! »).

 

Mais on s’interroge aussi sur quel sens donner à la « quality of life » aujourd’hui et sur la gestion de cette misère passée dans les mains de polices urbaines privées, des contractors. Pour défendre non seulement une esthétique métropolitaine, un fossé social évident apparaît, des gens sont enfermés dans des résidences fermées, des quartiers équipés de surveillance armée, clôtures et barbelés, afin de les garder dehors et non au sein de la société. Il semble qu’on veuille ségréguer pour ne pas éveiller de malaise dans la population et pour garder les rues propres.

 

« Mais est-ce une telle Amérique que nous voulons ? » se demandent beaucoup de gens.

 

 

 

 Par Massimo Bonato - blogs.mediapart.fr – 

 

Source : 

http://www.tgvallesusa.it

http://www.tgvallesusa.it/2014/12/usa-north-carolina-campi-di-concentramento-fema-per-senza-fissa-dimora/

 

Source de l’introduction :

http://contropiano.org/internazionale/item/28010-usa-north-carolina-i-campi-di-concentramento-fema-per-i-senza-fissa-dimora

25 novembre 2014

Les gouvernements, les multinationales et les organisations criminelles ont un point commun : l'argent.

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Les hommes et les partis politiques, dont l'objectif premier est la conquête du pouvoir, se doivent d'avoir un soutien financier qui leur permette d'y accéder. Ce soutien, provenant soit de grandes entreprises soit de personnes possédants les dîtes entreprises, leur permettra de faire campagne. Ce sera aussi une garantie pour le donateur d'une fidélité du bénéficiaire aux engagements qu'il aura pris. L'homme politique qui sait que la victoire passe par une communication efficace, et donc onéreuse, dépend entièrement des milieux financiers qui peuvent faire ou défaire sa carrière à volonté.

 

La présidentielle à la corbeille

On peut encore en faire le constat cette année aux États-Unis, où John Mc Cain et Bill Bradley, pour des raisons qui doivent autant à la tactique qu'à leurs convictions, se sont engagés à réformer le système de financement des campagnes électorales, présidentielles et législatives. Mal leur en a pris dans un pays où même les parlementaires du congrès profitent de financements intéressés. Il nous est tout de même permis de douter de la sincérité des candidats susnommés quand on sait que le démocrate Bill Bradley a bénéficié de la manne de compagnies telle que Citigroup, Merrill Lynch, Goldman Sachs, et Morgan Stanley, et que le républicain JohnMc Cain, président du Senate Commerce Committee, a été commandité par US West, AT&T, Viacom, Boeing et Bank of America, des groupes en lien étroit avec le comité qu'il préside.
Al GoreGeorge W BushLes deux candidats restant en lice pour les présidentielles 2000 américaines étaient le vice-président Al Gore et le gouverneur du Texas, George W. Bush.

En 1999, George W Bush a soulevé 37 millions de dollars en quatre mois - avant une primaire simple - plus que l'ensemble de ce que Bill Clinton et Bob Dole ont levé pour leurs campagnes respectives de 1995 et de 1996.
Le démocrate Al Gore bénéficie principalement des largesses de la National Education Association, de la Walt Disney Company et de Loral Space and Communications. Cette dernière compagnie a tiré bénéfice du desserrement de l'administration de Clinton vis-à-vis des restrictions qui concernaient la vente d'équipement de haute technologie en Chine. On peut noter à ce sujet que dès 1996, Henry Kissingera été engagé auprès de la société Walt Disney comme consultant sur les activités liées à la Chine. Al Gore obtient également l'argent de Goldman Sachs et Citigroup, aussi bien que d'Ernst and Young et Bell South.
Le républicain Bush est soutenu par Philip Morris, AT&T, Atlantic Richfield, et Archer Daniels Midland pour ne citer que celle-là. Il n'est pas surprenant que les plus grands donateurs professionnels de G. W. Bush soient des compagnies de l'état du Texas, comprenant Enron Corporation et la famille Bass.

 

Finance, sociétés secrètes et terrorisme

On a la surprise de constater que des entreprises qui, à priori, ont des objectifs différents, puisqu'elles soutiennent des candidats de partis opposés, se retrouvent main dans la main à d'autres niveaux.

En 1996, les membres de l'organisation Bilderberg se réunissaient à Toronto. Andreas Dwayne (USA), président de Archer Daniels Midland, soutien des républicain, côtoiera Peter D.Sutherland, président de Goldman Sachs International, soutien desdémocrates. Henry Wendt, quand à lui, est un des directeurs de Atlantic Richfield, et il est membre du groupe frère des Bilderberg, la Commission trilatérale.
Le vice-président Al Gore est la marionnette obligeante de son patron, le Président Clinton. Ce dernier est un Trilateraliste à long terme quia été promu au groupe Bilderberg en 1991, à Baden Baden, en Allemagne.
George W. Bush a pour conseillers en politique étrangère Richard Pearle et Richard Armitage, tous deux membres de longue date des Bilderberg. Son père, l'ancien Président George Bush, avait une place de choix auprès de ces organismes plus ou moins secrets, secret garanti par la complicité des médias. Cette complicité n'est pas une faveur mais bien une mesure de précaution. Le journaliste américain Allan Francovich n'est plus là pour en témoigner. Il enquêtait sur l'assassinat du premier ministre suédois Olof Palme. Il est officiellement décédé le18 avril 1997 alors qu'il passait la douane de l'aéroport de Houston, en vue de rencontrer l'assassin du premier ministre qu'il avait réussi à retrouver. Olof Palme avait pour intention de poursuivre la démilitarisation de la Finlande et, entre autres choses, de fermer deux stations d'écoute électronique stratégiques pour l'OTAN. Le 25 février 1986, trois jours avant l'assassinat de Palme, le Grand maître de la Loge P2 Licio Gelli adresse un télégramme au Republican National Committee et au membre de la P2 Philip Guarino, indiquant : "L'arbre suédois va tomber. Dites-le à notre bon ami Bush. "
Mais le fils Bush a aussi ses amis. Le banquier saoudien Khaled Bin Mahfouz a effectué des versements au profit d'associations caritatives proches du "terroriste" Ussama Bin Laden. Il est aussi centre du scandale de la BCCI (Bank of Credit and Commerce International) qui a été mise en liquidation en 1991. Cette banque est accusée de corruption, de financements occultes et de blanchiment d'argent. Khaled BinMahfouz a détenu 20% des parts de cette banque où il occupait un rôle central entre 1986 et 1990. Son représentant aux Etats-Unis, Abdullah Taha Bakhsh, possédait 11,5% de la société dont George W Bush était directeur et conseiller : Harken Energy. Cette entreprise a bénéficié d'investissement provenant de la BCCI avec la bénédiction, et surtout la signature de Abdullah Taha Bakhsh.
George W Bush (le fils) a détenu, entre1990 et 1994, des parts de la société Caterair, une filiale du groupe Carlyle où siège George Bush (le père), et qui est l'une des principale sociétés contributrice à la campagne de George W Bush (le fils). Khaled Bin Mahfouz a une influence dans Carlyle puisqu'il y a des intérêts. En effet, il possède la Prime Commercial Bank, un établissement financier pakistanais implanté à Lahore, dont le directeur Sami Baarma figure au conseil de Carlyle.
Est-il besoin de poursuivre la démonstration sur l'interconnexion entre les différents milieux cités plus haut ?

 

L'éthique au panier

Mais la prise de pouvoir n'est pas le seul objectif du politicien. Le bon déroulement de sa carrière est une préoccupation bien plus essentielle. Dans ce métier, les hommes passent, mais doivent assurer leurs arrières quand ils ne sont plus sur le devant de la scène. Cela n'est possible que si leur action politique ne va pas à l'encontre de ceux qui sont à même de les embaucher par la suite. Mais comment peut-on rendre compatible l'action d'un mouvement politique sensé agir pour le bien du peuple qui élit ses représentants, et être en accord avec la logique libérale qui est loin d'être satisfaisante en ce qui concerne le bien-être de l'ensemble des habitants de la planète ? Comment un technocrate, employé dans le service publique le temps d'une majorité politique, peut avoir une action visant à améliorer ce dit service, ce qui, de toute évidence, est contraire à l'intérêt des compagnies privés ?
C'est la pirouette audacieuse que l'ancienne secrétaire générale adjointe de l'Elysée, Anne Lauvergeon , réussie en devenant associée gérante de Lazard Frères, membre du conseil de Pechiney, pour finir directrice générale adjointe d'Alcatel Télécom. Jean-Charles Naouri, ancien directeur de cabinet de Pierre Bérégovoy, ministre des finances, devient, quant à lui, associé gérant de la banque Rothschild, un poste qu'occupe également  Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet d'Edouard Balladur.
ASPEN INSTITUTEEn ce qui concerne Françoise de Panafieu, Ambassadeur Délégué Permanent de la France auprès de l'UNESCO, Adjointe au Maire de Paris), ancienne candidate àl'élection pour la mairie de Paris, ces appuis pour la campagne autant que ses arrières en cas d'échec étaient assurés.
En effet, elle a le privilège de côtoyer de nombreuses personnalités du milieu économique français en tant que membre de l'ASPEN France.
Cette organisation est présidée par le membre créateur d'ASPEN France également membre d'ASPEN Institute aux États-Unis Olivier MELLERIO, et le poste de Vice-Président est occupé par Patrice VIAL, le Président Directeur Général de la banque Morgan Stanley SA dépendant de la famille Rothschild. D'autre part, existe au sein de l'ASPEN France, un conseil d'orientation rassemblant des Bilderbergers dont le bien connu moteur de l'Union Européenne Jacques Delors et le Président de Lafarge, Bertrand Collomb.
Les compagnies privées ne sont ni bienfaitrice, ni masochistes. Celui qui a perdu dans cette histoire ne peut être que le service public,et par delà la cohésion de la nation, la cohésion des peuples qui composent toutes les nations.
Mais tout cela serait compréhensible si les grandes associations criminelles n'assuraient pas le recyclage des fabuleux profits tirés de leurs activités avec la complicité des milieux d'affaires et l'opposition apparente de politiciens fantoches qui profitent de façon induite ou directe du système.
Les profits engendrés par les affaires du crime organisé, hors frais de blanchiment, sont estimés à 350 milliards de dollars par an. Cet argent est investit en bourse, là où les bénéfices seront rapides et élevés, contribuant à grossir une bulle financière déséquilibrant les unes après les autres les places financières de la planète.
Les activités de ces organisations sont hors la loi et leur action sur les milieux financiers est dangereuse pour la stabilité économique du monde. Mais on se doit de rajouter que l'action qu'elles ont sur l'argent qu'elles manipulent n'est même pas profitable au développement économique puisque les investissements qu'elles effectuent n'ont qu'un but : le profit maximum en un minimum de temps.

