Les francs-maçons «doivent mourir aux mains de la révolution qui a été menée grâce à leur coopération», selon C.G. Rakovski, un des fondateurs de l’Internationale Communiste.
«Le vrai secret de la maçonnerie est le suicide de la franc-maçonnerie en tant qu’organisation, et le suicide physique de chaque important maçon.»
Cette révélation provient d’un interrogatoire de la police stalinienne en 1938 intitulé «The Red Symphony». (Transcription de Des Griffin dans Fourth Reich of the Rich, p. 254)
«Il est clair que je sais cela non pas comme franc-maçon, mais comme un de ceux qui appartiennent à «eux» [les Illuminati] déclare Rakovski, un collègue de Léon Trotski arrêté pour complot contre Staline.
LES PROTOCOLES DE SION ET LA SYMPHONIE ROUGE
La franc-maçonnerie est la plus grande société secrète du monde avec plus de cinq millions de membres, dont trois millions aux États-Unis. Elle joue un rôle dans la conspiration totalitaire. Dans Les Protocoles des Sages de Sion, l’auteur (qui je crois est Lionel Rothschild) écrit :
«La maçonnerie des gentils sert aveuglément d’écran entre nous et nos objectifs, mais le plan d’action de notre force, même sa place exacte, reste pour tout le peuple un mystère inconnu… Qui et quoi pourrait bien se trouver en position de renverser une force invisible?» (Protocole 4)
Encore une fois, il écrit : «nous allons créer et multiplier librement les loges maçonniques… absorber en elles tous ceux qui peuvent devenir importants ou qui occupent déjà une place importante dans l’activité publique, car dans ces loges nous trouverons notre principal bureau de renseignement et les moyens d’influence… Les complots politiques les plus secrets seront connus de nous et tomberont sous nos mains… Nous connaissons le but final… alors que les goyim n’ont connaissance de rien… » (Protocole 15)
Dans son interrogatoire, Rakovski dit que des millions affluent dans la franc-maçonnerie pour obtenir un avantage. «Les dirigeants de toutes les nations alliées étaient francs-maçons, à quelques exceptions près.»
Toutefois, le véritable objectif est «de créer toutes les conditions requises pour le triomphe de la révolution Communiste, ce qui est le but évident de la franc-maçonnerie, il est clair que tout cela est fait sous des prétextes divers ; mais ils se cachent toujours derrière leur slogan bien connu [Liberté, Égalité, Fraternité]. Vous comprenez?» (254)
Les maçons devraient se rappeler la leçon de la Révolution Française. Bien qu’«ils aient joué un rôle révolutionnaire colossal ; la plupart des maçons furent éliminés… » Comme la révolution exige l’extermination de la bourgeoisie en tant que classe, [pour que toutes les richesses soient détenues par les Illuminati sous le couvert de l’État], il s’ensuit que les francs-maçons doivent être liquidés. Le vrai sens du Communisme est la tyrannie des Illuminati.
Lorsque ce secret sera révélé, Rakovski imagine «l’expression de bêtise sur le visage de certains francs-maçons quand ils se rendront compte qu’ils doivent mourir aux mains des révolutionnaires. Comment ils hurleront et voudront que l’on fasse grand cas de leurs services rendus à la révolution! C’est un spectacle à la vision duquel on peut mourir… mais de rire!» (254)
Rakovski se réfère à la Franc-maçonnerie comme une supercherie : «une maison de fous mais en liberté.» (254)
En Russie, en 1929, tous les maçons qui n’étaient pas juif furent tués avec leur famille, selon Alexey Jefimow "Quels sont les souverains de la Russie?" (77)
Comme les maçons, les autres candidats de l’utopie humaniste de leur maître (les néocons, les libéraux, les Sionistes, les activistes gays et féministes) pourraient être l’objet d’une mauvaise surprise. Ils pourraient être mis de côté une fois qu’ils ont atteint leur objectif.
QUI SONT LES «ILS»?
Lorsque l’interrogateur presse Rakovski de désigner des notables Illuminati pouvant être approchés avec une initiative, Rakovski est sûr de deux seules personnes qui sont maintenant décédés : Walter Rathenau, le ministre des affaires étrangères de Weimar, et Lionel Rothschild. Il dit que Trotski est sa source d’information.
D’autres, insiste-t-il sont de la spéculation :
«En tant qu’institution, la banque de Kuhn Loeb & Company de Wall Street : [et] les familles de Schiff, Warburg, Loeb et Kuhn, je dis familles pour souligner plusieurs noms puisqu’ils sont tous reliés… par des mariages, puis Baruch, Frankfurter, Altschul, Cohen, Benjamin, Strauss, Steinhardt, Blom, Rosenman, Lippmann, Lehman, Dreifus, Lamont, Rothschild, Lord, Mandel, Morganthau, Ezéchiel, Lasky… quel que soient les noms que j’ai énuméré, même ceux qui n’appartiennent pas à «Eux» pourraient toujours aboutir à «Eux» pour toute proposition importante.» (272)
En donnant à des banquiers le privilège de créer de l’argent, nous avons créé un vampire insatiable. Si vous pouviez fabriquer l’argent, imaginez la tentation de tout posséder!
LA RÉVOLUTION DÉGUISÉE
Rakovski se réfère à la crise de 1929 et à la Grande Dépression comme une «Révolution Américaine». Elle a été délibérément précipitée par les Illuminati à leur seul profit, pour casser «l’américain classique» et prendre le pouvoir politique.
«L’homme par qui ils ont fait usage d’un tel pouvoir était Franklin Roosevelt. Avez-vous compris? Cette année 1929 fut la première de la Révolution Américaine, en février Trotski quitte la Russie ; le krach a lieu en octobre… Le financement d’Hitler est convenu en juillet 1929. Vous pensez que tout cela était par hasard? Les quatre années du règne de Hoover ont été utilisées pour la préparation de la prise du pouvoir aux États-Unis et en U.R.S.S. : là par le biais d’une révolution financière, et ici [en Russie], avec l’aide de la guerre [Hitler et la Deuxième Guerre mondiale] et la défaite qui allait suivre. Un roman faisant preuve d’une grande imagination serait-il plus évident pour vous?» (273)
Rakovski propose que Staline coopère avec les Illuminati, (ce qu’il fit par la suite.) La première condition était qu’il arrête d’exécuter les trotskistes. Puis «plusieurs zones d’influence» seront établies en divisant «le Communisme formel du véritable.» Il y aura «des concessions mutuelles pour une aide mutuelle pour un temps pendant que le plan dure… Il apparaîtra des personnes influentes à tous les niveaux de la société, même très élevés, qui aideront le Communisme Stalinien formel… » (276)
Rakovski décrit le plan des Illuminati pour faire fusionner le Communisme et le Capitalisme. Dans chaque cas, les Illuminati contrôlent toutes les richesses et le pouvoir.
«A Moscou, il y a le Communisme : à New York le Capitalisme. Ce sont la même chose sous forme de thèse et d’antithèse. Analysez les deux. Moscou est du Communisme subjectif, mais [objectivement] du Capitalisme d’Etat. New York : un Capitalisme subjectif, mais il s’agit en fait d’un Communisme objectif [l’état étant la propriété du banquier central]. Une synthèse personnelle, la vérité : l’Internationale Financière, la Capitaliste Communiste. «Eux». (276)
La «guerre contre le terrorisme» est une ruse des banquiers centraux pour contrôler chaque aspect de votre vie.
En relisant "La Symphonie Rouge" récemment, j’ai été choqué de lire la déclaration d’un initié disant que les banquiers ne sont pas satisfaits avec une richesse infinie, ils veulent un pouvoir illimité.
L’expérience humaine est menacée par des intérêts privés qui ont usurpé la fonction de création monétaire. L’histoire moderne reflète le processus progressif par lequel ils transfèrent toute la richesse et le pouvoir pour eux-mêmes, détruisant la Civilisation Occidentale et œuvrant à la création d’un état policier mondial.
Rakovski, dont le vrai nom était Chaïm Rakover, a été condamné à mort au cours de la purge stalinienne de la faction trotskiste du parti. Léon Trotski écrivit dans son autobiographie, My Life : «Christian G. Rakovski … joua un rôle actif dans les travaux internes de quatre partis socialistes : le bulgare, le russe, le français, le roumain – pour devenir finalement l’un des dirigeants de la Fédération Soviétique, un des fondateurs de l’Internationale Communiste, président des Commissaires du Peuple du Soviet Ukrainien, et le représentant diplomatique soviétique en Angleterre et en France… »
Rakovski essaya de convaincre son interrogateur que Staline devrait coopérer avec les banquiers qui «sont juste comme vous et moi. Le fait qu’ils contrôlent une somme d’argent illimité, dans la mesure où ils la créent, ne détermine pas les limites de leurs ambitions… Les banquiers ont une soif de pouvoir, de la pleine puissance. Tout comme vous et moi.»