 

Offshore, of course !

La classe politique coupable de faire semblant d'agir contre ces pratiques nuisibles, a tout intérêt à laisser le système en l'état. Les pots-de-vin sont monnaie courante dans le milieu des grandes compagnies, comme nous l'a encore montré récemment l'affaire ELF, mais qu'en est-il des commissions occultes dans le milieu criminel ? Ces deux milieux sous les dorures des établissements qu'hébergent les paradis fiscaux. Les déclarations de principe pullulent sur la conduite à adopter devant les receleurs de l'argent du crime, de l'argent noir du sport, de l'industrie du spectacle ou de la mode, les complices de la fraude fiscale des particuliers ou des multinationales. Mais comme ce sont ces mêmes paradis qui servent d'intermédiaires au financement de certains partis politiques, ou qui profitent à des sociétés qui font travailler le peuple, garantissant ainsi la paix sociale, le statu quo est de rigueur.
Le FMI n'a de cesse d'intervenir pour contraindre certains pays à adopter les "bonnes" règles de conduites économiques,encourageant untel par un prêt conséquent, punissant tel autre par un embargo, et ce au mépris des populations. L'OMC ne se gêne pas pour contraindre l'Union Européenne à calquer sa réglementation sur la libérale Amérique. Les États-Unis, entre autres, ne se privent pas d'en référer au droit d'ingérence quand le comportement d'un pays n'est pas en accord avec l'idée qu'ils se font du nouvel ordre mondial.  
Il m'est difficile de croire que la mise au pas des paradis fiscaux dont 95 %sont d'anciens comptoirs ou colonies qui sont restés sous la protection des britanniques,des français, des espagnols, des néerlandais ou des américains est impossible. Tout comme il m'est difficile de croire que l'instauration de la taxe Tobin sur les échanges boursiers purement spéculatifs qui aurait pour effet de limiter ces derniers soit inefficace ou inapplicable. 

 

Conclusion

Notre société moderne court après cet argent qui nous donne l'illusion du pouvoir et de la liberté. Mais la vérité est que la majorité des gens, des nations, des compagnies sont prisonnières de leurs dettes et que nombre de médias, de politiciens ou de chercheurs sont redevables ou dépendant de ceux qui les soutiennent financièrement. C'est pour ces raisons qu'il me paraît évident que l'argent n'est en fait qu'un instrument de contrôle.
Le 21 novembre 1933, le président américain Franklin D. Roosevelt écrivit à un confident : « La vérité en ce domaine est, comme vous et moi le savons, que dans les grands centres un élément financier possède le gouvernement, et ce depuis le temps d'Andrew Jackson.»




Sources :

The Spotlight (Désormais disparu - remplacé par American Free Press - http://www.americanfreepress.net )
Le Monde Diplomatique,
février 2000 et avril 2000
Le Monde, 12-13/10/1997
The Buying of the President 2000, Charles Lewis
http://frenzy.chez.com/argent.htm#.VHPZVGe1bQI

11 novembre 2014

Monsanto : l’histoire complète de la société la plus diabolique

monsanto-gmo-seed-of-evil-03-21-2013

 L’entreprise Monsanto est derrière de nombreuses entreprises et des lois hyper-protectionnistes, allant jusqu’à l’absurdité totale, que l’entreprise elle-même fait voter aux USA et dans le reste du Monde, par des moyens suspects, des Lois qui vont contre l’intérêt général.

Je vous rappelle que le Traité transatlantique signé récemment par Bruxelles est un traité qui est surtout avantageux pour les entreprises comme Monsanto, qui seront prochainement bien disposées à détruire l’Europe, or, si l’Europe a été faite pour les Américains, nous en sommes les habitants et il est de notre devoir, de notre pouvoir, de chasser hors de nos pays des OGM dont le peuple ne veut pas, cependant les USA ont fait une proposition  à l’Ukraine, quelques milliards de dollars de prêts en échange de cultures OGM sur le territoire Ukrainien, une porte d’entrée sur l’Europe, on comprend désormais les vraies raisons du conflit Ukraino-Russe, et l’opposition de la Russie qui considère les OGM comme une « arme bactériologique », et il y a encore des malfaisants qui affirment que les OGM inoffensifs ? Avant d’affirmer de telles choses, je voudrais que tous ceux qui affirment que les OGM sont inoffensifs mangent et boivent des produits OGM pendant deux ans sous contrôle médical, nous verrons ensuite si leur santé se détériore ou non.

 À cela j’ajoute, que l’argument de l’entreprise Monsanto, et de ses abominables vendus qui sacrifient la vie d’enfants, de femmes et d’hommes, d’abeilles, mères de toutes vies, d’animaux, d’insectes, de plantes… car ils sont payés grassement par cette entreprise, sous la table, et qui vise à déclarer que nous faisons partie d’une secte parce que nous défendons le vivant, ces gens-là, médecins, journalistes, homme politiques, sont des traîtres à la vie, à la nature, au vivant et devraient être emprisonnés pour complicité de crime contre l’humanité. Ces gens-là ont accès aux médias et à la presse, et manipulent honteusement l’opinion publique pour la persuader du bien-fondé des OGM ; dans le monde entier, les agricultures biologiques sont à la fois plus nourrissantes et saines, alors que les OGM, sont moins nourrissants, contre nature et dangereux pour ceux qui les côtoient et qui les consomment.

Les études du professeur Séralini le démontrent, lui même menacé pour avoir mené son étude sur deux ans sur des rats saints en les nourrissant exclusivement de maïs Monsanto avec, et sans RoundUp, obtenant comme résultat d’énormes tumeurs et la mort de ses sujets dans d’atroces souffrances.

Cette étude faite dans le plus grand secret, n’a pas plu à l’entreprise Monsanto, qui a protesté contre  ses résultats, les rendant douteux, Monsanto, tellement habitué à falsifier ses études, nous le verrons dans cet article.

Ironie du sort, Monsanto a obtenu du président Hollande 3 millions d’euros des deniers publics pour refaire une étude démontrant que ses OGM sont inoffensifs, on croit rêver, vous comprendrez, à la lumière de cet article comment l’entreprise Monsanto fait ses études et fournit ses « résultats », notamment  en demandant l’aide d’autres entreprises qui lui appartiennent.

La volonté de Monsanto est bien d’anéantir notre planète dans un seul but, soumettre la population à un contrôle total de l’alimentation dans le monde entier et si nous continuons à laisser agir les entreprises productrices d’OGM, nous deviendrons dépendrons des ressources alimentaires de Monsanto et tomberons malades.

Il faut aussi s’intéresser aux axes de recherche de l’entreprise Monsanto actuellement, sur l’agriculture, la vaccination et la génétique humaine pour se rendre compte  qu’il s’agit bel et bien d’un agenda de contrôle et partout où il arrive quelque chose de mauvais et de peu naturel dans le monde, on peut être sûr que l’entreprise Monsanto n’est pas  loin.

Cet article est une prise de conscience, diffusez-le avant qu’il ne soit retiré par les mêmes qui vous empoisonnent.

Protégez notre, votre planète, vos enfants, et tous les êtres vivants qui partagent cette terre avec vous.

Philippe A. Jandrok

Si après cette enquête M. Valls veut encore nous imposer des OGM, c’est que, soit c’est un complice, soit un parfait ignorant qui a le pouvoir de décider à notre place, ce qui est pire.

L’Histoire complète de l’entreprise Monsanto, la société la plus diabolique

Par E. Hanzai

Entreprise Monsanto

De toutes les mégacorporations, Monsanto a automatiquement surpassé ses rivaux, gagnant le titre de « société la plus diabolique sur Terre! » non content de se reposer sur son trône d’anéantissement, elle reste concentrée sur un développement de moyens novateurs, plus scientifiques, pour contrôler  la planète et ses habitants.

1901 : L’entreprise créée par John Francis Queeny, un membre de « l’ordre des Chevaliers de la Malte »Knights of Malta, pharmacien de 30 ans et marié avec Olga Mendez Monsanto, d’après laquelle il nomma ses travaux de recherche,c’est ainsi que  Monsanto a vu le jour. Le premier produit de l’entreprise Monsanto fut la saccharine (ou E954), vendue à Coca-Cola comme édulcorant artificiel.

Alors que le gouvernement connaissait la toxicité de la saccharine au point d’attaquer Monsanto en justice pour en arrêter sa fabrication, il perdit son procès contre Monsanto ouvrant ainsi la Boîte de Pandore, étant ainsi  libre d’empoisonner le monde à travers les boissons non alcoolisées.

1920 : Monsanto produit des produits chimiques industriels et des médicaments, devenant le plus grand fabricant du monde d’aspirine, acide acétylsalicylique (toxique bien sûr). C’est aussi  à cette  période que  la planète a commencé à se détériorer avec l’apparition  des « biphényles polychlorés (PCB) ». Entreprise Monsanto

 « Les PCB sont considérés comme des produits industriels chimiques étonnants, une huile qui ne brûlerait pas, imperméable à la dégradation et avec des applications presque illimitées. Aujourd’hui, on considère les PCB comme une des menaces chimiques les plus toxiques de la planète. Largement utilisé comme lubrifiants, des liquides hydrauliques, réduisant les quantités d’huiles en les intégrants, ce sont aussi des revêtements imperméables et des mastics liquides. Les PCB sont de puissants cancérigènes et sont liés à des troubles du système immunitaire et reproducteur, liés au développement de l’individu. Le centre de fabrication des PCB était l’usine Monsanto à la périphérie de l’Est de la ville de St Louis, Illinois, qui avait le taux le plus élevé de morts d’enfants prématurés de l’État.  » (1)

Bien que les PCB aient enfin été interdits après cinquante ans à cause de leur dangerosité et entraînant une telle dévastation, ils sont toujours présents dans le sang et les tissus animal et humain à travers le monde. Les documents présentés par la justice ont montré plus tard que Monsanto connaissait très bien les effets mortels, mais les a criminellement cachés au public pour garder la main mise sur un produit phare et juteux !

1930 : L’entreprise Monsanto crée son premier maïs hybride et en y incorporant des détergents, des savons, des produits de nettoyage industriels, des caoutchoucs synthétiques et des plastiques, tous toxiques bien évidemment!

1940 : Monsanto entreprend des recherches sur l’uranium à utiliser sur le Projet Manhattan, celui de la première bombe atomique, qui sera plus tard lancée sur Hiroshima et Nagasaki, tuant des centaines de milliers de Japonais, des militaires américains et coréens, et empoisonnant des millions de personnes.

L’entreprise continue à  détruire ce qui l’entoure  en mettant au point des pesticides pour l’agriculture contenant des toxines mortelles, comme la dioxine, qui empoisonne la nourriture et l’approvisionnement en eau. Monsanto a refusé d’admettre que cette dioxine a été intensément utilisée dans de nombreux  produits si elle l’avait admis, elle aurait été forcée de reconnaître que Monsanto avait créé un Enfer environnemental sur terre.

1950 : En étroite collaboration avec Walt Disney Entreprise, Monsanto crée diverses attractions à  Disney’s « Tomorrowland » (le monde de demain) à Disneyland California. Les attractions en question célèbreraient la grandeur de la chimie et du plastique dans la « Maison du Futur », construite entièrement avec des plastiques toxiques non biodégradables tandis que Monsanto avait affirmé le contraire.

 « Après un total de 20 millions de visiteurs de 1957 à 1967, Disney a fini par détruire  la « Maison du Futur », mais a découvert qu’elle résistait à la démolition. D’après le Magazine Monsanto, les boules au bout des grues ont carrément rebondi sur la structure en fibre de verre, matière en polyester renforcé. Les torches, marteaux-piqueurs, tronçonneuses et pelles mécaniques ont eu le même problème. Finalement, on a utilisé des câbles pour serrer des parties de la maison démantelée par morceau pour être la transporter par camion loin de Disneyland. » (2)

 La vision de l’avenir de Monsanto chez Disney :

1960 : Monsanto, avec son partenaire « DOW Chemical », produit à partir de la dioxine l’Agent Orange dont l’utilisation est exclusivement réservée pour la guerre du Viêt-Nam. Cet Agent Orange a contaminé plus de 3 millions de personnes , tué un demi-million de vietnamiens, provoqué des malformations chez un demi-million de nouveaux-nés vietnamiens et a fait souffrir des milliers de vétérans militaires américains qui succombent à  ses effets encore à ce jour !

Monsanto est à nouveau attaqué en justice et des dossiers, des notes internes indiquent que l’entreprise Monsanto connaissait parfaitement les effets mortels de la dioxine se trouvant dans l’Agent Orange quand ils l’ont vendu au gouvernement américain.

Outrageusement, la cour autorise Monsanto de présenter sa propre « recherche » qui conclut que la dioxine est inoffensive et ne pose aucun problème de santé.  La plainte est déboutée et Monsanto repart sans condamnation. Or, plus tard, la vérité éclate au grand jour, Monsanto a menti sur les résultats  de ses propres recherches, et on a conclu que la dioxine tue très efficacement.

- Je profite de ce passage traduit pour ajouter que l’entreprise Monsanto agit de la même façon avec la France en 2014, en protestant contre les études du Professeur Seralini sur la toxicité scientifiquement prouvée du maïs OGM Monsanto avec et sans RoundUp, et que Monsanto a encore obtenu du gouvernement de F. Hollande, 3 millions d’euros pour démontrer que ce maïs est inoffensif, le scénario est toujours en place et encore une fois les autorités servent les intérêts de Monsanto au détriment de la santé des citoyens.

Une note interne présentée lors d’un procès en 2002 reconnaît

« Que les preuves démontrant la persistance de ces composés chimiques et leur présence universelle dont des résidus dans l’environnement sont incontestables… » le public et les pressions légales pour les éliminer et empêcher la contamination mondiale sont inévitables. Le sujet fait boule de neige.  Où allons-nous d’ici ?

Les alternatives de l’entreprise Monsanto : faites faillite ; retirez et vendez votre enfer tant que vous le pouvez et ne faire rien d’autre; essayez de rester en activité ; ayez des produits alternatifs. » (3)

Le partenaire de Monsanto, I.G. Farben, fabricant de l’aspirine Bayer et producteur du gaz chimique, « Zyklon-B » qui servit aux chambres à Gaz du Troisième Reich. Ensemble, les deux entreprises utilisent leur expertise collective pour présenter l’aspartame au public, une autre neurotoxine très mortelle dans les rations alimentaires. Lorsque la question se pose sur la toxicité de la saccharine, Monsanto profite de cette occasion pour présenter un autre de ses poisons mortels sur un public très naïf.

1970 : Monsanto se met en partenariat avec G.D. SEARLE, qui fait de nombreuses études internes qui affirment l’innocuité de l’aspartame, alors que la propre recherche scientifique de la  FDA révèle clairement que l’aspartame provoque des tumeurs et des trous massifs dans le cerveau des rats, avant de les euthanasier. La FDA intente un procès devant un grand jury contre G.D. SEARLE pour avoir « sciemment falsifié le résultat des découvertes et pour avoir dissimulé des faits matériels substantiels et sur la fabrication de fausses déclarations  » en ce qui concerne l’aspartame et les normes de sécurité le concernant.

Pendant ce temps, SEARLE persuade stratégiquement Donald Rumsfeld qui a été ministre de la Défense nationale pendant  le mandat de Gerald Ford et celui de George W. Bush, pour en devenir le PDG. L’objectif  principal de SEARLE avec Rumsfeld, est de se servir de  son influence politique et de son expérience considérable dans les milieux d’affaires pour soudoyer et coopérer avec la FDA (Food and Drug Administration) et s’attirer ses faveurs… pour Monsanto.

Quelques mois plus tard, Samuel Skinner, Procureur Général en charge du dossier Aspartame, reçoit « une offre qu’il ne peut pas refuser » provenant de l’entreprise Monsanto, et se retire de l’enquête en démissionnant de son poste et de ses fonctions de Procureur Général pour aller travailler pour le cabinet juridique de SEARLE.

Cette combine machiavélique permet à SEARLE de gagner juste assez de temps pour que la loi sur la limitation sur l’aspartame vienne à manquer et l’enquête du jury d’accusation est brusquement et commodément abandonnée.

1980 : Parmi la recherche indiscutable qui dénonce les effets toxiques de l’aspartame, tandis que le commissaire de la  FDA, le Docteur Jere Goyan était sur le point de signer une pétition retirant l’aspartame du marché, Donald Rumsfeld appela Ronald Reagan le jour suivant son entrée en fonction pour une faveur. Le président Reagan renvoya le Docteur Goyan peu coopérant à son goût et nomma le Docteur Arthur Hull Hayes pour prendre la tête de la FDA ; celui-ci pencha rapidement en faveur de SEARLE et de Monsanto et la Sucrette (NutraSweet), approuvée pour la consommation humaine et dans tous les produits dérivés et lyophilisés. Cela devient tristement ironique alors que R. Reagan est un consommateur de bonbons qui contiennent de l’aspartame et qui sera atteint d’Alzheimer durant son deuxième mandat, un des nombreux effets terrifiants de la consommation d’aspartame.

La véritable intention de SEARLE était de faire accepter l’Aspartame comme exhausteur de goût des boissons non alcoolisées. Mais depuis, des études ont démontré que ces boissons, sodas ou autres qui contiennent de l’aspartame, qu’on expose aux températures excédant 85 degrés Fahrenheit, « se transforment en des toxines connues, comme la Diketopiperazine (DKP), le méthyle, l’alcool, le formaldéhyde » (4), devenant plusieurs fois plus mortel que sa forme en poudre non chauffée!

SEARLE peut prouver  que l’aspartame liquide, quoi qu’incroyablement mortel, crée une dépendance plus importante que le crack ou la cocaïne, la NSDA (Association Nationale des Boissons non alcoolisées) est persuadée que ses profits montant en flèche ont un lien avec la vente de boissons non alcoolisées lancées avec l’aspartame et que cela compenserait facilement n’importe quelle responsabilité future. Ainsi, l’avidité de l’entreprise progresse et l’insoupçonnable boisson, consommée par des consommateurs mal informés,auront des problèmes de santé sans le savoir.

Coca Cola mène la danse à nouveau (souvenez-vous de la saccharine en 1901) et commence à empoisonner les consommateurs de Coca Light avec de l’aspartame dès 1983. Les ventes montent également en flèche dès que des millions de consommateurs ne peuvent plus s’en passer. Le reste de l’industrie de la boisson non alcoolisée aime ce qu’il voit et fait rapidement de même, oubliant commodément toutes leurs réserves initiales, que l’aspartame est un produit chimique mortel. Il y a de l’argent à faire, beaucoup, c’est tout ce qui compte vraiment pour eux de toute façon!

En 1985, SEARLE, imperturbable aux accusations de corruption et aux accusations multiples d’enquêtes frauduleuses, Monsanto achète l’entreprise et crée une nouvelle filiale d’aspartame appelée l’Entreprise « NutraSweet ou Sucrette ». Alors que de nombreux scientifiques indépendants et des chercheurs continuent à tirer la sonnette d’alarme sur les effets toxiques de l’aspartame, l’entreprise Monsanto continue l’offensive, soudoyant le National Cancer Institute et fournissant ses propres documents frauduleux à présenter au NCI pour affirmer que le formaldéhyde ne provoque pas le cancer, et donc l’aspartame peut rester le marché.

- À nouveau j’ouvre une parenthèse, avec ces comportements, il est clair que personne ne peut faire confiance à l’entreprise Monsanto qui privilégie le profit au détriment de la santé du consommateur, Monsanto qui est visiblement habitué à falsifier et à cacher les véritables effets de ses produits.

Les effets connus de l’ingestion de l’aspartame sont :

- « Manie, colère, violence, cécité, douleur articulaire, fatigue, prise de poids, douleur à la poitrine, coma, insomnie, engourdissement, dépression, bourdonnements d’oreilles, faiblesse, spasmes, irritabilité, nausée, surdité, perte de mémoire, éruptions, vertiges, maux de tête, anxiété, palpitations, défaillance, crampes, diarrhée, panique, combustion dans la bouche. Ces Maladies incluent le diabète, MME, le lupus, l’épilepsie, Parkinson, des tumeurs, l’avortement, l’infertilité, la fibromyalgie, la mort d’enfant en bas âge, l’Alzheimer … Source : U.S. Food & Drug Administration.(5)

Près de 80 % des plaintes déposées à la FDA quant aux additifs alimentaires concernent l’aspartame, qui est désormais dans plus de 5 000 produits dont les produits de régime, les sodas light, les sodas et les boissons sportives, les bonbons à la menthe, le chewing-gum, les desserts glacés, des cookies, des gâteaux, des vitamines, des produits pharmaceutiques, des boissons lactées, des thés instantanés, des cafés, le yaourt, des aliments pour bébés et beaucoup, beaucoup plus! (6) lisez bien  les étiquettes des produits et n’achetez rien qui contient ce tueur terrifiant!