Ils créèrent l’état Communiste comme une «machine de pouvoir total» sans précédent dans l’histoire. Dans le passé, en raison de nombreux facteurs, «il y avait toujours de la place pour la liberté individuelle. Comprenez-vous que ceux qui règnent déjà partiellement sur les nations et les gouvernements mondiaux ont des prétentions à la domination absolue? Comprenez bien que c’est la seule chose qu’ils n’ont pas encore atteinte.» (C’est moi qui souligne)
Une force pernicieuse paralyse nos vies nationales. Rakovski l’identifie : «Imaginez-vous, si vous le pouvez, un petit nombre de personnes ayant un pouvoir illimité grâce à la possession de la richesse réelle, et vous verrez qu’ils seront les dictateurs absolus du marché boursier et de [l'économie] … Si vous avez assez d’imagination alors … vous serez capable de voir [leur] influence anarchique, morale et sociale, c’est à dire une influence révolutionnaire… Comprenez-vous maintenant?»
Le Mouvement Révolutionnaire, qui définit l’histoire moderne, était un moyen d’accroître le pouvoir des banquiers en détruisant l’ordre ancien.
Au cours de la Révolution Française le pouvoir passa subtilement aux banquiers qui n’étaient pas contraints de se plier aux élégances Chrétiennes, dit Rakovski. «Le pouvoir royal suprême a été repris par des personnes, dont la morale, l’intellect et les qualités cosmopolites leur permis de l’utiliser. Il est clair que c’étaient des gens qui n’avaient jamais été Chrétiens, mais cosmopolites.»
Le Communisme, loin de distribuer la richesse, est conçu pour la concentrer entre les mains des personnes les plus riches du monde. (L’État possède la richesse et ils possèdent l’état.) Et le marxisme, «avant d’être un système philosophique, économique et politique, est une conspiration pour servir les buts de la révolution.»
Rakovski se moque du «marxisme élémentaire … le démagogique et populaire» qui est utilisé pour duper les intellectuels et les masses. [Quelle que soit sa valeur intrinsèque, le socialisme semble conçu pour corrompre et rendre les gens dépendants d’un grand gouvernement, que les banquiers contrôlent.]
En ce qui concerne la franc-maçonnerie : «Chaque organisation maçonnique essaye de créer toutes les conditions préalables requises pour le triomphe de la révolution Communiste, ce qui est le but évident de la franc-maçonnerie» dit Rakovski, lui-même un franc-maçon de haut rang.
Le but de la Révolution n’est rien de moins que de redéfinir la réalité en fonction des intérêts des banquiers. Ceci implique la prééminence de la vérité subjective sur la vérité objective. Si Lénine «sent que quelque chose est vrai», alors c’est réel. «Pour lui, toute réalité, toute vérité est relative face à la seule vérité absolue : la révolution.»
Rakovski s’étonne que «les bancs sur lesquels étaient assis les usuriers graisseux pour faire commerce de leurs fonds, aient été convertis en temples, qui se tiennent avec magnificence à chaque coin de nos grandes villes contemporaines avec leurs colonnades païennes, et les foules s’y rendent… pour apporter assidûment leurs dépôts représentant tous leurs biens, au dieu de l’argent…»
Il dit que l’étoile Soviétique à cinq branches représente les cinq frères Rothschild avec leurs banques, qui possèdent une accumulation de richesses colossales, la plus grande jamais connue.»
N’est-il pas étrange que Marx n’ait jamais mentionné ce fait? Demande Rakovski. N’est-il pas étrange que pendant les révolutions, les insurgés n’aient jamais attaqué les banquiers, leurs châteaux ou leurs banques?
La guerre est le moyen par lequel les banquiers centraux avancent vers leur objectif d’un gouvernement mondial totalitaire. Rakovski déclare que Trotski était derrière l’assassinat de l’Archiduc Ferdinand (qui a déclenché la Première Guerre mondiale.) Il rappelle la phrase prononcée par la mère des cinq frères Rothschild : «Si mes fils le veulent, alors il n’y aura pas de guerre». Cela signifie qu’ils étaient les arbitres, les maîtres de la paix et de la guerre, et non pas les Empereurs. Etes-vous capable de visualiser un fait d’une telle importance cosmique? La guerre n’a-t-elle pas déjà une fonction révolutionnaire? La Guerre, la Commune. Depuis ce temps, chaque guerre fut un pas de géant vers le Communisme.»