Malgré tous les décès et les maladies, Le Dr. Arthur Hull président du FDA démissionna dans une nébuleuse de corruption, mais fut immédiatement engagé par la société de relations publiques SEARLE, comme « consultant scientifique senior ». Non, ce n’est pas une plaisanterie! Monsanto, la FDA et de nombreuses agences de santé gouvernementales régulatrices sont devenues la même société! Il semble que le seul prérequis pour devenir un commissaire de la FDA (Food & Drug administration) est qu’il passe du temps à Monsanto ou dans un des cartels pharmaceutiques du crime organisé.

1990 : Monsanto dépense des millions à se battre contre  l’état et la législation fédérale qui l’accusent de rejeter de la dioxine, des pesticides et autres poisons cancérigènes dans les systèmes d’eau potable. Monsanto est attaqué en justice des centaines de fois pour provoquer des maladies à ses ouvriers agricoles, aux citoyens des zones environnantes et pour des malformations de naissance chez les bébés.

Avec leurs cercueils remplis de milliards de dollars de profits, on considère que 100 millions de dollars est la base du coût de la gestion des affaires juridiques de l’entreprise. Grâce à la FDA, le Congrès et la Maison-Blanche, les affaires de l’entreprise Monsanto se portent bien. Si bien que Monsanto est attaqué en justice pour avoir donné du fer radioactif à 829 femmes enceintes lors d’une étude, juste pour voir ce qui pouvait leur arriver.

En 1994, la FDA approuve une nouvelle fois la dernière monstruosité de l’entreprise Monsanto, l’Hormone de Croissance Bovine Synthétique (rBGH), produite à partir d’une bactérie d’EColi génétiquement modifiée. En dépit de l’évidente prise de conscience de ses dangers par la communauté scientifique. Bien sûr, Monsanto prétend que cela guérit des maladies du lait, que c’est plein d’antibiotiques et d’hormones et que c’est non seulement inoffensif, mais en réalité bon pour votre santé!

-       Je profite à nouveau de cette révélation pour rappeler au lecteur les alertes à la bactérie E.coli ou Escherichia coli dont la faute a été rejetée médiatiquement sur le concombre, alors que cette Hormone de Croissance Bovine Synthétique (rBGH), est, je le suppose, éventuellement responsable, et que la bactérie devait se trouver dans ses déjections, mais comment des déjections de vaches peuvent-elles se retrouver sur des champs de concombres ? Pourtant, personne n’a évoqué ce détail de l’hormone de croissance OGM, pour une raison ou pour une autre, et cela, en toute ignorance des autorités sanitaires et surtout des éleveurs auquel Monsanto avait encore une fois fait croire à la science et au progrès de l’élevage. À nouveau, la firme Monsanto a caché la vérité au consommateur en dépit de la sécurité de celui-ci et en détournant l’information qui n’est jamais sortie que « l’Hormone de Croissance Bovine Synthétique (rBGH), est produite à partir d’une bactérie d’EColi génétiquement modifiée. » 

Pire encore, les entreprises laitières qui ne veulent pas utiliser cette hormone de croissance et qui étiquettent leurs produits “sans rBGH” sont poursuivies en justice par Monsanto, en prétendant que  c’est de la concurrence déloyale envers ceux qui l’utilisent. En substance, Monsanto dit :

- « oui, nous savons que le rBGH rend les gens malades, mais il n’est pas correct que vous fassiez de la publicité sur ce qui n’est pas dans vos produits. »

 L’année suivante, l’entreprise diabolique commence à mettre des OGM tolérants à leur herbicide toxique le RoundUp. Le RoundUpReady d’huile de canola est opérationnel (la graine de colza), le soja OGM, le maïs OGM et le coton BT OGM commencent à arriver sur le marché, annoncé comme étant des alternatives plus sûres, plus saines comparées à leurs rivaux non-OGM biologiques donc organiques. Apparemment, la propagande fonctionne bien et  aujourd’hui plus de 80 % de canola sur le marché est une variété OGM Monsanto.

Ce que vous devez absolument éviter dans votre alimentation c’est le soja OGM, le maïs OGM , le blé et l’huile de canola ou colza OGM, bien que de nombreux ‘experts de santé « naturels » affirment que le Colza est une huile saine. Elle ne l’est pas, mais vous la trouverez dans nombre de produits sur des étagères de magasin d’alimentation.

Comme ces OGM ont été créés pour « s’autopolliniser », ils n’ont pas besoin de la nature ou des abeilles pour le faire pour eux. Il y a un sombre ordre du jour à ceci et cela doit bien sûr anéantir la population d’abeilles du monde pour ne laisser que les OGM.

Monsanto sait que les oiseaux et particulièrement les abeilles, sont une entorse, une clé à leur monopole de contrôle en raison de leur capacité à polliniser créant ainsi naturellement des produits alimentaires sans le recours de Monsanto qui souhaite « la domination complète et le contrôle de l’alimentation dans le monde. » Lorsque les abeilles essayent de féconder avec du pollen une plante OGM ou une fleur, elles sont empoisonnées et meurent. En fait, l’effondrement et la destruction des colonies d’abeilles ont été reconnus et ont continué depuis la naissance des OGM.

Pour contrecarrer les accusations de génocide délibéré sur les abeilles, l’entreprise Monsanto rachète diaboliquement la société Beeologics, la plus grande entreprise de recherche sur les abeilles, dédiées justement à la recherche et à l’étude de ce génocide organisé, qui pointaient du doigt Monsanto comme le monstre et le coupable principal de ce massacre organisé et prémédité! Après cet achat :

-       « Des abeilles, quelles abeilles ? »

- Comme le lecteur pourra le noter, à chaque fois qu’on accuse la multinationale Monsanto, elle achète et corrompt.

Précédemment, l’entreprise Monsanto a acheté un ministre, Procureur général pour qu’il arrête de l’attaquer sur le sucre artificiel, l’aspartame, à présent, Monsanto achète un centre de recherche sur les abeilles qui indiquait son agenda de destruction délibéré de l’espèce humaine et de la nature. Chacun doit comprendre que sans abeilles, la vie n’est pas possible, mais avec Monsanto elle l’est, donc l’entreprise Monsanto organise un contrôle de la nourriture dans et pour le monde, pour contrôler les populations selon son bon vouloir et au détriment de la vie sur terre.

Nous sommes dans un scénario de fin du monde catastrophique, et Monsanto achète le silence de chacun avec des millions de dollars ? La question que je pose :

-       Citoyens, allez-vous laisser cette entreprise diabolique détruire l’héritage de vos enfants ?

-       Il est désormais prouvé que les abeilles qui pollinisent rapportent à la ruche du glyphosate, l’ingrédient principal de l’herbicide Round Up, qui leur fait perdre l’appétit, et la capacité d’apprendre, publiée par le « Journal of experimental biology » une étude similaire a été dirigée à l’Université de Buenos Aires en Argentine, révélant  des résultats similaires, mais à différents niveaux. Il est certain que les abeilles sont tellement perturbées, qu’elles perdent la faculté de trouver et de récolter du pollen et du fructose et sont touchées par un CCD « Colony collapse disorder » soit le symptôme de la destruction de la colonie et tout cela à cause du RoundUp. Un apiculteur avec 55 ans d’expérience déclare dans la revue Mother Earth News, être témoin de cette destruction massive à la fin de la saison d’épandage du RoundUp, des colonies entières étaient complètement décimées, a-t-il systématiquement observé.

                                                                                                                           GMOEvidence.com

Au milieu des années 90, l’entreprise Monsanto décide de réinventer sa diabolique entreprise vers une direction concentrée sur l’approvisionnement en nourriture biotechnologique artificielle dans le monde et ainsi en préservant son produit phare, le RoundUp, qui lui permet de faire des bénéfices colossaux et surtout de ne rien perdre face à des herbicides moins toxiques. Voyez-vous, le RoundUp est tellement toxique qu’il efface d’un revers de la main, une récolte non-OGM, des insectes, des animaux, la santé humaine et l’environnement en même temps. Très efficace en effet!

Parce que les semences « RoundUp ready », sont produites pour être des pesticides toxiques se faisant passer pour de la nourriture, ils ont été interdits dans l’UE, mais pas en Amérique! Y a-t-il un rapport entre cela et le fait que des Américains, malgré le haut coût et la disponibilité de services médicaux, soient collectivement les gens les plus malades dans le monde ? Bien sûr que non !

Comme c’était le plan de l’entreprise Monsanto depuis le début, toute semence non-Monsanto serait détruite, forçant des fermiers dans le monde entier à utiliser seulement son toxique « ex-terminator »de semences. Et Monsanto s’est assuré que les fermiers qui refusent d’entrer dans sa combine, soient privés d’exploitation et de leur business, ou plus simplement poursuivi en justice, quand portées par le vent, les semences « ex-terminator » contaminent par leur pollen, des graines et des récoltes biologiques.

Apportant à l’entreprise un monopole virtuel de destruction de semences organiques et le RoundUp a travaillé comme une main empoisonnée dans un gant de velours. La récolte OGM ne peut survivre dans un environnement non-chimique donc, les fermiers ont été forcés d’acheter les graines OGM et le RoudUp.

Le but de Monsanto est d’acheter à coût de milliards de dollars à l’échelle mondiale, autant d’entreprises de semences que possible pour les transformer en des entreprises OGM, afin de supprimer tous les rivaux et les aliments biologiques de la surface de la terre. Du point de vue de l’entreprise Monsanto, tous les produits alimentaires doivent être sous leur contrôle et OGM ou c’est qu’ils ne sont pas bons à manger !

- Il y  a deux différences fondamentales entre une tomate OGM et une tomate biologique, la première, la tomate OGM n’a aucun goût, aucune saveur, la seconde, sa valeur nutritive n’est pas comparable à celle d’une tomate biologique, beaucoup plus nourrissante sans les inconvénients des poisons toxiques ; où est le progrès que propose l’entreprise Monsanto ?

Monsanto feint d’être choqué dès que la communauté scientifique formule des critiques sur les semences OGM modifiées avec des gènes de porcs malades, de vaches, d’araignées, de singes, de poisson, des vaccins et des virus, qui seraient en fait bons à consommer.

Vous pensez que l’entreprise est tellement fière de ses produits alimentaires OGM qu’elle les servirait à ses salariés, comble de la réalité, elle ne le fait pas. En fait, Monsanto a interdit de servir des aliments OGM dans les cafétérias réservées à ses salariés. Monsanto a sans conviction répondu « nous croyons au choix. » Ce que l’entreprise Monsanto veut vraiment dire  est « nous ne voulons pas tuer ceux qui nous aident. »

- Mais cela ne nous gêne pas si les consommateurs tombent malades en s’alimentant avec des OGM.

2000 : Monsanto contrôle la plus grande partie du marché OGM mondial. À son tour, le gouvernement américain dépense des centaines de millions pour financer la pulvérisation de RoundUp, cause d’une dévastation environnementale massive. Les poissons et les animaux meurent par milliers dans les jours suivant la pulvérisation de maladies respiratoires et le taux de cancers monte en flèche chez les humains. Mais on considère que c’est une simple coïncidence ce qui implique une continuité de la pulvérisation. Si vous pensiez que Monsanto et la FDA ne faisaient qu’un, eh bien vous pouvez ajouter le gouvernement américain à cette liste désolante.

 Le monstre se développe : l’entreprise Monsanto fusionne avec « Pharmacia » et « Upjohn » et se sépare de son activité chimique pour se rebaptiser en entreprise agricole.

Oui, vous lisez bien, une entreprise chimique dont les produits ont dévasté l’environnement, tué des millions de gens, la faune sauvage et la flore au fil des années, qui maintenant veut que l’on croit  qu’elle produit des produits alimentaires sûrs et nutritifs qui ne tueront plus les gens ?

C’est difficile à croire, alors que la multinationale Monsanto continue à se développer à travers des fusions secrètes et des partenariats tous aussi discrets, mais avec la même intention de destruction du vivant.

Parce que son rival DuPont (autre producteur d’OGM) est une trop grande société concurrente, les deux ne peuvent pour fusionner, mais forment, au lieu de cela, un partenariat furtif où chacun consent à abandonner des poursuites judiciaires les opposant l’une à l’autre et commencent à partager des technologies OGM pour leur avantage mutuel. En termes simples, ensemble ils seraient beaucoup trop puissants et politiquement connectés pour que quoi que ce soit puisse les empêcher de posséder un monopole virtuel de l’agriculture mondiale.

-  « Contrôlez l’approvisionnement en nourriture et vous contrôlez le peuple ! »

Tout n’est pas rose pour l’entreprise Monsanto, ce monstre est poursuivi à plusieurs reprises en justice pour 100  millions de dollars de dommages et intérêts, pour avoir causé, maladies, difformités et morts d’enfants en bas âge, en diffusant illégalement et de toutes les façons possibles et imaginables dans le sol et les nappes phréatiques, des PCB, tout en mentant sans cesse concernant la sécurité de ses produits – vous savez les affaires courantes, l’habitude pour Monsanto quoi…

Monsanto persiste et signe, et s’avère difficile à éliminer, car il commence à intenter des procès insensés contre des fermiers, exploitants agricoles, tout en affirmant  qu’ils empiètent sur leurs brevets de graines OGM. Dans pratiquement toutes les affaires, des OGMs indésirables sont portés par le vent sur les terres des fermiers en contaminant leur récolte organique .

Non seulement ces monstrueux OGM anéantissent les récoltes biologiques et organiques des fermiers, mais les procès les conduisent à la faillite, tandis que la Cour suprême rend systématiquement des décisions en faveur de l’entreprise Monsanto.

En même temps, le Monstre commence à déposer des brevets sur des techniques d’élevage de porcs, revendiquant de ce fait, que tout élevage de porcs ressemblant à son brevet se rend coupable de vol de méthode. À ce point, il est facile d’imaginer que tous les élevages de porcs dans le monde copient Monsanto et se rendent coupables juridiquement de vol de méthode et de brevet.

Je tiens à signaler que l’entreprise Monsanto agit dans le cadre non pas de la logique, mais dans celui de la Loi, ainsi, en légalisant « l’illégalisable », Monsanto se rend propriétaire des idées les plus logiques, les plus communes à tous, dans le monde agricole, il se rend propriétaire des idées les plus anciennes sur l’élevage et l’agriculture afin de toucher des royalties sur tout ce qui se fait dans l’univers agricole mondial, et toujours dans le cadre de la loi, une loi faite pour des voyous qui va ruiner tous les exploitants de la terre et le pire, est le Traité transatlantique qui va donner à Monsanto le moyen de piller les terres des paysans français et européens avec ces brevets aberrants. Voilà ce que nos députés européens ont signé en faveur de l’entreprise Monsanto à notre insu.

Alors que le terrorisme mondial s’étend en Inde et que plus de 100 000 fermiers, sont mis en faillite par des mauvaises récoltes OGM, ces fermiers se suicident en buvant du RoundUp pour que leurs familles aient droit aux paiements de l’assurance décès. En réponse, le monstre profite de la situation dramatique en convoquant les médias pour leur confier un nouveau projet, celui d’assister des petits fermiers indiens en faisant don des mêmes semences OGM qui en premier lieu, était la cause des échecs des récoltes dans le pays! Forbes nomme alors Monsanto « l’entreprise de l’année. ».

- Sur le chiffre des 100 000 fermiers indiens suicidés, ce chiffre officiel ne prend pas en compte les femmes des agriculteurs qui se suicident également, et qui doubleraient le chiffre officiel, et il ne prend pas plus en compte les notes de la police qui déterminent si les suicidés sont des agriculteurs ou pas, ou si les morts sont des suicidés ou pas, ce qui, remis dans le contexte, ferait exploser les chiffres. L’Inde qui vient de démontrer que la culture organique offrait plus de rendement et de santé aux exploitants et aux consommateurs, revient peu à peu sur  l’entreprise Monsanto. À Madagascar, « un système bio quadruple le rendement des rizières… (reunion.1ère.fr)

De tous ces Produits alimentaires, la société qui se prétend biologique, organique, naturelle et écologique est tout sauf écologique. Monsanto ne veut pas soutenir la [1] Proposition 37, la mesure Californienne imposant l’étiquetage OGM sur les produits alimentaires contenant des OGM que Monsanto et ses amis producteurs d’OGM ont finalement aidé à supprimer.

- 25 états ont réclamé cette Proposition 37 à Washington, cette demande a été rejetée. Si les OGM sont si naturels et si bons pour le consommateur comme l’affirme Monsanto et consort, pourquoi le lui cacher ?

Parce que la société Whole Foods market, qui vend soi-disant du bio, dort dans le lit de Monsanto depuis longtemps, bourrant secrètement ses étagères avec des tarifs excessifs, et qui a frauduleusement fait de la publicité mensongère sur des produits alimentaires « naturels et biologiques(organique) » de la merde chargée en OGM, en pesticides, rBGH, en hormones et en antibiotiques. Ainsi, bien sûr, ils ne veulent pas l’étiquetage obligatoire sur leurs produits, car cela les exposerait comme de parfaits Fraudeurs avec leurs saloperies de marchandise alimentaires !

Plus de vingt entreprises favorables à biotechnologie incluant  WalMart, Pepsico et ConAgra ont récemment rencontré le FDA en faveur des lois d’étiquetage obligatoires, ceci après avoir combattu bec et ongles pour supprimer la proposition 37, Whole Foods voit une occasion de sauver la face et devient la première chaîne d’épicerie à annoncer l’étiquetage obligatoire de ses produits OGM (organisme génétiquement modifié) … en 2018!

Et si vous pensez que ces entreprises ont soudainement nourri une conscience, réfléchissez. Ils réagissent simplement au tollé du public sur la défaite de la Proposition 37 et en ouvrant des lois « ÉTIQUETANT les OGM » pour contourner n’importe quel changement véritable, gardant ainsi le statu quo intact.

Et pour prolonger l’insulte à la blessure mondiale, Monsanto et ses complices/partenaires Archer Daniels Midland, Sodexo and Tyson Foods écrivent et parrainent la Loi de Modernisation de Sécurité alimentaire de 2009 : HR 875.  Cette loi criminelle propose  aux fermes industrielles de production alimentaire un monopole virtuel et le contrôle de tous les produits alimentaires cultivés n’importe où dans le monde, dont un contrôle sur une arrière-cour de jardin et imposent des pénalités dures et des peines de prison à ceux qui n’utilisent pas de produits chimiques et des engrais OGM. Le président Obama a décidé que cette loi semblait raisonnable, c’est pourquoi il l’a validée.

Avec cette Loi, Monsanto prétend que seuls les OGM sont sûrs et que les aliments biologiques sont potentiellement responsables de répandre et de diffuser des maladies, ce qui doit être éradiqué de l’existence pour la sécurité du monde.

Si manger des boules de pesticide OGM est leur idée de nourriture saine, j’aimerais penser que le reste du monde est assez intelligent pour ne pas souscrire à cette philosophie.

De nouvelles révélations quant aux vraies intentions de Monsanto qui a fait voter la ridicule Loi «  HR 933 Continuing Resolution, aka Monsanto Protection Act» qu’Obama le robot Monsanto a signé. Cette loi qui déclare que peu importe à quel point les OGM de Monsanto sont nuisibles et peu importe combien de dévastation de l’environnement Monsanto répand sur le pays, des cours fédérales américaines ne peuvent pas l’empêcher de continuer à planter ses OGM n’importe où il le choisit. Oui, Obama a signé une disposition qui place Monsanto au-dessus de n’importe quelle loi et le rend plus puissant que le gouvernement lui-même. Nous devons nous demander qui est vraiment responsable du pays, parce que ce n’est pas certainement Obama!

De nombreux pays continuent d’accuser Monsanto de crimes contre l’humanité et à bannir cette entreprise, en lui disant « de dégager et de rester en dehors du pays! »

La recherche sur les origines latines du nom lui-même, « mon saint, » peut expliquer pourquoi les critiques s’y réfèrent souvent comme « MonSatan « . Mais plus intéressant du point de vue de la conspiration est que les francs-maçons et autres sociétés ésotériques assument les nombres assignés à chaque lettre dans notre alphabet latin et dans un système à six nombres. Sous ce même système de nombre, la valeur de l’entreprise Monsanto est le 6-6-6, soit le nombre de « la Bête », le diable.

Sachez qu’on peut encore réagir. Le Mal perd toujours à la fin une fois qu’il est largement exposé à la lumière de vérité comme c’est le cas aujourd’hui. Le fait que l’entreprise Monsanto mène le gouvernement à la baguette en ordonnant une législation exclusive pour protéger son leadership prouve ce point. Étant expulsés ailleurs, les États-Unis sont le dernier rempart de Monsanto, pour ainsi dire.