Après l’assassinat du [membre des Illuminati, le ministre des Affaires étrangères de Weimar] Walter Rathenau en 1922, les Illuminati ne donnèrent des positions politiques ou financières qu’à des intermédiaires, dit Rakovski. «Evidemment à des personnes qui sont dignes de confiance et dont la loyauté peut être garantie de mille manières : on peut ainsi affirmer que ces banquiers et politiciens [aux yeux du public], sont des hommes de paille… même s’ils occupent des places très élevées, et apparaissent comme les auteurs des plans qui sont menés.»
En 1938, Rakovski souligna trois raisons pour la Seconde Guerre mondiale à venir. La première est qu’Hitler avait commencé à imprimer sa propre monnaie. «C’est très grave. Beaucoup plus que tous les facteurs externes et cruels du National-Socialisme.»
Deuxièmement, le «nationalisme complètement développé de l’Europe occidentale est un obstacle au marxisme… le besoin de la destruction du nationalisme vaut à lui seul une guerre en Europe.»
Finalement, le Communisme ne peut pas triompher sauf s’il supprime la «Chrétienté encore en vie.» Il se réfère à la «révolution permanente» comme datant de la naissance du Christ, et à la Réforme comme «sa première victoire partielle» parce qu’elle divisa la chrétienté. Ceci suggère que la «conspiration» contient aussi un facteur racial ou religieux.
«En réalité, le Christianisme est notre seul véritable ennemi car tous les acteurs politiques et les phénomènes économiques des états bourgeois en découlent. La Chrétienté contrôlant les individus est capable d’annuler la projection révolutionnaire de l’état laïc Soviétique ou de l’État athée.»
Maintenant les banquiers centraux font la promotion de la Troisième Guerre Mondiale sous la forme «d’un choc des civilisations». Substituez l’Islam au Christianisme et vous comprendrez de quoi il s’agit.
CONCLUSION
Nos croyances doivent s’adapter à la vérité et non l’inverse. Apparemment, la vérité est qu’une relativement petite clique de familles de banquiers juifs et leurs alliés non juifs des familles dirigeantes en Europe et en Amérique, ont usurpé le contrôle de la création monétaire, et avec elle le destin du monde.
Cette classe supérieure possède ou contrôle la plupart des plus grandes sociétés du monde, les organisations des médias, les agences de renseignement, les sociétés secrètes, les universités, les politiciens, les fondations, les think tanks et les O.N.G. Il apparaît aussi qu’ils dominent le crime organisé.
Le 11 septembre, la guerre contre le terrorisme et en Irak font partie d’un inexorable processus par lequel la classe supérieure accroît sa richesse et son contrôle. L’objectif final est un état policier mondial dans lequel les masses seront privées de leur richesse, de la liberté et possiblement de leur vie.
Les néoconservateurs sont réellement des néo-communistes. Ils compromettent la sécurité de leurs compatriotes juifs (ainsi que celle de tous les américains) par leurs machinations malfaisantes. Les juifs devraient suivre mon exemple et les répudier.
La classe supérieure veut que nous le voyions comme un «problème juif». De cette façon, elle peut détourner le blâme sur des juifs innocents puis rejeter alors toute opposition comme de la «haine» et des «préjugés». Le problème est principalement celui de la création monétaire (crédit) qui a conduit à une concentration intenable de la richesse et du pouvoir entre quelques mains.
Presque tout le monde qui «réussi» dans la société, juif ou non, est forcé, sciemment ou non, de s’aligner avec cette classe. Nos institutions religieuses, culturelles et politiques ont été détournées. C’est ce qui explique la fausse qualité de la vie sociale en Occident.
Rappelons-nous le message du Christ : Dieu est Amour. Dieu est plus puissant que la force satanique qui tient l’humanité dans son emprise. Mais sa volonté ne peut pas être faite si les hommes ne la font pas.
Quel que soit le coût, ne rien faire coûtera plus cher. La prospérité dont nous jouissons aujourd’hui fait partie d’un complot multiséculaire pour piéger et asservir l’humanité
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