J’en profite pour rectifier l’auteur de cet article qui croit naïvement que les pays du monde rejettent Monsanto, à part la Russie, la Chine et un peu l’Inde, l’Europe se fait investir par Monsanto malgré le rejet citoyen et réussit à s’imposer en fraudant, en faisant voter des lois contradictoires pour s’implanter en France et ailleurs, en falsifiant, comme Monsanto le fait depuis le début, les études sur ses semences en intégrant les OGM de force dans la nourriture sans que personne ne le sache, la lécithine de soja est-elle OGM ou pas ? l’Amidon de maïs est-il OGM ou pas ? Le lait du chocolat ou autre préparation est-il OGM ou pas en France ? Starbuck Coffee appartient à Monsanto, le lait utilisé est OGM, Coca Cola et Pepsi appartiennent à Monsanto, le sucre est-il de l’aspartame, une neurotoxine OGM produite par l’entreprise Monsanto ? Les farines animales qu’on donne  au bétail sont-elles conçues à partir d’OGM, les maïs alimentaires exclusivement réservés à l’élevage sont-ils OGM ? Monsanto est comme une gangrène, il est partout et je suis navré de contredire l’auteur de ce courageux article, l’entreprise Monsanto est déjà en France.

Pourtant, même si aux USA beaucoup ont commencé à rendre les coups en protestant contre et rejetant les monstrueux OGM, choisissant de cultiver leurs propres produits alimentaires et acheter auprès des marchés de fermiers locaux au lieu des chaînes d’épicerie Monsanto.

Le réveil du peuple, qui commence aussi à voir qu’il a été trompé par des d’entreprises malhonnêtes et des criminels fédéraux et gouvernementaux empoisonnés par trop de pouvoir, de contrôle et l’avidité, qui a finalement abouti à la création de l’entreprise, la bête monstrueuse hors de contrôle.

Liste des employés et ex employés travaillant dans l’administration OBAM

 

Toby Moffet              Consultant Monsanto                                 US Congressman

Dennis DeConcini     Conseiller légal de Monsanto                     US Senateur

Margaret Miller        Superviser d’un laboratoire                        Directrice de la FDA, HFS

Marcia Hale   Dir. des affaires gouvernementales                      Employée Senior à la Maison      Blanche

Mickey Cantor          Membre de la Direction Monsanto              Ministère du Commerce

Virginia Weldon       Attaché de presse                                       CSA et Gore’s SDR…

La liste est longue, pas moins d’une vingtaine de personnes viennent de chez Monsato et sont des conseillers du Président Obama et l’influence sur sa politique.

Traduction assurée par Philippe A. Jandrok

Par E. Hanzai

Sources http://www.espritsciencemetaphysiques.com/entreprise-monsanto-lhistoire-complete.html

(1,3) http://bestmeal.info/monsanto/company-history.shtml
(2) http://www.sourcewatch.org/index.php/Monsanto
(4,5) http://www.pfnh.org/article.php?id=65

via: Global Research

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10 novembre 2014

USA / Un militant de 90 ans, arrêté pour avoir donné à manger à des sans-abris

2013-03-28-HomelessB_W_mod

Un militant de 90 ans, arrêté pour avoir donné à manger à des sans-abris dans une ville américaine qui l'interdit, a promis de continuer à le faire même s'il risque la prison, les autorités ayant averti qu'elles feront respecter la loi.




"Je suis difficilement intimidable", a prévenu Arnold Abbott sur la chaîne NBC. Le nonagénaire dirige une organisation au sein de laquelle depuis deux décennies il donne à manger aux sans-abris de Fort Lauderdale, en Floride (sud-est des Etats-Unis).

Mais vendredi dernier, une ordonnance est entrée en vigueur dans cette station balnéaire qui interdit de distribuer de la nourriture aux pauvres en extérieur, dans le cadre d'une campagne lancée par les autorités locales qui disent vouloir garantir la santé publique et la sécurité.

"On ne peut simplement pas cacher les sans-abris sous le tapis (...) Il y a 10.000 sans-abris dans le comté de Broward, la majeure partie d'entre eux sont à Fort Lauderdale, et il n'existe pas de tapis suffisamment grand pour tous les cacher", a insisté Arnold Abbott à la télévision.

Cet ancien combattant, connu sous le surnom de "Chef Arnold", avait été brièvement arrêté mercredi après-midi, pour la deuxième fois en moins d'une semaine, pour avoir donné à manger à des mendiants dans un parc de Fort Lauderdale.

Dimanche, il avait déjà été arrêté en même temps que deux pasteurs chrétiens. Ils risquent jusqu'à deux mois de prison et 500 dollars d'amende.

"L'objectif de l'ordonnance n'est pas d'éviter que l'on donne à manger aux sans-abris mais bien d'équilibrer les besoins de toute la population de la ville", a affirmé la police de Fort Lauderdale dans un communiqué, précisant qu'il existe des endroits spécialement réservés pour le travail humanitaire.

Les autorités veulent sortir des rues les sans-abris pour les mettre dans des endroits "où ils peuvent améliorer leur situation", a expliqué pour sa part le maire de Fort Lauderdale, Jack Seiler, assurant que sa ville ne "manquait pas de compassion".

En attendant, Arnorld Abbott a menacé d'aller jusqu'en justice, comme en 1999 lorsqu'il avait gagné face à la ville de Fort Lauderdale qui avait une première fois tenté d'interdire la distribution de nourriture aux sans-abris.

Depuis janvier 2013, 21 villes américaines ont restreint les possibilités de donner à manger aux sans-abris, selon la Coalition nationale pour les sans-abris.

source

Afp via nouvel obs :: lien

18 octobre 2014

Crise systémique globale – 2015 la chine devient première puissance economique mondiale

Légende et source de l'image : "PIB de la Chine (bleu) et des États-Unis (rouge) en parité de pouvoir d'achat (PPP), en milliards de dollars, 2002-2019. Source: Financial Times

 

 

Crise systémique globale – 2015 : Le monde passe à l’est

 

Deux faits majeurs ressortent de l’actualité des quatre dernières semaines. D’un côté, la Chine devient la première puissance économique mondiale, passant officiellement devant les États-Unis, avec un poids économique officiel (chiffres du FMI) de 17,61 billions de dollars (versus 17,4 pour les États-Unis). Si les médias mainstream n’ont pas accordé le moindre haussement de sourcil à cette information, notre équipe, en revanche, estime qu’il s’agit là d’un événement historique : les États-Unis ne sont plus la première puissance économique mondiale et, forcément, ça change tout ! (1)

 

D’autant plus que, parallèlement au franchissement de ce seuil, les États-Unis, après avoir tenté d’impressionner la planète par un militarisme débordant à l’occasion de la crise ukrainienne, révèlent une faiblesse stratégique majeure dans leur « gestion » de la crise irakienne. La politique du muscle, qui semblait obliger le monde à rester sous tutelle américaine pour un temps encore indéfini, tourne court.

 

Ces deux indicateurs permettent de voir se dessiner un point de bascule majeur dans le déroulement de la crise systémique globale : le passage d’un monde américain à un monde chinois…

 

 

Europe, Russie – Mise en place d’un plan Marshall « à la chinoise »

 

Cette évidente émergence de l’acteur chinois a été précipitée par la crise ukrainienne. Alors que la Chine avait intérêt à maturer son émergence à l’abri des radars, alors que les Russes tenaient à distance une Chine inévitablement invasive, alors que les Européens auraient dû également préserver les conditions d’une émergence en douceur de ce méga-acteur, la crise ukrainienne a accéléré la mutation et fait perdre en partie la main aux acteurs.

 

Nous avons déjà fait remarquer que la crise ukrainienne et la politique de sanctions ont poussé les Russes à accepter de signer à un tarif moins intéressant que ce qu’ils espéraient le fameux accord gazier russo-chinois. L’Ukraine a fait perdre la main aux Russes dans leur négociation avec la Chine de cet accord.

 

Ces jours-ci, le premier ministre chinois est en visite officielle en Europe et en Russie (2). Il a les bras chargés de contrats, de projets d’investissements et de perspectives de business (3), un véritable plan Marshall de reconstruction des économies européennes et russes partiellement détruites par la guerre ukrainienne (4)… Un plan irrésistible, bien sûr. Mais les conditions sont-elles désormais réunies pour que nous soyons vraiment attentifs à préserver notre indépendance vis-à-vis de cette nouvelle puissance ? Rappelons-nous que le plan Marshall a contribué à enchaîner l’Europe de l’après-guerre aux États-Unis.

 

La City de Londres a déjà été sauvée de la faillite par la Chine qui en a fait la première place financière « hors-sol » à pouvoir émettre des obligations en yuan (5). De ce fait, l’Angleterre devient un fervent promoteur de l’adjonction du yuan aux DTS du FMI. La BCE elle-même commence à envisager d’ajouter du yuan à ses réserves internationales (6). Et l’Europe se retrouve à jouer le rôle qui lui incombe de facilitateur de transition systémique entre un monde d’avant et un monde d’après la crise. Mais pour le jouer à ses conditions, il aurait été préférable d’être mu par une vision (7) plutôt que par l’appât du gain, voire un réflexe de survie.

 

Tout cet activisme entre l’Europe, la Russie et la Chine va culminer ces jours-ci avec la tenue du sommet de l’ASEM à Milan, les 16 et 17 octobre (*). Cet événement a toutes les chances de rester dans les livres d’histoire, en ce qu’il va arrimer l’Europe et l’Asie et fournir la plateforme de résolution de la crise de l’euro, de la crise ukrainienne, de la crise euro-russe, de la crise systémique globale… permettant ainsi la transition au monde d’après la crise. Il aurait été plus « multipolarisant » que l’acte fondateur du monde d’après soit scellé en un sommet Euro-BRICS (8) ; mais il y a urgence et, après tout, trois des cinq BRICS seront présents (Russie, Inde et Chine)… Et surtout, le sommet ASEM a pour caractéristiques communes avec l’idée d’un sommet Euro-BRICS d’être représentatif des nouvelles réalités globales (poids économique, commercial, démographique) et de ne pas compter les États-Unis, désormais et jusqu’à nouvel ordre ombre portée sur toute tentative d’adaptation du système mondial aux nouvelles réalités.

 

Le succès de cette rencontre va rendre évident à tous le contraste entre les perspectives offertes par l’alliance avec les États-Unis (où il est surtout question de guerre) et celles offertes par un rapprochement stratégique avec l’Asie (où il est surtout question de redressement économique) (9). Notre équipe anticipe que les espoirs portés par ce sommet auront notamment pour effet de sonner le glas du traité transatlantique, le déjà si controversé TTIP (10).

 

Nos lecteurs savent que notre équipe ne craint pas l’irrésistible montée en puissance de la Chine. Mais on ne fait pas d’anticipation sans mettre en perspective des hypothèses d’avenir composées de changements de régimes, de dérives propres aux positions de toute-puissance, de durcissements conjoncturels… Alors, face à l’arrivée d’un nouveau patron sur la scène internationale, l’Europe (et tout le monde) doit être capable à la fois d’accueillir positivement la nouvelle réalité et de veiller à repenser les conditions de la préservation de son indépendance.

 

En la matière, notre équipe se permet une autre pointe d’optimisme. Les premières générations d’étudiants formés à l’Europe (grâce au programme Erasmus et aux dynamiques trans européennes en matière d’enseignement supérieur) ont 45-50 ans, l’âge où l’on commence à compter, que ce soit sur les circuits politiques ou économiques. Leur capacité à s’intégrer dans un monde multipolaire est infiniment supérieure à celle des élites issues des générations antérieures formées nationalement ou aux États-Unis, ne parlant dans le meilleur des cas qu’anglais. Grâce à Erasmus, l’Europe a tous les atouts en main pour compter à l’échelle globale malgré sa petite taille relative : multilinguisme, multiculturalisme naturel facilitant l’ouverture au monde et la compréhension de la complexité, etc.

 

En conclusion, l’émergence du monde multipolaire reprend son cours suivant les anticipations de LEAP… Il aura seulement été plus douloureux et sera juste un peu plus chinois que ce qu’une transition organisée aurait permis.

 

 

 

Communiqué public GEAB N° 88 (15 octobre 2014)

 

Le GlobalEurope Anticipation Bulletin est la Lettre Confidentielle du think-tank européen LEAP/Europe 2020, publiée en partenariat avec la fondation néerlandaise GEFIRA.

 

 

***

 

(*) Le Sommet de l’ASEM réunit les chefs d’État et de gouvernement des 27 pays européens et la Commission européenne, avec leurs homologues de 16 pays asiatiques, en plus du secrétariat de l’ASEAN, et les nouveaux arrivants d’Australie, Nouvelle-Zélande et de la Russie.

 

Le dialogue porte sur des questions politiques, économiques et culturelles, avec l’objectif de renforcer les relations entre les deux régions, dans un esprit de respect mutuel et de partenariat équitable.

 

Il se tient tous les deux ans en Asie et en Europe alternativement à partir de 1996 quand Bangkok a tenu le premier sommet de l’ASEM. (Source du texte : aseminfoboard.org

 

 

Notes :

 

(1) Moins fracassant, mais tout aussi emblématique d’un changement de paradigme, la Chine annonce qu’elle adopte un nouveau mode de calcul du PIB, intégrant d’autres paramètres que la seule croissance. Une décision dont la pertinence objective et la base d’application (Chine) risque de reléguer l’ancien PIB au rang des outils de la préhistoire économique. Le brouillard statistique va tendre à retomber et le paysage n’aura vraiment plus rien à voir ! Source : Europe Solidaire, 09/10/2014.

 

(2) Sources : China Daily, 08/10/2014.

 

(3) Sources : Business Insider, 14/10/2014 ; China Daily, 09/10/2014.

 

(4) La crise euro-russe et la politique de sanctions mutuelles sont bien évidemment les principales causes du considérable ralentissement économique du continent ces derniers mois. Cette réalité, qui ne fait l’objet d’aucun commentaire dans la presse, a pourtant récemment été mise en évidence par les chiffres catastrophiques de l’économie allemande… depuis comme par hasard six mois. Sources : The Telegraph, 06/10/2014 ; International Business Times, 09/10/2014.

 

(5) Source : Wall Street Journal, 09/10/2014.

 

(6) Source : Malay Mail, 11/10/2014.

 

(7) En promouvant activement l’émergence d’un monde multipolaire grâce à un rapprochement Euro-BRICS tel que préconisé depuis 2009 par Franck Biancheri et LEAP.

 

(8) Tel ce pour quoi nous militons depuis 2009. Voir projet Euro-BRICS de LEAP.

 

(9) Le GlobalEuromètre en témoigne depuis quelques mois : beaucoup de personnes en Europe sont conscientes du fait que les dynamiques d’avenir se situent davantage du côté des BRICS que de celui des États-Unis.

 

(10) TTIP dont nous avons toujours anticipé qu’il ne verrait pas le jour, en tout cas pas autrement que sous une forme totalement édulcorée (pour ne pas faire perdre la face à Bruxelles et Washington), mais que le basculement idéologique « occidentaliste » de ces derniers mois, en déconnectant l’Europe de la réalité et en annihilant sa capacité de réaction naturelle aux événements, a réellement fait courir le risque d’une signature forcée.

11 septembre 2014

La Banque du Canada est au bord de la faillite !

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Il y a quelques jours, à l’occasion d’une de mes visites quotidiennes sur le site réputé ZeroHedge spécialisé dans les informations économiques et financières, je suis tombé sur un article qui m’a tellement renversé que j’ai décidé de le traduire pour le partager avec vous. Vous le trouverez donc plus bas.

J’avais beau savoir que la situation financière du Canada est très précaire depuis 2008, je ne me doutais pas qu’elle s’était dégradée à ce point, d’autant plus que, comme l’auteur le mentionne, la perception générale, même dans les cercles spécialisés, est qu’elle est plutôt bonne.

Il s’agit donc d’une information capitale pour tous les Canadiens, mais surtout pour les Québécois qui s’imaginent que leur appartenance au Canada est essentielle à leur bien-être économique.

Dans son texte, l’auteur fait allusion à l’adoption camouflée par le parlement fédéral de mesures qui permettent aux banques canadiennes de se recapitaliser – appréciez l’euphémisme ! – en pigeant dans les comptes de leurs déposants (vous et moi).

J’avais justement signalé ici-même sur Vigile en avril 2013 l’imminence de l’adoption de cette mesure dans un article intitulé
Les banques veulent votre bien
Le gouvernement fédéral s’apprête à le leur donner
Elles vont pouvoir piger dans votre compte de banque sans votre permission

Voici un extrait pertinent de cet article :

Lors du dépôt du budget fédéral il y a une dizaine de jours, le ministre des Finances Flaherty a déposé simultanément un document intitulé « Plan d’action économique 2013 ». Vous en trouverez les morceaux éparpillés à cette adresse

Bien cachée complètement au bas du Chapitre 3.2 dont le titre « Aider les fabricants et les entreprises à prospérer dans l’économie mondiale » est sans rapport avec le sujet traité, se trouve une section intitulée :

Instaurer un cadre de gestion des risques pour les banques nationales d’importance systémique

Le Plan d’action économique de 2013 instaurera un cadre exhaustif de gestion des risques pour les banques canadiennes d’importance systémique.

Les grandes banques canadiennes sont une source de vigueur pour l’économie du pays. Elles connaissent de plus en plus de succès sur les marchés internationaux et créent des emplois au pays.

Le gouvernement reconnaît aussi qu’il faut gérer les risques associés aux banques d’importance systémique – celles dont les difficultés ou la faillite pourraient perturber le système financier et, partant, nuire à l’économie. Cela exige une supervision prudentielle solide, de même qu’un ensemble robuste d’options permettant la résolution de ces institutions sans faire appel à l’argent des contribuables dans le cas peu probable où l’une d’elles ne serait plus viable. [Mes caractères gras]

Le gouvernement compte mettre en place un cadre exhaustif de gestion des risques pour les banques canadiennes d’importance systémique. Ce cadre s’harmonisera avec les réformes instaurées par d’autres pays et les principales normes internationales, comme les Caractéristiques essentielles de systèmes performants de résolution pour les établissements financiers (Key Attributes of Effective Resolution Regimes for Financial Institutions) du Conseil de stabilité financière, et fonctionnera en parallèle avec le régime canadien des fonds propres réglementaires déjà en place. Le cadre de gestion des risques comprendra les éléments suivants :

• Les banques d’importance systémique seront assujetties aux normes de fonds propres plus élevées que déterminera le surintendant des institutions financières.

• Le gouvernement propose d’établir un régime de recapitalisation interne pour les banques d’importance systémique. Ce régime sera conçu de manière que, dans le cas peu probable où une banque d’importance systémique épuiserait ses fonds propres, elle pourra être recapitalisée et redevenir viable grâce à la conversion très rapide de certains de ses passifs en fonds propres réglementaires. Cette mesure réduira les risques pour les contribuables. Le gouvernement consultera les intervenants sur la meilleure façon d’instaurer un régime de recapitalisation interne au Canada. Le calendrier de mise en œuvre assurera une transition en douceur pour les institutions touchées, les investisseurs et les autres participants au marché. [Mes caractères gras]

• Les banques d’importance systémique demeureront assujetties aux exigences existantes sur la gestion des risques, y compris une surveillance plus étroite et l’obligation de préparer des plans de reprise des activités et de résolution. Ce cadre de gestion des risques limitera l’avantage injuste dont profiteraient les banques canadiennes d’importance systémique du fait que les investisseurs et les autres participants au marché croiraient, à tort, que ces institutions sont trop grandes pour faire faillite.

Dans un langage tout ce qui a de plus aseptisé, le gouvernement fédéral explique le plus banalement du monde que dans le cas où une banque d’importance systémique comme l’une des cinq grandes banques canadiennes (RBC, TD, CIBC, BMO, ou Scotia et dans certaines circonstances possiblement aussi la BN et certaines autres banques régionales importantes), épuiserait ses fonds propres, elle pourrait être recapitalisée et redevenir viable grâce à la conversion très rapide de certains de ses passifs en fonds propres réglementaires, dans le but de réduire les risques pour les contribuables.

Cela veut tout simplement dire que les dépôts de ses déposants (passifs pour elle) pourraient être convertis (quel euphémisme !) en fonds propres de la banque, sans le consentement des intéressés, pour éviter que le gouvernement ne soit lui-même obligé de la recapitaliser. Il s’agit d’une expropriation, d’une confiscation des dépôts, d’un vol au sens du code criminel (aller au delà de l’intérêt spécifique qu’on a dans la chose), en toute légalité. On croit rêver !

Voilà ce que le gouvernement fédéral concocte dans votre dos, bien à l’abri dans les méandres de ses textes « d’information » sur ses plates-formes Internet.

Il semble que je n’aie pas été le seul à être choqué par cette mesure, Voici ce qu’en pense Simon Black, investisseur international, blogueur de renom, et auteur de l’article que je vous annonçais plus haut :

Et maintenant, la banque centrale la plus lamentablement sous-capitalisée en occident [un indice : ce n’est pas la FED] :

Le 2 septembre 2014

Dans le cadre du « jamboree » annuel des dirigeants de banques centrales, le gouverneur de la Banque du Canada a certainement dû recevoir des commentaires envieux de plusieurs de ces sorciers de la haute finance pour la réputation du Canada comme refuge financier mondial par excellence. .

On ne trouve sans doute pas de meilleure illustration de cette réputation que dans l’entrevue accordée au réseau Bloomberg par le grand patron de RBC Gestion de patrimoine – la plus grande institution du genre au Canada – dans laquelle il déclarait « le Canada est aujourd’hui ce qu’était la Suisse il y a vingt ans, et les banques canadiennes sont à l’image de leurs homologues suisses il y a vingt ans. »

C’est la dernière ritournelle à la mode. Le Canada projette l’image d’un refuge financier de premier ordre et d’un « îlot de sécurité et de stabilité » parce que tout le monde est convaincu que les finances du pays sont bien gérées, qu’il est supérieurement avantagé en richesses naturelles, et que son économie est très performante.

À chaque fois que je vois des banquiers s’échanger des congratulations, mon premier réflexe en est un de grand scepticisme. Mais ici, sur le blogue Sovereign Man, toutes nos conclusions sont fondées sur des faits. Nous avons donc analysé les chiffres en profondeur.

En premier lieu, la mère de toutes les institutions financières, la banque centrale du Canada.

Le premier critère de la bonne santé d’une banque centrale, c’est la solidité de son bilan que reflète le rapport entre son capital net et ses actifs, communément exprimé en pourcentage.

Alors, quelle est la performance de la « Banque du Canada » [Note du traducteur : L’auteur utilise à dessein la version française du nom de la banque, sans doute par dérision] à ce chapitre ? Pas très bonne.

En fait, comme les faits le démontrent, la Banque du Canada est la plus lamentablement sous-capitalisée de toutes les banques centrales en occident. Sa position à cet égard est si mauvaise que celle de la FED semble pétante de santé en comparaison.

Le Monetary Authority Exchange Fund de Hong-Kong constitue un bon exemple d’institution dotée d’un bilan solide. Les derniers chiffres en date du 30 juin faisaient état d’une réserve de capital de 22 % des actifs totaux. Il s’agit d’une marge de sécurité très importante pour une banque centrale.

En comparaison, celle de la Réserve fédérale des États-Unis (la FED) n’est que de 1,27 %. Le Canada ? Un minuscule 0,47 %... comme dans moins d’un demi pourcent. À ce niveau là, plus question de parler de sécurité et de stabilité. Il s’agit tout juste d’une erreur dans l’arrondissement des chiffres.

Qui plus est, le Canada n’impose AUCUNE exigence de réserve à ses banques. Cela veut dire que les banques canadiennes ne sont pas tenues de garder en réserve une partie des dépôts de leurs clients. Elles ont donc la possibilité de prêter 100 % des sommes déposées auprès d’elles.

Il n’y a pourtant pas matière à s’inquiéter, dit-on, la Société d’assurance-dépôts du Canada (la SADC) assure les dépôts bancaires à concurrence de 100 000 ! Mais lorsqu’on y regarde de plus près, les déposants ne sont pas très protégés. Au Canada, les dépôts admissibles à cette protection s’élèvent à environ 646 milliards. Or la SADC ne dispose que de 2,8 milliards $ pour couvrir les pertes, soit seulement 0,43 % du total.

Et ce qui est encore plus troublant, c’est que le Canada a adopté un mécanisme confiscatoire comme celui de Chypre pour permettre aux banques de se servir dans le compte de leurs déposants lorsqu’elles épuisent leurs capitaux propres. Cette disposition a été soigneusement dissimulée dans les méandres du Plan d’action économique 2013 du gouvernement fédéral. Il s’agit d’un plan de « recapitalisation interne » pour les banques qui revêtent « une importance systémique », un procédé qui ne répond pas à l’idée que je me fais de la sécurité.

Enfin, le mythe canadien achève de se dégonfler complètement lorsque vous examinez le niveau des réserves d’or du Canada. Au début de ce siècle, le Canada détenait 46,19 tonnes d’or. Aujourd’hui, il ne lui en reste plus que 2,99 tonnes. C’est une baisse spectaculaire de ses réserves de 93,5% en un peu plus de 10 ans !

En d’autres termes, les autorités monétaires canadiennes ont pris en toute conscience la décision de renoncer à des actifs tangibles en échange d’actifs papier que le premier illusionniste venu peut tirer d’un chapeau.

Elles ont conduit la banque centrale du Canada au bord de la faillite.

Il faut s’en tenir aux faits et non aux impressions.

Quiconque examine les faits ne peut tirer d’autre conclusion que le Canada n’est certainement pas le refuge sécuritaire que l’on prétend.

Simon Black

À propos de l’auteur : Simon Black est un investisseur international, entrepreneur, grand voyageur, « homme libre », et le fondateur du site Sovereign Man

http://www.vigile.net/La-Banque-du-Canada-est-au-bord-de-64261

http://www.sovereignman.com/finance/presenting-the-most-pitifully-capitalized-central-bank-in-the-west-hint-its-not-the-fed-14950/

30 juillet 2014

L’Allemagne sur le point de rejoindre les BRICS ?

brics

Par Paul Joseph Watson – 30 juillet 2014

D’après un analyste financier l’Allemagne serait en train de rejoindre secrètement les BRICS. La controverse de la surveillance de la NSA est centralisée sur la peur viscérale américaine que la première puissance économique d’Europe largue le dollar.

L’analyste financier Jim Willie affiirme de manière sensationnelle que l’Allemagne serait en train de se préparer à abandonner le système unipolaire soutenu (et protégé) par l’ et les Etats-Unis pour rejoindre les nations de l’assemblée des BRICS et que ceci serait parce que la NSA a été prise la main dans le sac à espionner Angela Merkel et d’autres leaders politiques .
Dans un entretien avec Greg Hunter de USA Watchdog, Willie, un analyste statisticien ayant un doctorat en la matière, a avancé que la véritable raison derrière le récent scandale de la surveillance de la NSA ciblant l’Allemagne est centrée autour de la peur des Etats-Unis devant le fait que la plus grosse puissance économique européenne cherche à échapper à l’inévitable effondrement du dollar.

“Je pense qu’ils cherchent certains détails pour aider la à larguer le dollar. Ils cherchent des détails pour un mouvement secret pour que l’Allemagne puisse sortir du système du dollar et rejoindre les BRICS (, , Inde, Chine et Afrique du Sud). C’est exactement ce qu’ils sont en train de faire” a dit Willie.

Plus tôt ce mois ci, les nations du BRICS ont annoncé la création d’une nouvelle banque au capital de 100 milliards de dollars, comme alternative au FMI et qui sera basée à Shanghaï et présidée par Moscou.

Poutine a lancé le nouveau système financier en disant qu’il était conçu pour “aider à empêcher le harcèlement de pays qui ne sont pas d’accord avec des décisions politiques des Etats-Unis et de leurs alliés”, un signal on ne peut plus clair indiquant que la Russie et les autres nations du BRICS sont en train de construire un système économique et financier qui sera concurrentiel à celui du FMI et de la Banque Mondiale.

Donnant un aperçu de l’attitude générale de l’élite occidentale envers la Russie, des commentaires faits par des gens comme par exemple l’ancien ambassadeur américain en Irak Christopher Hill, suggèrent que Moscou est de plus en plus vu comme un état voyou. En avril dernier, Hill avait dit que la réponse de la Russie à la crise ukrainienne avait trahi le “nouvel ordre mondial” dont elle a été partie prenante ces 25 dernières années.

Donnant un autre signe que les nations du BRICS sont en train de bouger pour créer un modèle multipolaire complètement concurrentiel de celui de l’, les cinq pays sont également en train de construire une nouvelle structure pour l’internet qui va contourner et court-circuiter les Etats-Unis afin de prévenir l’ de la NSA.

Willie fait aussi un lien entre le mouvement de l’Allemagne et l’abattage du vol MH17 de la Malaysia Airline la semaine dernière, évènement qui a été exploité par les Etats-Unis et la GB pour pousser toujours plus de sanctions contre la Russie, malgré le fait que celles-ci n’ont que très peu d’effets et n’apparaissent que toucher et incapaciter les intérêts commerciaux des pays de l’Europe occidentale.

“Voici la grosse, grosse conséquence de tout cela. Les Etats-Unis sont en fait en train de dire à l’Europe qu’elle n’a pas le choix. Rejoignez-nous dans notre contre la Russie, rejoignez-nous dans nos sanctions contre la Russie. Rejoignez-nous dans de constants guerres et conflits, dans l’isolation et la destruction de vos économies, dans le refus de votre approvisionnement en énergie, dans l’annulation de vos contrats. Rejoignez-nous dans la et les sanctions parce que vraiment vous devez garder le dollar et son régime fonctionnels. Ils diront, nous sommes fatigués du dollar… Nous poussons l’Allemagne. Ne vous souciez pas de la , de l’Angleterre, inquiétez-vous de l’Allemagne. L’Allemagne possède 3000 entreprises qui font des affaires très activement maintenant. Elles ne vont pas se joindre aux sanctions… Point final.”

Source : Réseau International

23 juillet 2014

Et encore un autre banquier mort dans des conditions suspectes ! Le Directeur général de Goldman Sachs Nicholas Valtz

nicholas-valtz

Nicolas Valtz, directeur général des ventes inter-actifs à Goldman Sachs Group Inc. (GS) à New York, a été retrouvé mort hier par les membres de la famille qui sont allés le chercher après qu’il ne revenait pas d’une promenade de kitesurf.

Valtz, 39, a été trouvé dans Napeague Port près de l’extrémité est de Long Island , selon les East Hampton , New York, la police. Il était un «kiteboarder novice » et a été retrouvé flottant dans l’eau fixée à son cerf-volant, a indiqué la police dans un communiqué publié hier. Autres engins de cerf-volant a été trouvé dans une zone herbeuse du port, a indiqué la police.

«Nous sommes profondément attristés par cette tragédie et nos pensées sont avec la famille de Nick, » Michael DuVally , un porte-parole basé à Manhattan Goldman Sachs, a déclaré dans un communiqué envoyé par courriel.

Valtz, qui a rejoint l’entreprise en 2000, a été promu directeur général en 2010. Comme un directeur des ventes croisées d’actifs, il a contribué à la gestion des commandes pour les clients commerciaux et Pitch les produits et d’idées entre les différents types de titres. Sa femme, Sashi Valtz, travaille aussi chez Goldman Sachs en tant que chef des ventes mondiales tiers recherche, selon son profil LinkedIn.

Nicholas Andrew Valtz est né en Septembre 1974 et a obtenu un diplôme de baccalauréat de l’Université de Harvard en 1996, selon le New York dossiers de vote et le site Web de Harvard. L’école présente lui aussi gagner des lettres en escrime depuis trois ans.

La police enquête toujours sur la mort, selon le communiqué.

Source: Bloomberg.com
Traduction Franck pour les moutons enragés

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